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30 janvier 2022 7 30 /01 /janvier /2022 22:22

Sixième vague de la Covid-19 :

 

Le 18 décembre 2021, Olivier Véran, ministre de la Santé, a affirmé : « [...] avec un variant * (Omicron) aussi contagieux, ceux qui ne sont pas vaccinés seront contaminés. [...] Les anglais parlent quand même de 200, 300, 400000 cas par jour 1 [...] ».

Le 20 décembre, en Grande-Bretagne, le nombre de cas s'élève à 91 734 (record le 17/12 avec 92 505 cas) et 82808 en moyenne sur 7 jours. 

 

* Un variant est une version différente du coronavirus initial. Il apparait avec le temps sous l'effet de diverses mutations. C'est phénomène naturel  qui est normal dans la vie de tout virus. De nombreuses mutations du SARS-CoV2 ont ainsi été observées depuis son apparition, la plupart sans conséquence. Certaines d'entre elles peuvent cependant donner à un variant un avantage pour sa survie, en favorisant sa multiplication et sa transmissibilité.

1.  C'est inexact, ces chiffres sont communiqués pour apeurer ! Le record quotidien sera établi le 04 janvier 2022 avec 218705 nouveaux cas.

 

Le 20 décembre 2021, Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, ancienne ministre de la Santé a déclaré sur CNEWS : « [...] elle est de l'ordre de 70% la protection contre Omicron. Donc vaccinons-nous ! »

C'est exact ! Omicron est plus résistant aux vaccins actuels que le variant delta. Avec trois doses de PFIZER, le taux d'efficacité serait actuellement de 75, 3% contre les formes graves contre 92, 6% contre Delta après rappel. Après 2 doses de PFIZER, l'efficacité est de 70% contre 88,2 % avec Delta ; 10 à 14 semaines après, l'efficacité tombe à 77, 7 % avec Delta. L'efficacité du vaccin PFIZER contre la contamination par le variant Omicron serait de 33% après deux doses, et de 40% avec Delta.

 

Le 20 décembre 2021, Gabriel Attal, porte-parole du Gouvernement, a déclaré sur LCI : « Sur ce variant [...] Il est extrêmement contagieux [...] On estime qu'il se développe 70% plus vite dans les cellules que les précédents variants [...] »

Le 21 décembre, Gabriel Attal a déclaré sur France 2 : « [...] le variant Omicron [...] la mauvaise nouvelle, c'est que ce variant est nettement plus contagieux que tout ce qu'on a connu. On estime qu'il se développe 70% plus rapidement dans les cellules de l'organisme que les variants précédents, et on voit une progression absolument foudroyante au Royaume-Uni (1) et dans d'autres pays [...] Le rappel de vaccination est efficace face au variant Omicron [...] on le voit au Royaume-Uni par un déluge de contaminations.  (1) Quand on fait son rappel (3ème dose), on est protégé très fortement face au variant Omicron [...] On est protégé. » (2)

(1) C'est faux ! En Grande-Bretagne, au 14 décembre on totalisait 1 286 011 cas positifs sur les 28 derniers jours et 3551 décès. Au 21 décembre, le total des cas s'élevait à 1 575396 (environ + 20%) et 3309 décès (baisse de la mortalité avec - 42 morts).

(2) C'est un mensonge. La protection est seulement d'environ 75 % contre Omicron. 

Le 21 décembre, Gabriel Attal a déclaré depuis Matignon : « Près de 73000 cas positifs ont été détectés hier (ces dernières 24h) dans notre pays, ce qui correspond à une hausse de l'ordre de 15% par rapport au lundi précédent. Tout porte donc à montrer qu'après plusieurs semaines de ralentissement, l'épidémie repart à la hausse. » (3)

C'est un nouveau mensonge. Le taux d'incidence n'a cessé de progresser ces trois dernières semaines, passant de 311 le 28 novembre, 444 le 04 décembre, à 505 le 11 décembre et à 544 le 18 décembre ! 

 

La semaine du 20 décembre, Omicron représentait 49,3% (83,9% en région Île-de-France, 58,1% en Hauts-de-France, 100% en Bretagne) des virus séquencés contre 10,6% la semaine du 13 décembre et seulement 1,4% la semaine du 06 décembre.

 

Le 27 décembre 2021, lors de la conférence de presse Covid-19, le Premier ministre, Jean Castex, a déclaré : « [...] La vaccination nous protège et que par voie de conséquence elle protège les autres (1) [...] Aujourd'hui [...] nous sommes l'un des peuples les plus vaccinés (2) au monde donc le plus protégé. »

Olivier Véran, ministre de la santé, a déclaré : « [...] À l'heure actuelle quelles sont nos certitudes concernant le variant Omicron : [...] le temps de doublement, c'est-à-dire le nombre de malades contaminés, double tous les deux jours (3) ; c'était tous les 12 à 15 jours avec le variant Delta. [...] la 3ème dose, quand on est à jour de son rappel, fait immédiatement remonter le niveau de protection au-dessus de 90%, même bien au-dessus de 90% face au risque de formes graves. (4) [...] On est parmi, vraiment, les leaders, (5) je crois qu'on est sur le podium européen voire mondial (2) en terme de couverture vaccinale. »

(1) C'est faux, actuellement, la vaccination est seulement efficace à 33% contre la contamination par Omicron.

(2) C'est un mensonge. La France est pour le moment le 24ème pays au monde (7ème pays européen) ayant le plus vacciné sa population. 

(3) C'est faux ! Le 17 décembre dernier, Jean Castex a déjà utilisé cette annonce fallacieuse pour effrayer les français.

Par exemple, le taux d’incidence a certes doublé (113%), mais en 7 jours, en région parisienne, en passant de 1.168 à 2.489 nouveaux cas positifs pour 100.000 habitants, entre les semaines du 17 au 23 décembre et du 24 au 30 décembre. Une semaine plus tard, entre le 31 décembre et le 6 janvier, le nombre de cas pour 100.000 habitants enregistrés dans cette région avait seulement progressé de 59 %. L'augmentation la plus importante a été enregistrée en Normandie, région qui représente moins de 5% de la population française, avec + 219% entre les semaines du 17 au 23 décembre et du 24 au 30 décembre, soit un doublement en 3,5 jours environ.

(4) Nouveau mensonge. Cf. ci-dessus 20 décembre 2021. Le chiffre communiqué par Olivier Véran concerne le variant Delta ! La dose de rappel diminue d'environ 70% le risque de faire une forme grave après une infection par Omicron.

(5) Quel autre mensonge ! Il aurait mieux valu dire la vérité aux français. Que nous étions certes parmi les premiers, mais en matière de contaminations, puisque nous sommes désormais le 3ème pays au monde ayant eu le plus de cas positifs sur les 28 derniers jours !

 

Le 28 décembre 2021, sur les 28 derniers jours, avec un total de 1 519 670 cas positifs, la France est le troisième pays au monde le plus contaminé par le coronavirus ! (Source : Université Johns Hopkins, USA )

Le Portugal, pays ayant le plus vacciné (environ 88% de la population est totalement vaccinée) en Europe, connaît une flambée épidémique ! Moins de 1000 cas du 18 septembre au 02 novembre, 4670 cas le 01 décembre, 3732 cas le 26 décembre.

L'île de Malte, deuxième pays ayant le plus vacciné en Europe enregistre une vague épidémique sans précédent depuis deux ans, avec 832 cas le 27 décembre contre 95 cas le 01 décembre et 50 cas au maximum du 05 septembre au 12 novembre.

Les Émirats Arabes Unis, 2ème pays au monde ayant le plus vacciné (91,6% au 26/12), connaît également une nouvelle vague épidémique avec une croissance exponentielle du nombre de cas ! Moins de 100 cas par jour du 22 octobre au 13 décembre, 200 cas le 16 décembre, 1803 cas le 26 décembre.

Avec 77, 02% de sa population totalement vaccinée, la France est le 24ème pays au monde ayant le plus vacciné, le 7ème en Europe, derrière l'Espagne (80,65%). Au Chili, plus de 93% de la population est totalement vaccinée.

Le taux de vaccination en Afrique du Sud est seulement de 26,58% au 26 décembre.

 

Rappel :

Le 20 juillet 2021, lors d'une interview accordée à RTL sur le nombre élevé de contaminations chez les jeunes, la quatrième vague et la vaccination obligatoire des soignants, Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé, a déclaré : « [...] plus nous nous vaccinons, plus nous freinons le virus, et plus nous limitons les risques de constater un impact sanitaire dans quelques semaines ; quand on constate l'impact sanitaire, et qu'on se dit : ah ben, oui, vous avez vu, finalement, ça monte, c'est trop tard, donc c'est maintenant qu'il faut agir, c'est pour ça qu'on met l'accent sur la vaccination [...] si nous n'avions pas eu le vaccin, si nous n'avions pas eu le vaccin avec le variant Delta aujourd'hui, on ne parlerait effectivement pas de vague, je crois que c'est Gabriel Attal qui a parlé à juste titre de tsunami [...] Donc il y a urgence à nous vacciner [...] »

https://www.vie-publique.fr/discours/280882-olivier-veran-20072021-contamination-chez-les-jeunes-quatrieme-vague

 

Le 16 septembre 2021, lors de l'interview accordée à RTL sur un possible allègement des contraintes sanitaires dans certains départements, notamment pour le pass sanitaire, Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé, a déclaré : « [...] La situation s'est considérablement améliorée grâce à la vaccination massive de la population française, grâce au maintien de gestes barrières, à l'attention la vigilance des Français et puis grâce à des outils précieux comme par exemple pas sanitaire [...] »

https://www.vie-publique.fr/discours/281583-olivier-veran-16092021-allegement-des-contraintes-sanitaires-passe-sanit

 

Le 28 décembre 2021, le nombre de nouveaux cas confirmés s'élève à 179 807, en hausse d'environ 70% par rapport au 25 décembre (179 807 cas) et d'environ 130% par rapport à la semaine dernière (72832 cas le 21/12). Le taux d'incidence franchit la barrière des 800 cas pour 100 000 habitants.

Le 14 décembre dernier, Olivier Véran affirmait pourtant à l'Assemblée nationale : « Il semble que nous ayons atteint un pic épidémique dans notre pays, un pic très élevé, 50 000 contaminations par jour [...] »

Quelle incompétence !!

 

Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré lors de la conférence de presse du 29 décembre 2021 : « Les personnes non vaccinées sont beaucoup plus à risque de mourir de l’un ou l’autre des variants (Delta ou Omicron). [...] Au fur et à mesure que cette pandémie s’éternise, il est possible que de nouveaux variants échappent à nos contre-mesures et deviennent totalement résistants aux vaccins actuels ou aux infections passées, nécessitant des adaptations vaccinales.», traduit de l'anglais : « The unvaccinated are many times more at risk of dying from either variant. [...] As this pandemic drags on, it is possible that new variants could evade our countermeasures and become fully resistant to current vaccines or past infection, necessitating vaccine adaptations. »

 

Important :

Le 30 décembre 2021, un article paru dans la revue The Lancet indique qu'au Royaume-Uni, « un total 100 160 cas de COVID-19 ont été signalés (entre la semaine 39 et la semaine 42) chez les citoyens de 60 ans et plus. 89 821 cas sont survenus chez les personnes complètement vaccinées (89,7 %), 3395 chez les personnes non vaccinées (3,4 %) », traduit de l'anglais : « a total of 100,160 COVID-19 cases were reported among citizens of 60 years or older. 89,821 occurred among the fully vaccinated (89.7 percent), 3395 among the unvaccinated (3.4 percent) ».

https://principia-scientific.com/lancet-89-of-new-uk-covid-cases-among-fully-vaxxed/

 

Par décret du président de la République, Emmanuel Macron, en date du 31 décembre 2021 portant promotion et nomination à titre exceptionnel dans l'ordre national de la Légion d'honneur, Jean-François Delfraissy, infectiologue, immunologiste, président du conseil scientifique Covid-19 a été promu commandeur. Cinq autres membres du conseil scientifique ont également distingué dans cette promotion :

- Aymeril-Primaël Hoang, conseiller en numérique, est promu chevalier ;

 Simon Cauchemez, épidémiologiste en modélisation mathématique et analyse de données épidémiques complexes est promu chevalier ;

- Franck Chauvin , professeur de santé publique, président du haut conseil de la santé publique, membre du conseil scientifique Covid-19, est promu officier ;

- Jean-Laurent Casanova, professeur de médecine pédiatrique, est promu officier ;

- Arnaud Fontanet, professeur de médecine, épidémiologiste d'un institut de recherche est promu officier.

L'ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a été promue chevalier. Rappelons que Mme Buzyn a été mise en examen en septembre 2021 par la Cour de justice de la République (CJR) pour « mise en danger de la vie d'autrui » dans sa gestion de l'épidémie de Covid-19. Quel scandale !

 

Le 30 décembre 2021, 59 des 96 départements de la France métropolitaine ont présenté un taux d'incidence supérieur à 1000 cas pour 100 000 habitants. La Savoie, la Haute-Savoie, Paris, la Seine-et-Marne, l'Yonne, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne, le Val d'Oise et la Corse du Nord, soit 10 départements, ont un taux supérieur à 2000 cas, et deux départements un taux supérieur à 3000 cas : le Territoire-de-Belfort et l'Essonne !

 

Statistiques de décembre 2021 :

Selon les chiffres de la DREES, cellule de statistiques du ministère de la Santé, du 1er au 26 décembre 2021, les non-vaccinés représentent en moyenne 56,7% des entrées en soins critiques, contre 40,8% pour les vaccinés (double dose ou avec dose de rappel), et 2,5% pour les personnes ayant reçu une seule dose de vaccin. Parmi les décès hospitaliers, le rapport s’inverse : les non-vaccinés ne représentent que 42%, contre 54,7% pour les vaccinés.

Parmi les hospitalisations conventionnelles (qui représentent 80% des formes d’hospitalisations pour Covid-19), les vaccinés sont légèrement majoritaires : 50,4% contre 46,7% pour les non-vaccinés.

 

Le 02 janvier 2022, Yazdan Yazdanpanah, chef de service et professeur en maladies infectieuses à l’hôpital Bichat et à la faculté de médecine de l'université de Paris, directeur d'études à l’Inserm et directeur de l'ANRS, membre du conseil scientifique Covid-19, a affirmé, sur BFMTV, au sujet du variant Omicron  : « Un variant [...] moins sévère que les variants précédents [...] de 50% à 80% moins sévère [...] pour l'instant, le chiffre de 50% à 80%, c'est pour l'ensemble de la population, et il est évident que si quelqu'un est vacciné et en plus vacciné avec le rappel, c'est encore moins sévère. Après est-ce que intrinsèquement chez un patient non vacciné c'est moins sévère, pour l'instant je n'ai pas vu de données là-dessus, on a vu plutôt des données globalement [...] »

 

Les travaux menés par une équipe de chercheurs japonais et publiés le 05 janvier 2022 sur le site de la National Institute of Infectious Diseases, révèlent que « La quantité d'ARN viral était la plus élevée 3 à 6 jours après le diagnostic ou 3 à 6 jours après l'apparition des symptômes, puis diminuait progressivement avec le temps, avec une diminution marquée après 10 jours depuis le diagnostic ou l'apparition des symptômes. » (Cf. Enquête épidémiologique active sur l’infection par le SRAS-CoV-2 causée par le variant Omicron au Japon, traduit de l'anglais)

https://www.niid.go.jp/niid/en/2019-ncov-e/10884-covid19-66-en.html

 

Le 05 janvier 2022, le président de la République, Emmanuel Macron, a déclaré au journal Le Parisien : « [...] Ces gens-là qui ne sont pas vaccinés sont ceux qui occupent à 85 % les réanimations… [...] En démocratie, le pire ennemi, c’est le mensonge et la bêtise. Nous mettons une pression sur les non-vaccinés en limitant pour eux, autant que possible, l’accès aux activités de la vie sociale. [...] C’est une toute petite minorité qui est réfractaire. Celle-là, comment on la réduit ? On la réduit, pardon de le dire, comme ça, en l’emmerdant encore davantage. [...] les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout ! C’est ça, la stratégie. [...] Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. »

 

Monsieur le Président, de qui se moque-t-on ?

De qui se moque-t-on, sa seigneurie Macron ?

Comment appelez-vous tous les non-vaccinés ?

Des « irresponsables », une « minorité... »

Ne seraient-ils pas plutôt des boucs émissaires, 

Sans droits, et dont le seul devoir est de se taire ?

Comment appelez-vous tous les non-vaccinés ?

Non pas des citoyens, mais des « réfractaires »

Tous responsables de la crise sanitaire !

Ce ne saurait être votre incapacité, 

Ce ne peut être Véran, ni même Castex,

Ce sont les non-vaccinés à mettre à l'index !

 

En Allemagne, l'institut Robert Koch a annoncé, le 06 janvier 2022, que 77,9% des cas positifs au variant Omicron sont totalement vaccinés dont environ 19% après injection de la troisième dose (rappel). Seulement 22,1% ne sont pas vaccinés !

Chez les personnes de plus de 60 ans infectées par le variant omicron et dont le statut vaccinal a été recensé, 13,2 % étaient non-vaccinées, 45,7 % complètement vaccinées, et 41,1 % avaient même une dose de rappel.

Ce qui confirme une précédente étude danoise qui donnait environ 13,5% de non-vaccinés parmi les cas positifs. 

 

Le 07 janvier 2022, tous les départements de la France métropolitaine ont présenté un taux d'incidence supérieur à 1000 cas pour 100 000 habitants !

L'Ain, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, l'Ardèche, les Bouches-du-Rhône, la Corse-du-Sud, la Corse du Nord, la Côte-d'Or, le Doubs, la Drôme, l'Eure, l'Eure-et-Loir, la Haute-Garonne, la Gironde, l'Hérault, l'Ille-et-Vilaine, l'Indre-et-Loire, l'Isère, les Landes, la Loire, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Loiret, le Maine-et-Loire, la Marne, le Nord, l'Oise, le Puy-de-Dôme, les Pyrénées-Atlantiques,  les Pyrénées-Orientales, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, la Sarthe, la Seine-Maritime, le Var et l'Yonne, soit 36 départements, ont affiché un taux supérieur à 2000 cas.

 Le Rhône, la Savoie, la Haute-Savoie, Paris*, la Seine-et-Marne, les Yvelines, le Territoire-de-Belfort, l'Essonne, les Hauts-de-Seine *, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne, soit 11 départements, ont un taux supérieur à 3000 cas, et un département un taux supérieur à 4000 cas :  le Val d'Oise avec 4043 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population est vaccinée au 06/01 (92% dans les Hauts-de-Seine et 91% à Paris)

 

Le 09 janvier 2022, Gabriel Attal, porte-parole du Gouvernement, a déclaré sur BFMTV : « On assume la ligne qui est la nôtre [...] on assume de faire peser les contraintes sur les non-vaccinés plus que sur les vaccinés. Nous, on a choisi notre stratégie qui est de dire : on met des contraintes fortes avec le pass sanitaire et le pass vaccinal. »

 

Le 10 janvier 2022, 10453 classes d'école ont été fermées !

Au Sénat, lors des travaux parlementaires sur le pass vaccinal, Alain Richard, ancien ministre socialiste de la Défense de 1997 à 2002, sénateur LREM du Val-d'Oise, n'a pas respecté les gestes barrières puisqu'il a été vu avec le masque porté au niveau du menton !

 

Au 12 janvier 2022, en Afrique, plus de 85% de la population n’a pas encore reçu une seule dose de vaccin ! Dans le monde, 36 pays ont vacciné moins de 10 % de leur population.

 

Les données médicales de 3112 patients (491 patients en réanimation et 2621 en hospitalisation conventionnelle), hospitalisés entre le 1er décembre 2021 et le 4 janvier 2022, ont été analysées par l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). Sur la période étudiée, 19% des patients infectés par la Covid-19 pris en charge dans les service de réanimation ont contracté le variant Omicron. En hospitalisation conventionnelle, cette mutation du coronavirus est en revanche davantage présente puisqu'elle représente 54% des admissions. « Pour les patients en hospitalisation conventionnelle, les séjours de courte durée (<1j) représentent 19% des séjours pour les patients entrants infectés par Delta et 43% pour les patients entrants infectés par Omicron. »

https://www.aphp.fr/contenu/covid-19-premieres-estimations-de-la-place-des-variants-delta-et-omicron-chez-les-patients

 

Le 12 janvier 2022, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a fait adresser un lot de masques réutilisables de catégorie 1 à 7,3 millions de bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire. Dans une lettre explicative, Olivier Véran a une nouvelle fois menti en faisant croire aux français qu'ils seront protéger avec ce type de masques. 

En effet, il indique que le port du masque doit « permettre d'assurer votre protection », et précise que « le taux de filtration est supérieur à 90% ».

Les masques de catégorie 1 ne filtrent pas les particules de moins de 3 microns ! Or, par aérosol *, en provenance de la bouche ou du nez, la dimension du coronavirus se situe entre 1,7 et 1,25 micron. (Cf. Ministère de la Santé et de la Prévention, Soins et maladies, Réponse à vos questions, 04 février 2021, mise à jour 23 mars 2022)

Il faudrait des masques FFP2 !

 

* Ensemble de particules en suspension dans l'air.

 

Le 13 janvier 2022, malgré un schéma vaccinal complet (deux dose plus le rappel censé accorder une immunité « optimale * ») le ministre de la Santé, Olivier Véran, cas contact la veille, a testé positif après avoir eu de légers symptômes de la Covid-19.

* Cf. Supra, déclaration d'Olivier Véran le 25 novembre 2021.

 

Selon la Drees, dans son communiqué de presse du 14 janvier 2022 :

« Entre le 6 décembre 2021 et le 2 janvier 2022, les 9 % de personnes non vaccinées dans la population française de 20 ans ou plus représentent :
-    19 % des tests PCR positifs chez les personnes symptomatiques ;
-    44 % des admissions en hospitalisation conventionnelle avec Covid-19 ;
-    58 % des entrées en soins critiques avec Covid-19 ;
-    44 % des décès après hospitalisation avec Covid-19.

Entre le 3 et le 9 janvier 2022, on estime que le variant Omicron concernerait :

-    88 % des tests PCR positifs ;
-    52 % des entrées hospitalières conventionnelles 1 ;
-    31 % des admissions en soins critiques 2.

[...] Par ailleurs, il apparaît que parmi les patients infectés ou hospitalisés, la part touchée par le variant Omicron est plus élevée chez les plus jeunes 3 et chez les personnes vaccinées. [...] la proportion des personnes touchées par le variant Omicron est plus élevée chez les jeunes que chez les plus âgés, particulièrement pour les hospitalisations, durant les cinq dernières semaines considérées [...] Durant les dernières semaines de 2021 et début 2022, les nombres de tests PCR positifs attribuables à Omicron à taille de population comparable sont inférieurs pour les non-vaccinés par rapport aux statuts complets avec ou sans rappel 4, traduisant un possible échappement vaccinal face à l’infection par Omicron. [...] Les probabilités d’entrées en soins critiques conditionnellement au fait d’avoir un test RT-PCR 
positif, sont plus sont bien plus faibles pour Omicron par rapport à Delta pour les patients de moins de 80 ans. Elles le sont également pour les personnes de 80 ans et plus non vaccinées ou avec rappel et sont relativement similaires pour les 80 ans et plus disposant d’une primo-vaccination complète sans rappel. 
»

     1.  Parmi les 1 150 entrées quotidiennes moyennes en hospitalisation conventionnelle pour lesquelles un test RT-PCR positif a été identifié durant la semaine du 3 au 9 janvier 2022, 52 % relevaient du proxy Omicron, soit 593.

     2.  Parmi les 230 entrées quotidiennes moyennes en soins critiques pour lesquelles un test RT-PCR positif a été identifié en moyenne durant la semaine du 3 au 9 janvier 2022, 31 % relevaient du proxy Omicron, soit 72.

     3.  La circulation épidémique est plus élevée chez les sujets jeunes (surtout les 20-39 ans *) à taille de population comparable (tests positifs avec ou sans symptômes).

     *  En particulier les 20-29 ans vaccinés (Cf. Taux d'incidence par catégories d'âge).

    4.  Parmi les cas symptomatiques, Omicron est sur-représenté chez les vaccinés, alors que Delta est sur-représenté chez les non-vaccinés. Omicron circule davantage parmi les vaccinés. Dit autrement, à taille de population comparable, il y a ainsi plus de personnes vaccinées infectées que de personnes non vaccinées infectées par Omicron !

 

Du 10 au 16 janvier 2022, si le variant Omicron représentait 95 % des tests positifs, il n’est responsable que de 73 % des entrées en hospitalisation conventionnelle. 54 % des personnes entrées en soins critiques avec la Covid-19 relevaient du variant Omicron.

« Durant les dernières semaines de 2021 et début 2022, les nombres de tests PCR positifs attribuables à Omicron à taille de population comparable sont inférieurs pour les non-vaccinés par rapport aux statuts complets sans rappel, traduisant un possible échappement vaccinal face à l’infection par Omicron. Le constat est similaire si l’on se restreint aux seuls cas symptomatiques. »

« Entre le 13 décembre 2021 et le 16 janvier 2022, 440 patients dont on a identifié un test RT-PCR positif sont entrés en soins critiques avec le variant Omicron pour 10 millions de non-vaccinés, alors que les nombres d’entrées sont seulement de 223 (respectivement 194) pour 10 millions de complètement vaccinés sans (respectivement avec) rappel. Par ailleurs, la fréquence des entrées en soins critiques pour Omicron est beaucoup plus faible que celle observée pour Delta, quel que soit le statut vaccinal. »

(Cf. Communiqué de presse de la Dress du 21 janvier 2022)

 

Le 17 janvier 2021, en Israël, dans un communiqué de presse, le centre médical Chaim Sheba a publié les premiers résultats d'une étude sur Omicron dirigée par la directrice de l’unité de prévention et de contrôle des infections, le professeur Gili Regev-Yochay. « Les résultats préliminaires d’une étude de Sheba sur l’innocuité et l’efficacité du quatrième vaccin contre Corona indiquent une augmentation significative des niveaux d’anticorps, mais ce niveau de protection n’est que partiellement efficace contre les espèces d’omicron. [...] Selon le professeur Regev-Yochay, « l’augmentation observée au niveau des anticorps est légèrement supérieure au pic observé après la dose de rappel – la troisième dose ». Cependant, explique le Prof. Regev-Yochay, "à la lumière des données exclusives du centre médical qui a provoqué la maladie d’Omicron parmi les participants à la grande étude sérologique, nous comprenons que malgré l’augmentation significative des anticorps après le quatrième vaccin, cette défense n’est que partiellement efficace contre l’espèce d’omicron, qui est relativement résistant. » Elle dit, "le vaccin, qui était très efficace contre les espèces précédentes, est moins efficace contre les espèces d’omicron."

https://www.sheba.co.il/item/157386

 

Important :

Voici la preuve que le rappel du vaccin (3ème dose) est inefficace contre la contamination par Omicron :

Au 19 janvier 2022, le Danemark avec près de 60% (58%) des 5,8 millions de Danois a avoir reçu une dose de rappel  (5ème pays au monde ayant le plus vacciné la population avec 233817 doses pour 100000 habitants au 21/01/2022) a été le pays le plus contaminé au monde sur les 7 derniers jours, soit 4632,8 nouveaux cas par million d'habitants, devant l'Australie avec 56% de sa  population ayant reçu 3 doses, soit 4146,2 nouveaux cas. Parmi les 20 pays ayant le plus vacciné, Israël (13ème), la France (14ème), la Belgique (15ème), l'Italie (17ème) et le Portugal (18ème) font partie des pays ayant été le plus contaminé durant les 7 derniers jours !

La plupart des pays ayant massivement vacciné leur population connaissent (avec plus de 2000 nouveaux cas quotidiens par million d'habitants sur les 7 derniers jours) ou ont connu une flambée épidémique de grande ampleur. Citons les pays suivants : Danemark, Australie, Portugal, Israël, France, Suisse, Italie, Espagne, Belgique, Argentine, Suède, USA, Norvège.

En revanche, l'Afrique du Sud avec 27% de sa population vaccinée avec 2 doses et seulement 0,1% avec le rappel, le Vietnam avec 0% et l'Inde avec 0,5%  figurent parmi les pays les moins contaminés, avec respectivement 74,3 cas, 195 cas et 211,8 cas quotidiens par million d'habitants en moyenne sur les 7 derniers jours !

Parmi les vingt pays ayant le moins vacciné :

- le Burundi, lanterne rouge mondiale de la vaccination (75 doses pour 100 000 habitants) n'a pas eu de morts durant les 28 derniers jours et seulement 13211 nouveaux cas pour une population d'environ 12 millions ;

- le Sud Soudan (2 morts, 2352 cas) ;

- le Cameroun (2 morts, 1215 cas) ;

- la Somalie (2 morts, 790 cas) ;

- la Sierra Leone (2 morts, 957 cas) ;

- le Tchad (4 morts, 1186 cas).

 

Le 17 janvier 2022, tous les départements de la France métropolitaine ont présenté un taux d'incidence supérieur à 2000 cas pour 100 000 habitants, à l'exception du Cantal (1860), de la Dordogne (1955), de l'Indre (1839), et de la Meuse (1989) !

L'Ain, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, la Côte-d'Or, le Doubs, l'Ille-et-Vilaine, l'Isère, la Loire, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Maine-et-Loire, le Nord, l'Oise, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées, le Bas-Rhin, la Sarthe*, Paris*, la Seine-Maritime*, la Seine-et-Marne, les Yvelines*, le Var, l'Essonne, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne, le Val d'Oise, soit 28 départements, ont affiché un taux supérieur à 3000 cas.

La Haute-Garonne, Le Rhône, la Savoie, et la Haute-Savoie, ont même un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population dans ces départements a été vaccinée au 06/01 (93% ans dans la Sarthe, 92% dans les Yvelines et en Seine-Maritime, et 91% à Paris)

 

Important :

Le 18 janvier 2022, EPI-PHARE a publié une étude de pharmaco-épidémiologie qui confirme l'augmentation du risque d'infarctus du myocarde et d'embolie pulmonaire chez les adultes de moins de 75 ans, dans les deux semaines suivant la vaccination avec Janssen.  

https://www.epi-phare.fr/actualites/communique-de-presse-18-01-2022/

 

Le 20 janvier 2022, à Paris, lors de la conférence de presse Covid-19, le Premier ministre, Jean Castex, adepte du en même temps macroniste, a déclaré : « [...] C'est enfin la confirmation que ce variant Omicron est certes beaucoup plus dangereux, mais clairement moins sévère 6. [...] parce que nous avons pris les bonnes décisions, parce que nous sommes MASSIVEMENT VACCINNÉS et que les caractéristiques de ce variant font que l'on peut facilement attraper ce virus en étant vaccinés. Une personne vaccinée ayant reçu sa dose de rappel a 4,5 fois moins de risques d'attraper le virus, et surtout 25 fois moins de risques d'être hospitalisée en soins critiques 7 par rapport à une personne non-vaccinée. [...] Seuls 7% des adultes ne sont toujours pas vaccinés [...] On ne le dira jamais assez, la vaccination a changé la donne ! [...] En dépit 8 des résultats qui nous placent grâce à une mobilisation exceptionnelle que l'histoire retiendra 9 parmi les nations les mieux vaccinées et donc les plus protégées 10 au monde [...] plus de 91% des adultes ont un schéma vaccinal complet et 62% des adultes ont reçu trois doses ou l'équivalent. [...] le pass vaccinal  [...] faire peser clairement la contraintes sur les non-vaccinés. »

6. Jean Castex se contredit dans la même phrase ! Omicron est un variant très contagieux mais beaucoup moins dangereux que Delta.

7.  Source Dress (non datée)

Les chiffres  communiqués par Jean Castex semblent fantaisistes ! 

En effet, selon les données officielles de la Dress : « Entre le 13 décembre 2021 et le 16 janvier 2022, 440 patients dont on a identifié un test RT-PCR positif sont entrés en soins critiques avec le variant Omicron pour 10 millions de non-vaccinés, alors que les nombres d’entrées sont seulement de 223 (respectivement 194) pour 10 millions de complètement vaccinés sans (respectivement avec) rappel. Par ailleurs, la fréquence des entrées en soins critiques pour Omicron est beaucoup plus faible que celle observée pour Delta, quel que soit le statut vaccinal. » (Cf. Communiqué de presse de la Dress du 21 janvier 2022)

Une personne vaccinée ayant reçu sa dose de rappel a donc entre 2 et 2,5 fois et non 25 fois moins de risques d'être hospitalisée en soins critiques !

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 1,6 % contre 5,6 % avec Delta (6% en hospitalisation conventionnelle contre 11%), de 1,2 % contre 2% pour les plus de 80 ans, de 0,2% contre 1,5% entre 40 et 59 ans, et est extrêmement faible avant 40 ans.

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans vaccinée avec rappel dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 0,3 % contre 1,5 % avec Delta (2% en hospitalisation conventionnelle contre 3,8%), de 0,2 % contre 0,5% pour les plus de 80 ans, de 0,05% contre 0,4% entre 40 et 59 ans.

Contre les hospitalisations conventionnelles également, la protection vaccinale est plus faible pour le variant Omicron que pour le variant Delta : la protection vaccinale de l’ordre de 85 % pour les vaccinés sans rappel contre Delta diminue à 50 % contre Omicron. Pour les vaccinés avec rappel, la protection de plus de 95 % contre Delta est ramenée à 83 % 11contre Omicron .

L’efficacité vaccinale contre le risque de passage en soins critiques est diminuée pour Omicron par rapport à Delta : 65 % pour les personnes complètement vaccinées sans rappel contre 90 % pour Delta, 90 % pour celles avec rappel contre 98 %.

8. Incohérence dans l'utilisation de cette locution prépositive !

9. L'histoire retiendra surtout que la France a été l'un des pays les plus contaminés au prorata de sa population ! (Cf. ci-dessus)

10. Nouvelle contradiction. On ne peut pas à la fois être protégé et « facilement attraper ce virus ! »

11. Ramenée de 83% à plus de 75 % d’efficacité vaccinale pour les 20 ans ou plus dans le communiqué de la Dress du 25 février 2022

 

Le 19 janvier 2022, tous les départements de la France métropolitaine ont présenté un taux d'incidence supérieur à 2000 cas pour 100 000 habitants !

L'Ain, l'Ardèche, l'Aveyron, les Bouches-du-Rhône, la Côte-d'Or, le Doubs, la Drôme, l'Eure, la Gironde, l'Hérault, l'Ille-et-Vilaine, l'Indre-et-Loire*, le Jura, les Landes*, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Loiret, le Maine-et-Loire, la Marne, la Mayenne*, la Meurthe-et-Moselle, le Morbihan*, le Nord, l'Oise, le Pas-de-Calais*, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, la Sarthe*, Paris*, la Seine-Maritime*, la Seine-et-Marne, les Yvelines*, la Somme*, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Var, le Vaucluse, la Vendée*, la Haute-Vienne, les Vosges, l'Essonne, les Hauts-de-Seine *, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne, le Val d'Oise, soit 47 départements, ont affiché un taux supérieur à 3000 cas.

Les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, la Haute-Garonne, l'Isère, la Loire, le Rhône, la Savoie, et la Haute-Savoie, ont même un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population dans ces départements a été vaccinée au 06/01/2022 (95% dans le Morbihan et la Vendée, soit deux des cinq départements les plus vaccinés de France, 94% dans les Landes, 93% ans dans l'Indre-et-Loire, le Pas-de-Calais, la Somme et la Sarthe, 92% en Mayenne, les Yvelines et en Seine-Maritime, et 91% à Paris)

 

Le 21 janvier 2021, la Réunion, département français d'Outre-mer a enregistré un taux d'incidence supérieur à 5000 (5081,1) pour 100 000 habitants de l'île !

Le 21 janvier 2022, 58 départements de la France métropolitaine ont affiché un taux supérieur à 3000 cas :

L'Aisne, l'Ardèche, les Ardennes, l'Ariège, l'Aube, l'Aude, l'Aveyron, le Calvados*, la Charente, la Charente-Maritime*, la Côte-d'Or, la Drôme, l'Eure, l'Eure-et-Loir, le Gard, le Gers, la Gironde, l'Hérault, l'Ille-et-Vilaine, l'Indre-et-Loire*, le Jura, les Landes*, le Loiret, la Lozère, le Maine-et-Loire, la Marne, la Mayenne*, la Meurthe-et-Moselle, le Morbihan*, la Moselle, l'Oise, le Pas-de-Calais*, les Hautes-Pyrénées, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, la Sarthe*, Paris*, la Seine-Maritime*, la Seine-et-Marne, les Yvelines*, les Deux-Sèvres*, la Somme*, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Var, le Vaucluse, la Vendée*, la Vienne, la Haute-Vienne, les Vosges, l'Yonne, le Territoire-de-Belfort, l'Essonne, les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, le Val d'Oise.

L'Ain, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, le Doubs, la Haute-Garonne, l'Isère, la Loire, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Nord, les Pyrénées-Atlantiques, le Rhône, la Savoie, et la Haute-Savoie, soit 15 départements, ont même un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population dans ces départements a été vaccinée au 06/01/2022 (95% dans le Morbihan et la Vendée, soit deux des cinq départements les plus vaccinés de France, 94% dans les Landes et la Charente-Maritime, 93% dans le Calvados, l'Indre-et-Loire, le Pas-de-Calais, les Deux-Sèvres, la Somme et la Sarthe, 92% en Mayenne, les Yvelines et en Seine-Maritime, et 91% à Paris). 14 départements sur les 18 départements les plus vaccinés de la France métropolitaine, soit environ 77%, ont donc un taux d'incidence supérieur à 3000 cas !

 

Au 21 janvier 2022, sur les 28 derniers jours, la France est le deuxième pays ayant le plus de nouveaux cas de Covid-19 au monde, avec plus de 6 millions et demi de cas positifs (6 721 223 cas), derrière les USA et devant l'Italie (3 901 202 cas).

Au 23 janvier 2022, voici le nombre de cas des cinq pays ayant détecté le plus de cas positifs sur les 28 derniers jours au monde :

1° USA (18 339 083 cas)

2° France (7 313 247 cas)

3° Inde (4 450 462 cas)

4° Italie (4 450 462 cas)

5° Royaume-Uni (3 811 116 cas)

Actuellement, au prorata de la population, parmi les pays de plus de 10 millions d'habitants, la France est très largement en tête des pays les plus contaminés de la planète !

Source : Johns Hopkins University (JHU)

 

Au 22 janvier 2022, en deux ans, 128 154 décès ont été enregistrés depuis le début de l'épidémie en France. Sur la même période, environ 150 000 décès (environ 75000 personnes par an) ont été attribuable au tabagisme. En conséquence, le tabagisme tue plus que la Covid-19 en France !

Dans le monde, en deux ans, la pandémie a fait environ 5 millions et demi (5 588 782) de morts, alors que le tabagisme a entraîné le décès d'environ 14 millions de fumeurs (dont environ 2 millions de morts en raison du tabagisme passif), soit un nombre total de morts plus de deux fois supérieur à celui de la Covid-19 !

 

Le 25 janvier 2022, 501 635 nouveaux cas confirmés ont été détectés en France. Un record ! Dix fois plus que le pic annoncé par Olivier Véran à la mi-décembre.

En effet, le 14 décembre 2021, à l'Assemblée nationale, Olivier Véran, Ministre de la santé, avait affirmé : « Un pic très élevé, 50 000 contaminations par jour désormais. C’est le plus élevé que nous ayons connu depuis le début de la pandémie. Je ne peux pas encore vous dire si après le pic, ça va diminuer [...] ou si nous resterons sur un plateau. »

Il confirmais ainsi ses propos publiés le 11 décembre 2021 dans les colonnes du Parisien : « Selon toute vraisemblance, nous sommes en train d'atteindre le pic. » 

Tout comme le ministre de la Santé, les épidémiologistes Pascal Crépey et Antoine Flahault se sont magistralement trompés !

 

Israël, pionnier mondial de la vaccination, est désormais la nation la plus contaminée à la Covid-19 sur les 7 derniers jours (11962,1 cas par million d'habitants), devant le Danemark et la France !

Le 06 février 2022, Israël a atteint son record de cas graves depuis le début de la pandémie de Covid-19, avec plus de 1 200 patients dans les services hospitaliers, soit 10 fois le chiffre de l'hiver 2021, contre 75 personnes au début du mois de décembre 2021.

 

Au 28 janvier 2022, Israël (9320,3), le Danemark (7664,8), le Portugal (5363,5) et la France (5356,8), pays ayant massivement vacciné leur population connaissent toujours (avec plus de 5000 nouveaux cas quotidiens par million d'habitants sur les 7 derniers jours) ou ont connu une flambée épidémique de grande ampleur, alors que le Vietnam, pays n'ayant pas administré de 3ème dose (rappel) affiche un taux de seulement 160,5, en baisse par rapport au 19 janvier (195,0).

Au 29 janvier 2022, sur les 28 derniers jours, la France est toujours le deuxième pays ayant le plus de nouveaux cas de Covid-19 au monde, avec plus de 8 millions et demi de cas positifs (8 518 374 cas), derrière les USA (19 274 524 cas, soit plus du double que la France mais avec une population 5 fois plus élevée), et devant l'Inde (5 996 662 cas) et l'Italie (4 558 265 cas).

 

 

Selon la Dress, le variant Omicron représente désormais 99 % des nouveaux cas détectés (un peu plus de 45 % des RT-PCR ont fait l’objet d’un criblage) du 17 au 23 janvier 2022 (135 900 tests RT-PCR positifs quotidiens ont été prélevés).

Omicron représente 88 % des entrées en hospitalisation conventionnelle et 79 % des personnes entrées en soins critiques avec Covid-19.

Entre le 20 décembre 2021 et le 23 janvier 2022, 308 patients dont on a identifié un test RT-PCR positif sont décédés lors d’un séjour hospitalier avec le variant Omicron pour 10 millions de non-vaccinés, alors que ce nombre est seulement de 183 (respectivement 173) pour 10 millions de complètement vaccinés sans (respectivement avec) rappel.

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 1,9 % contre 6,6 % avec Delta (6% en hospitalisation conventionnelle contre 14%), de 1,0 % contre 2,5% pour les plus de 80 ans, de 0,2% contre 1,0% entre 20 et 59 ans en moyenne.

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans vaccinée avec rappel dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 0,3 % contre 1,7 % avec Delta (2% en hospitalisation conventionnelle contre 4,8%), de 0,3 % contre 1,0% pour les plus de 80 ans, de 0,05% contre 0,3% entre 20 et 59 ans en moyenne.

(Cf. Communiqué de presse de la Dress du 28 janvier 2022)

 

Le 27 janvier 2022, 63 départements (+ 5 par rapport au 21 janvier) de la France métropolitaine ont affiché un taux supérieur à 3000 cas :

L'Aisne, l'Allier, les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, l'Ardèche, les Ardennes, l'Ariège, l'Aube, l'Aude, les Bouches-du-Rhône, le Calvados*, la Charente, la Charente-Maritime*, le Cher, la Corrèze, la Côte-d'Or, les Côtes-d'Armor*, la Dordogne, la Drôme, l'Eure, le Gard, le Gers, l'Hérault, l'Ille-et-Vilaine, l'Indre-et-Loire*, l'Isère, le Jura, le Loir-et-Cher, le Loiret, le Lot, le Lot-et-Garonne, la Lozère, la Manche*, la Marne, la Haute-Marne, la Mayenne*, la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, le Morbihan*, la Moselle, l'Oise, le Pas-de-Calais*, le Puy-de-Dôme, les Hautes-Pyrénées, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, le Rhône, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, la Sarthe*, la Savoie, et la Haute-Savoie, la Seine-Maritime*, les Yvelines*, les Deux-Sèvres*, la Somme*, le Var, le Vaucluse, la Vienne, les Vosges, l'Yonne, le Territoire-de-Belfort.

L'Ain, l'Aveyron, le Doubs, la Gironde, les Landes*, la Loire, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Maine-et-Loire, le Nord, les Pyrénées-Atlantiques, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, la Vendée*, la Haute-Vienne, soit 15 départements, ont un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

La Haute-Garonne est le département le plus contaminé avec un taux supérieur à 5000 cas pour 100 000 habitants soit plus 20 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population dans ces départements a été vaccinée au 06/01/2022 (95% dans les Côtes-d'Armor, la Manche, le Morbihan et la Vendée, soit quatre des cinq départements les plus vaccinés de France, 94% dans les Landes et la Charente-Maritime, 93% dans le Calvados, l'Indre-et-Loire, le Pas-de-Calais, les Deux-Sèvres, la Somme et la Sarthe, 92% dans le Loir-et-Cher, en Mayenne, les Yvelines et en Seine-Maritime). 16 départements sur les 17 départements les plus vaccinés de la France métropolitaine, soit environ 94%, ont donc un taux d'incidence supérieur à 3000 cas, et deux d'entre eux ont même un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants dont la Vendée, département ayant vacciné plus de 95% de ses habitants !

 

Le 29 janvier 2022, 68 départements (+ 5 par rapport au 27 janvier) de la France métropolitaine ont affiché un taux supérieur à 3000 cas :

L'Ain, l'Aisne, l'Allier, les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, l'Ardèche, les Ardennes, l'Ariège, l'Aube, l'Aude, les Bouches-du-Rhône, le Calvados*, la Charente-Maritime*, le Cher, la Corrèze, la Côte-d'Or, les Côtes-d'Armor*, la Creuse, la Dordogne, le Doubs, la Drôme, l'Eure, le Finistère, le Gard, le Gers, l'Hérault, l'Ille-et-Vilaine, l'Indre, l'Indre-et-Loire*, l'Isère, le Jura, le Loir-et-Cher, la Loire, le Loiret, le Lot, le Lot-et-Garonne, la Lozère, la Manche*, la Marne, la Haute-Marne, la Mayenne*, la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, le Morbihan*, la Moselle, le Nord, l'Oise, le Pas-de-Calais*, le Puy-de-Dôme, les Hautes-Pyrénées, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, le Rhône, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, la Sarthe*, la Savoie, et la Haute-Savoie, la Seine-Maritime*, les Deux-Sèvres*, la Somme*, le Var, le Vaucluse, la Vienne, les Vosges, l'Yonne, le Territoire-de-Belfort.

L'Aveyron, la Charente, la Haute-Garonne, la Gironde, les Landes*, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Maine-et-Loire, les Pyrénées-Atlantiques, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, la Vendée*, la Haute-Vienne, soit 13 départements (- 3 par rapport au 27 janvier), ont un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population dans ces départements a été vaccinée au 06/01/2022 (95% dans les Côtes-d'Armor, le Finistère, la Manche, le Morbihan et la Vendée, soit les cinq départements les plus vaccinés de France, 94% dans les Landes et la Charente-Maritime, 93% dans le Calvados, l'Indre-et-Loire, le Pas-de-Calais, les Deux-Sèvres, la Somme et la Sarthe, 92% dans le Loir-et-Cher, en Mayenne et en Seine-Maritime). 16 départements sur les 17 départements les plus vaccinés de la France métropolitaine, soit environ 94%, ont donc un taux d'incidence supérieur à 3000 cas, et trois d'entre eux ont même un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants dont la Vendée, département ayant vacciné plus de 95% de ses habitants !

 

Au 30 janvier 2022, la Seine-Saint Denis affiche un taux d'incidence de 1724,8 nouveaux cas confirmés pour 100 000 habitants sur 7 jours 1. C'est le taux le plus bas de France métropolitaine, les autres départements affichent un taux supérieur à 2000 cas. Or, le département de la Seine-Saint-Denis a été l'un des trois départements (les deux autres sont ceux de la Corse) les moins vaccinés de France métropolitaine. Fin juillet 2021, le taux de vaccination en première injection est de 44 % en Seine-Saint-Denis, contre plus de 55 % en Ile-de-France. Au 26 décembre 2021, 34,1% de la population (34,5% pour la Corse du Nord) n'était toujours pas vaccinée contre la Covid-19 !

La Corse du Nord a eu un pic épidémique à moins de 3000 cas (environ 2800 cas le 05/01/2022), le moins élevé de France, devant l'Orne (2856 le 25/01) et la Nièvre (2858 le 25/01).

1. 1555,7 nouveaux cas sur 7 jours au 31/01/2022. Le Val-de-Marne, avec un taux de 1962,6 cas, est le deuxième département à franchir la barre des 2000 cas.

 

Au mois de janvier 2022, les dix-huit départements qui ont le plus vaccinés en France métropolitaine ont tous enregistré durant cette période un taux d'incidence supérieur à 3000 nouveaux cas confirmés pour 100 000 habitants sur 7 jours, et douze d'entre eux (66%) ont même affiché un taux supérieur à 3500.

En revanche, bien que ne faisant pas partie des départements les plus vaccinés au 06 janvier 2022, la Corse du Nord (pic à 2802 le 05/01), la Nièvre (2858 le 25/01), l'Orne (2856 le 23/01), sont les seuls départements à ne pas avoir connu un taux d'incidence supérieur à 3000. 

On peut donc en déduire que la vaccination n'a pas permis de freiner l'épidémie, comme l'a pourtant affirmé à moult reprises le Gouvernement, mais a, au contraire, eu un effet amplificateur !

Il est observé un pic de contaminations dans les trois premières semaines qui suivent la vaccination.

La vaccination anti-Covid peut augmenter le risque d'infection par le biais des anticorps facilitants. C'est un mécanisme immunologique qui a été observé pour la dengue, Ebola et le VIH : au lieu de combattre l'infection, ces anticorps font l'inverse et favorisent l'introduction du virus dans l'organisme. (Cf. Anticorps facilitants et pathogénèse de la Covid-19, Revue médicale Suisse, 16/04/2020)

https://www.revmed.ch/covid-19/anticorps-facilitants-et-pathogenese-du-covid-19

 

Le directeur général de l'OMS a déclaré lors de la conférence de presse du 01 février 2022 : « Nous commençons maintenant à voir une augmentation très inquiétante du nombre de décès dans la plupart des régions du monde. Nous sommes préoccupés par le fait que dans certains pays, on a dit qu’en raison des vaccins et de la transmissibilité élevée et de la gravité moindre d’Omicron, la prévention de la transmission n’est plus possible et n’est plus nécessaire.

Rien n’est plus loin de la vérité.

Plus il y a de transmission, plus il y a de décès. Nous ne demandons à aucun pays de revenir à ce qu’on appelle le confinement cellulaire. Mais nous demandons à tous les pays de protéger leur population en utilisant tous les outils de la boîte à outils, pas seulement les vaccins. Il est prématuré pour un pays de se rendre ou de déclarer la victoire. 

Ce virus est dangereux et continue d’évoluer sous nos yeux. L’OMS suit actuellement quatre sous-lignages de la variante Omicron préoccupante, dont BA.2. Ce virus continuera d’évoluer, c’est pourquoi nous appelons les pays à poursuivre les tests, la surveillance et le séquençage. On ne peut pas combattre ce virus si on ne sait pas ce qu’il fait. [...] Les variants du SRAS-CoV-2 peuvent continuer d’échapper aux anticorps neutralisants induits par les vaccins contre les variants antérieurs.

En outre, le réservoir de coronavirus bêta est grand, et de nouveaux croisements pour les humains est probable. »

Traduit de l'anglais : « We are now starting to see a very worrying increase in deaths, in most regions of the world. We’re concerned that a narrative has taken hold in some countries that because of vaccines, and because of Omicron’s high transmissibility and lower severity, preventing transmission is no longer possible, and no longer necessary. Nothing could be further from the truth. More transmission means more deaths. We are not calling for any country to return to so-called lockdown. But we are calling on all countries to protect their people using every tool in the toolkit, not vaccines alone. It’s premature for any country either to surrender, or to declare victory. This virus is dangerous, and it continues to evolve before our very eyes. WHO is currently tracking four sub-lineages of the Omicron variant of concern, including BA.2. This virus will continue to evolve, which is why we call on countries to continue testing, surveillance and sequencing. We can’t fight this virus if we don’t know what it’s doing. [...] Variants of SARS-CoV-2 may continue to escape neutralizing antibodies induced by vaccines against prior variants. In addition, the reservoir of beta coronaviruses is large, and new crossovers to humans is likely. »

 

Au 02 février 2022, voici le nombre de cas des cinq pays ayant détecté le plus de cas positifs sur les 28 derniers jours au monde :

1° USA (18 205 477 cas contre 18 339 083 cas au 23/01)

2° France (8 986 427 cas contre 7 313 247 cas au 23/01)

3° Inde (6 612 527 cas contre 4 450 462 cas au 23/01)

4° Italie (4 549 475 cas contre 4 450 462 cas au 23/01)

5° Royaume-Uni (3 821 105 cas contre 3 811 116 cas au 23/01)

Au prorata de la population, parmi les pays de plus de 10 millions d'habitants, la France est toujours très largement en tête des pays les plus contaminés au monde !

En France, plus on vaccine, plus on se contamine !!

 

Selon la Dress, le variant Omicron représente, depuis le 18 janvier, 99 % des nouveaux cas détectés. Durant la semaine du 24 au 30 janvier 2022, le variant Omicron a concerné 94 % des admissions hospitalières conventionnelles, 87 % des entrées en soins critiques et 74 % des décès survenus à l’hôpital pour lesquels un test RT-PCR positif a été identifié. 

Le vaccin, et plus particulièrement la dose de rappel, reste efficace contre les formes graves d’Omicron (plus de 75 % d’efficacité vaccinale pour les 20 ans ou plus) et particulièrement contre les décès (90 % d’efficacité vaccinale pour les 40 ans ou plus).

Entre le 27 décembre 2021 et le 30 janvier 2022, 549 patients dont on a identifié un test RT-PCR positif sont décédés lors d’un séjour hospitalier avec le variant Omicron pour 10 millions de non-vaccinés, alors que ce nombre est seulement de 336 (respectivement 289) pour 10 millions de personnes complètement vaccinées sans (respectivement avec) rappel.

Entre le 27 décembre 2021 et le 30 janvier 2022, 8 249 tests RT-PCR positifs ont été prélevés pour 100 000 personnes non vaccinées, dont 7 130 avaient un profil compatible avec le variant Omicron, soit 86 % des cas.

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 2,0 % contre 6,6 % avec Delta (7% en hospitalisation conventionnelle contre 14%), de 0,9 % contre 2,5% pour les plus de 80 ans, de 0,2% contre 1,0% entre 20 et 59 ans en moyenne.

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans vaccinée avec rappel dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 0,3 % contre 1,7 % avec Delta (2% en hospitalisation conventionnelle contre 4,8%), de 0,3 % contre 1,0% pour les plus de 80 ans, de 0,05% contre 0,3% entre 20 et 59 ans en moyenne.

Pour une personne âgée de 80 ans ou plus non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque de décéder à l’hôpital est de 5,4 % (environ 1% pour les vaccinés avec rappel), contre 11,8% avec Delta (environ 3,9% pour les vaccinés avec rappel).

(Cf. Communiqué de presse de la Dress du 04 février 2022)

1. Ramené à 88% dans le communiqué de presse de la Dress du 25 février 2022.

 

Les titres d’anticorps neutralisants 1 contre le variant Omicron seraient environ 20 fois plus faibles en moyenne que contre le variant Delta.

« 90 % des réinfections Omicron se produisent chez des personnes dont le niveau d’anticorps juste avant est inférieur ou égal à 6.967 BAU/ml de sang, ce qui est très important. Alors que 90 % des réinfections Delta adviennent chez des personnes dont les niveaux d’anticorps totaux sont inférieurs ou égaux à 2.905 BAU/ml 2. On savait qu’Omicron échappait davantage à la vaccination que Delta, poursuit la chercheuse. Là, on voit à quel niveau d’anticorps on peut s’infecter à Omicron, même si on a été vacciné jusqu’à trois fois. Les anticorps synthétisés dans le vaccin tel qu’il est fourni à l’heure actuelle ne permettent pas de neutraliser complètement l’Omicron. » (Cf. Chloé Dimeglio, Journal of Infection, 03 février 2022)

 

1. Marc Gozlan, Omicron, une biologie et une dynamique virale différentes de celles observées chez les précédents variants, 09 février 2022, Le monde.fr

https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/tag/anticorps-neutralisants/

Omicron est un variant très divergent. (Cf. OMS, Renforcement des interventions contre le varaint Omicron du SARS-CoV-2, 21 janvier 2022)

http://file:///C:/Users/pepas/Downloads/global-technical-brief-and-priority-action-on-omicron-sars-cov-2-variant-fr.pdf

2. 10% des infections observées avec Omicron se situent au-dessus de 2.905 BAU/ml, alors qu'avec Alpha, 90% des infections se produisaient à des niveaux inférieurs ou égaux à 1,098 BAU/ml.

https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(22)00060-3/fulltext

 

Étude portant sur les risques de maladies cardiovasculaires liées à une infection au coronavirus, réalisée par les chercheurs de l’université Washington à Saint-Louis (États-Unis) et publiée le 07 février 2022 dans la revue Nature Medecine :

https://www.nature.com/articles/s41591-022-01689-3

https://www.cardio-online.fr/Actualites/Depeches/Covid-long-risque-cardiovasculaire-augmente-de-facon-persistante

Le risque d’AVC est augmenté de 52 % et celui d'accident ischémique transitoire (AIT )de 49% durant l’année qui suit la contamination. Le risque de maladie coronaire aiguë était augmenté de 72%, avec notamment une augmentation de 63% des infarctus du myocarde, et l'angor était augmenté de 52%. Le risque d'insuffisance cardiaque était augmenté de 72%. Les arrêts cardiaques étaient 2,5 fois plus fréquents, de même que les chocs cardiogéniques. Pour les arythmies, le risque de fibrillation atriale était augmenté de 71% et celui de flutter atrial de 80%, celui de tachycardie sinusale de 84% et celui bradycardie sinusale de 53%. Les arythmies ventriculaires étaient aussi augmentées, de 84%. Le risque est augmenté de 85% pour la péricardite et multiplié par 5,3 pour la myocarditeLe risque d'embolie pulmonaire était presque triplé. Les thromboses veineuses étaient deux fois plus fréquentes.

 

Le 13 février 2022, Yahia Mekki, virologue et expert auprès de l'OMS, a déclaré dans Liberté : « [...] le Ba2 (sous-type d'Omicron) [...] est 28 fois plus transmissible que le Ba1, qui est à son tour 40 fois plus transmissible que le variant Delta. [...] ce virus est moins pathogène tout en restant transmissible et plus contaminant. [...] cette souche dominera le monde entier 1 dans quelques semaines. [...] ce virus est, certes, moins mortel, cependant le SARS-CoV-2, quel que soit le variant, atteint le cœur à long terme (Covid chronique) [...] »

1. C'est notamment déjà le cas en Algérie, aux USA, au Danemark, en Norvège et en Suède.

 

Le 10 février 2022, Clément Beaune, secrétaire d'État chargé des Affaires Européennes a déclaré sur LCI : « Ce n'est pas le convoi de la liberté ce convoi-là, c'est le convoi de la honte et de l'égoïsme, c'est pas des patriotes, ce sont des irresponsables ! »

 

Selon la Dress, le variant Omicron représente, depuis le 18 janvier, 99 % des nouveaux cas détectés. Durant la semaine du 31 janvier au 6 février 2022, le variant Omicron a concerné 96 % des entrées hospitalières conventionnelles ( 94 % du 24 au 30 janvier 2022), 93 % des entrées en soins critiques (87 % du 24 au 3 janvier) et 83 % des décès de patients hospitalisés avec Covid-19 (74 % du 24 au 31 janvier) pour lesquels un test RT-PCR positif a été identifié. 

Pour une personne âgée de 80 ans ou plus non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque de décéder à l’hôpital est de 5,8 % (environ 1% pour les vaccinés avec rappel).

Les risques relatifs de forme symptomatique avec test RT-PCR positif pour les personnes vaccinées avec rappel sont de 30% de 20 à 39 ans, de 40% de 40 à 59 ans, de 50% de 60 à 79 ans, et d'environ 55% (10% avec Delta, soit un risque 1 multiplié par 5 !) pour les 80 ans et plus.

Les risques d'entrer en hospitalisation pour Covid pour les personnes vaccinées avec rappel sont de 5% de 20 à 39 ans, d'environ 10% de 40 à 59 ans, de 15% de 60 à 79 ans, et d'environ 20% (5% avec Delta, soit un risque 2 multiplié par 4 !) pour les 80 ans et plus.

Les risques d'hospitalisation en soins critiques pour Covid pour les personnes vaccinées avec rappel sont de 5% de 20 à 39 ans, d'environ 9% de 40 à 59 ans, d'environ 8% de 60 à 79 ans, et d'environ 24% (5% avec Delta, soit un risque multiplié par plus de 4 !) pour les 80 ans et plus.

Important :

Les risques de décès après hospitalisation pour Covid-19 pour les personnes vaccinées avec rappel sont de 0% de 20 à 39 ans, d'environ 9% de 60 à 79 ans, et de 10% de 40 à 59 ans et pour les 80 ans et plus. En conséquence, la protection vaccinale est d'environ 90% contre les décès 3.

1. Le risque est multiplié par 5 pour toutes les catégorie d'âge sauf pour les 20-39 ans où le risque est multiplié par 4

2. Le risque est multiplié par 4 pour les 40 -59 ans et les 60-79 ans, et multiplié par 2 pour les 20-39 ans.

3. 88% pour les 80 ans et plus après hospitalisation avec Covid

(Cf. Communiqué de presse de la Dress du 11 février 2022)

 

Le 11 février 2022, le département des Landes est le département de France ayant le taux d'incidence le plus élevé (2611,3 cas contre 1486,9 en moyenne nationale) alors qu'il a figuré parmi les six départements les plus vaccinés de l'hexagone au 06 janvier 2022. La Seine-Saint-Denis, l'un des trois départements les moins vaccinés de France métropolitaine est celui qui présente le taux d'incidence le plus faible (651,0), quatre fois moins élevé que dans les Landes.

 

Au 14 février 2022, voici le nombre de cas des cinq pays ayant détecté le plus de cas positifs sur les 28 derniers jours au monde :

1° USA (11 809 477 cas contre 18 205 572 cas au 02/02)

2° France (7 568 233 cas contre 8 986 427 cas au 02/02)

3° Inde (5 285 281 cas contre 6 612 527 cas au 02/02)

4° Brésil (4 477 776 cas)

5° Allemagne (4 432 965 cas)

6° Italie (3 398 760 cas contre 4 549 475 cas au 02/02)

7° Russie (3 302 541 cas)

7° Royaume-Uni (3 116 390 cas contre 3 821 105 cas au 02/02)

Le Danemark (8027,8 nouveaux cas quotidiens par million d'habitants sur les 7 derniers jours contre 7664,8 au 28 janvier), pays ayant, comme la France, massivement vacciné, est le pays qui enregistre le taux d'incidence le plus élevé au monde, alors que le Vietnam, pays n'ayant pas administré de 3ème dose (rappel) affiche un taux de 250,1, et l'Inde un taux de 41,1 avec seulement 0,5% de vaccinés avec rappel. Le Chili, pays le plus vacciné au monde (69% de la population avec rappel) connaît toujours une flambé épidémique avec un taux de 1881,4 contre 420,0 au 19 janvier !

 

Important :

Dans une étude américaine publiée 1 le 16 février 2022 dans The BMJ, il a été constaté « qu’au-delà des 30 premiers jours d’un résultat positif au test de dépistage du SRAS-CoV-2, les personnes atteintes de la COVID-19 présentent un risque accru de troubles mentaux incidents, y compris les troubles anxieux, les troubles dépressifs, les troubles de stress et d’adaptation, les troubles liés à la consommation d’opioïdes, les autres troubles liés à la consommation de substances (non opioïdes), le déclin neurocognitif. et troubles du sommeil. Les risques étaient évidents même chez ceux qui n’ont pas été admis à l’hôpital pendant la phase aiguë de la COVID-19 — ce groupe représente la plupart des personnes atteintes de la COVID-19 — ; les risques étaient plus élevés chez ceux qui ont été admis à l’hôpital pendant la phase aiguë de la maladie. Les résultats étaient cohérents par rapport à ceux d’un groupe témoin contemporain sans COVID-19 et d’un groupe témoin historique antérieur à la pandémie. Le risque d’incident lié aux troubles de santé mentale était constamment plus élevé dans le groupe de la COVID-19 comparativement à ceux qui n’ont pas été admis à l’hôpital pour la COVID-19 par rapport à ceux qui n’ont pas été admis à l’hôpital pour la grippe saisonnière, qui ont été admis à l’hôpital pour la COVID-19 par rapport à l’hospitalisation pour grippe saisonnière et à l’hospitalisation pour la COVID-19 par rapport à l’hospitalisation pour toute autre cause. [...] Les résultats suggèrent d’importants risques de troubles de santé mentale chez les personnes qui survivent à la phase aiguë de la COVID-19. [...] Les risques étaient évidents même chez les personnes atteintes de la COVID-19 qui n’avaient pas besoin d’être hospitalisées. La lutte contre les troubles de santé mentale chez les survivants de la COVID-19 devrait être une priorité ». Traduit de l'anglais.

 

1. Risks of mental health outcomes in people with covid-19 : cohort study (Risques de problèmes de santé mentale chez les personnes atteintes de la COVID-19 : étude par groupe) 

https://www.bmj.com/content/376/bmj-2021-068993

 

Entre le 10 janvier et le 6 février 2022, les 7 % de personnes non vaccinées dans la population française de 20 ans ou plus représentent :
-    16 % des tests PCR positifs chez les personnes symptomatiques ;
-    29 % des admissions en hospitalisation conventionnelle avec test RT-PCR positif ;
-    36 % des entrées en soins critiques avec test RT-PCR positif ;
-    39 % des décès après hospitalisation avec test RT-PCR positif.

-    9 500 tests RT-PCR positifs pour 100 000 personnes non-vaccinées (dont plus de 4 800 concernent des personnes indiquant des symptômes lors de leur test) contre 3 200 pour 100 000 vaccinées avec rappel ;
-    2 980 admissions hospitalisations conventionnelles avec test RT-PCR positif identifié pour 1 million de personnes non-vaccinées contre 460 pour 1 million de personnes vaccinées avec rappel ;
-    540 entrées en soins critiques avec test RT-PCR positif pour 1 million de personnes non-vaccinées contre 60 pour 1 million de personnes vaccinées avec rappel ;
-    560 décès survenus à l’hôpital avec test RT-PCR positif pour 1 million de personnes non-vaccinées contre 50 pour 1 million de personnes vaccinées avec rappel.

Pour une personne âgée de 80 ans ou plus non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque de décéder à l’hôpital est de 6,8 % (environ 1% pour les vaccinés avec rappel).

Le risque (conditionnel à un test positif) d'entrer en hospitalisation pour les personnes vaccinées avec rappel est de 0,5% (1% pour les non-vaccinés) de 20 à 59 ans, d'environ 2,5% (environ 7,5% pour les non-vaccinés) de 60 à 79 ans, et d'environ 8% (24% pour les non-vaccinés) pour les 80 ans et plus.

Le risque d'hospitalisation en soins critiques pour les personnes vaccinées avec rappel est de 0,05% de 20 à 59 ans, d'environ 0,5% (2,5% de 60 à 79 ans et 1% de 80 ans à plus, pour les non-vaccinés ) de 60 à 80 ans et plus.

Important :

Le risque de décès après hospitalisation pour Covid-19 pour les personnes vaccinées avec rappel est d'environ 0,2% (1% pour les non-vaccinés) de 60 à 79 ans, et de 1% pour les 80 ans et plus. 

(Cf. Communiqué de presse de la Dress du 18 février 2022)

 

Au niveau mondial, la Covid-19 a causé la mort d'environ 5 millions 800 000 personnes en deux ans, soit deux fois moins que le tabagisme et l'obésité et autant que la consommation d'alcool. 

https://ourworldindata.org/

 

Propos tenus par Michaël Peyromaure, chef de service d'urologie de l'hôpital Cochin à paris, au sujet du pass vaccinal, sur CNEWS :

https://www.cnews.fr/emission/2022-02-15/midi-news-du-15022022-1183054

 

Le 02 janvier 2022, Olivier Véran, ministre de la Santé et des Solidarités avait déclaré dans une interview au JDD : « Omicron est tellement contagieux qu’il va toucher toutes les populations du monde. Pour mettre un maximum de chances de notre côté, il faut continuer à vacciner la planète en urgence, notamment dans les pays où l’accès aux doses est plus compliqué. Parce que c’est là que peuvent émerger les variants les plus dangereux : les populations y sont plus souvent immunodéprimées, notamment du fait de l’épidémie de sida. La France est le troisième contributeur mondial d’envoi de vaccins vers les pays les plus pauvres.

On s’attend à ce qu’Omicron fasse augmenter fortement le nombre d’hospitalisations, et moins fortement les admissions en soins critiques ou en réanimation.

Vous pouvez attraper le Covid-19 après avoir reçu trois doses de vaccin, mais votre risque d'être hospitalisé est au moins divisé par dix 1 par rapport à un non-vacciné ou à quelqu'un qui ne le serait que partiellement. »

1. C'est faux, il est multiplié par 5 ! (Cf. Chiffres de la Dress, communiqué de presse du 25 février 2022 : 2800 pour 1 million de non-vaccinés contre 480 pour 1 million de vaccinés avec rappel)

 

Entre le 17 janvier et le 13 février 2022, les 7 % de personnes non vaccinées dans la population française de 20 ans ou plus représentent :
-    15 % des tests PCR positifs chez les personnes symptomatiques ;
-    27 % des admissions en hospitalisation conventionnelle avec test RT-PCR positif ;
-    34 % des entrées en soins critiques avec test RT-PCR positif ;
-    36 % des décès après hospitalisation avec test RT-PCR positif.

-    8 500 tests RT-PCR positifs pour 100 000 personnes non-vaccinées contre 3 100 pour 100 000 vaccinées avec rappel ;
-    2 800 admissions hospitalisations conventionnelles avec test RT-PCR positif identifié pour 1 million de personnes non-vaccinées contre 480 pour 1 million de personnes vaccinées avec rappel ;
-    480 entrées en soins critiques avec test RT-PCR positif pour 1 million de personnes non-vaccinées contre 55 pour 1 million de personnes vaccinées avec rappel ;
-    550 décès survenus à l’hôpital avec test RT-PCR positif pour 1 million de personnes non-vaccinées contre 52 pour 1 million de personnes vaccinées avec rappel.

 Pour une personne âgée de 80 ans ou plus non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque de décéder à l’hôpital est de 6,6 % contre 12,1 % avec Delta.

(Cf. Communiqué de presse de la Dress du 25 février 2022)

 

Dans une décision urgente datée du 25 février 2022, dans le cadre de la stratégie vaccinale en France, la Direction Générale de la Santé (DGS) a enfin décidé de recommander de surseoir à l’utilisation du vaccin Janssen, conformément à l’avis de la Haute autorité de santé (HAS) du 17 février 2022, plus d'un mois après qu' EPI-PHARE ait publié, le 18 janvier, une étude de pharmaco-épidémiologie qui confirme l'augmentation, du risque d'infarctus du myocarde avec Janssen, du risque d'infarctus du myocarde et d'embolie pulmonaire avec Vaxzevria-AstraZeneca, chez les adultes de moins de 75 ans, dans les deux semaines suivant la vaccination.

Quelle manque de réactivité de la part de Jérôme Salomon, directeur de la DGS, qui a saisi la HAS seulement le 8 février 2022 ! C'est proprement scandaleux.

https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/dgs-urgent_no2022-33_-_adaptation_de_la_place_du_vaccin_janssen.pdf

https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2022-02/avis_n2022.0014_ac_sespev_du_17_fevrier_2022_du_college_has_relatif_a_la_place_du_vaccin_janssen_dans_strategie_de_vaccinati.pdf

Sur les effets indésirables des vaccins :

https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/650-vaxzevria-covid-19-vaccine-astrazeneca

https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/658-comirnaty-biontech-pfizer-30-microgrammes

https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/656-spikevax-covid-19-vaccine-moderna

https://ansm.sante.fr/dossiers-thematiques/covid-19-vaccins/covid-19-suivi-hebdomadaire-des-cas-deffets-indesirables-des-vaccins

 

Le 02 mars 2022, alors que le ministère de la Santé et des solidarités recommande toujours de « saluer sans serrer la main et arrêter les embrassades » sur le perron de l'Elysée, Emmanuel Macron, sans masque, n'a pas respecté les gestes barrières, d'une part, en faisant une accolade appuyée à Charles Michel, président du Conseil européen, ex-premier ministre de la Belgique, lui-même non masqué, et, d'autre part, en serrant les mains d'Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission européenne.

 

Covid-19 et groupes sanguins. Une étude suggère un lien entre une forme sévère de la maladie et le groupe sanguin A.

https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/trucs-et-astuces/covid-19-une-%C3%A9tude-sugg%C3%A8re-un-lien-entre-une-forme-s%C3%A9v%C3%A8re-de-la-maladie-et-le-groupe-sanguin/ar-AAUAJ6j?ocid=msedgntp

 

Le 05 mars 2022, en haut de la page d'accueil du site internet du ministère de la Santé et des Solidarités, on peut encore lire l'annonce mensongère de propagande vaccinale contre la Covid-19 : « Tous vaccinés, tous protégés. »

 

Entre le 24 janvier et le 20 février 2022, les 7 % de personnes non vaccinées dans la population française de 20 ans ou plus représentent :
-    15 % des tests PCR positifs chez les personnes symptomatiques ;
-    26 % des admissions en hospitalisation conventionnelle avec test RT-PCR positif ;
-    33 % des entrées en soins critiques avec test RT-PCR positif ;
-    34 % des décès après hospitalisation avec test RT-PCR positif.

-    6600 tests RT-PCR positifs pour 100 000 personnes non-vaccinées contre 2600 pour 100 000 vaccinées avec rappel ;
-    2 400 admissions hospitalisations conventionnelles avec test RT-PCR positif identifié pour 1 million de personnes non-vaccinées contre 440 pour 1 million de personnes vaccinées avec rappel ;
-    430 entrées en soins critiques avec test RT-PCR positif pour 1 million de personnes non-vaccinées contre 51 pour 1 million de personnes vaccinées avec rappel ;
-    520 décès survenus à l’hôpital avec test RT-PCR positif pour 1 million de personnes non-vaccinées contre 54 pour 1 million de personnes vaccinées avec rappel.

 Pour une personne âgée de 80 ans ou plus non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque de décéder à l’hôpital est de 6,2 % contre 12,2 % avec Delta.

(Cf. Communiqué de presse de la Dress du 04 mars 2022)

 

 

Septième vague de la Covid-19 :

 

Depuis le début du mois de mars 2022, les contaminations au variant BA.2 Omicron augmentent dans plusieurs départements*.

 

Le 04 mars 2022, 14 départements sur les 17 départements les plus vaccinés de la France métropolitaine au début de l'année 2022 dont les sept départements les plus vaccinés de France (95% dans les Côtes-d'Armor, le Finistère, la Manche, le Morbihan et la Vendée, 94% pour les Landes et la Charente-Maritime) soit environ 82%, ont un taux d'incidence supérieur à 500 cas, et quatre d'entre eux ont même un taux supérieur à 800 cas pour 100 000 habitants dont le Finistère (924,9)1, les Landes (856,8)2, les Côtes-d'Armor (840,8)3, la Manche (843,3)4, départements ayant vacciné plus de 94% de leurs habitants !

En revanche, les trois départements les moins vaccinés (Seine-Saint-Denis et les deux départements de Corse) affichent un taux d'incidence inférieur à 500, la Seine-Saint-Denis, département le moins vacciné, étant le département le moins contaminé de France métropolitaine avec un taux de 209,5 cas pour 100 000 habitants sur 7 jours, soit quatre fois moins que dans les départements cités ci-dessus faisant partie des départements les plus vaccinés.

1.  945,6 le 06/03, 1034,9 le 08/03

2.  856,8 le 04/03

3. 859,5 le 06/03, 944 le 8/03

4. 867, 2 le 06/03, 907,9 le 8/03

 

Le 10 mars 2022, une quarantaine de départements observent une hausse du taux d’incidence sur leurs territoires. 74 818 nouveaux cas positifs sont recensés en France, soit en hausse de 24 % par rapport à la semaine précédente !

En plus du Finistère cité ci-dessus, les départements de Ardennes (1013,1), de la Meurthe-et-Moselle (1007,5) et de la Moselle (1061,2) repassent au-dessus de la barre des 1000 cas pour 100 000 habitants sur 7 jours.

En Asie, Singapour et  Hong Kong  observent actuellement des taux de mortalité plus élevés que ceux observés lors des vagues précédentes.

Recommandation :

Continuer de porter le masque dans les lieux clos malgré les mesures gouvernementales applicables à compter du 14 mars : il ne sera plus nécessaire de porter le masque dans de nombreux lieux en France. Cette décision est prématurée, d'autant plus que le nouveau variant Deltacron (recombinaison Delta + Omicron) déjà présent en France pourrait s'avérer plus dangereux1 qu'Omicron.

 

Variant BA.2 Omicron. Selon Bruno Canard, directeur de recherche au CNRS, spécialiste des coronavirus, « les mesures ont été levées2 trop tôt à cause de l’agenda politique ».

https://twitter.com/canardbruno?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Eauthor

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/variant-ba-2-omicron-les-mesures-ont-%C3%A9t%C3%A9-lev%C3%A9es-trop-t%C3%B4t-%C3%A0-cause-de-l-agenda-politique/ar-AAVeYgH?ocid=msedgntp

 

1.  Suivre l'évolution des hospitalisations en Grande-Bretagne.

Le port du masque n'est plus obligatoire depuis le 27 janvier dernier. « Nous devons apprendre à vivre avec la Covid de la même manière que nous avons appris à vivre avec la grippe [...] nous ne pouvons pas éradiquer ce virus et ses futurs variants », avait affirmé à l'époque le ministre de la Santé britannique, Sajid Javid.

 

2.  Le 20 mars 2022, Olivier Véran, ministre de la Santé et des Solidarités, a défendu ce choix dans les colonnes du Parisien : « BA.2, comme Omicron, parce qu’il est très contagieux, déjoue partiellement les mesures classiques de freinage. Dans ce cas, il n’y a pas lieu d’imposer à toute la population française des restrictions vécues par beaucoup comme excessives au regard de la dangerosité actuelle. »

 

En Europe, plusieurs pays ont conservé l'obligation de porter le masque en intérieur dans les établissements recevant du public.

L'Autriche, a décidé de le réimposer, deux semaines seulement après avoir levé la mesure, le 5 mars, en raison du nombre de cas quotidiens qui ne cesse d'augmenter. Le ministre de la Santé autrichien, Johannes Rauch, a déclaré le 18 mars, que la levée des restrictions avait « été trop étendue et trop précoce ».

Le 18 mars, sur Twitter, l'épidémiologiste suisse Antoine Flahault a affirmé : « L’Autriche réinstaure dans l’urgence le port obligatoire du masque, à peine deux semaines après l’avoir retiré. Les pays européens sont en train de constater les premiers effets de la désinvolture de leurs politiques vis-à-vis de la gestion de la pandémie. La récente gestion de la pandémie est calamiteuse car a conduit à une succession de stop&go sans stratégie ni coordination à l’échelle européenne :
- Une veille sanitaire coûteuse et peu fiable ;
- Des mesures levées sans boussole ;
- Des pers. vulnérables laissées à l’abandon.

L’Italie* est peut-être restée l’un des pays les plus raisonnable, apparemment le seul à avoir résisté à cette compétition grotesque et irrationnelle à la levée des mesures sanitaires. » 

 

* Le port du masque restera obligatoire dans les lieux clos jusqu'au 30 avril au moins. En Espagne, au Portugal et en Pologne, le port du masque reste obligatoire dans les établissements recevant du public.

 

Le 22 mars 2022, lors d'une conférence de presse le directeur de l'OMS en Europe, Hans Kluge, a déclaré : « Les pays où nous observons une hausse particulière sont le Royaume-Uni, l'Irlande, la Grèce, Chypre, la France, l'Italie et l'Allemagne. Ces pays ont levé les restrictions brutalement de 'trop' à 'pas assez'. »

 

Le 11 avril 2022, lors du discours d’ouverture à la 11ème réunion du Comité d’urgence pour la COVID-19, le directeur général de l'OMS a déclaré : « [...] un tiers de la population mondiale n’a pas encore reçu une seule dose, dont 83 % de la population africaine. 

Alors que la pandémie entre dans sa troisième année, trois facteurs sont devenus critiques : 

Premièrement, la fatigue. Les gens sont épuisés, après deux ans de décès, d’isolement social, de réunions familiales manquées, d’écoles fermées et de milieux de travail perturbés. Deuxièmement, la durée de l’immunité à l’égard d’une vaccination ou d’une infection antérieure demeure incertaine. Et troisièmement, nous ne pouvons pas prédire comment le virus évoluera. » Traduit de l'anglais « one third of the world’s population is yet to receive a single dose, including 83% of the population of Africa. 

As the pandemic enters its third year, three factors have become critical : 

First, fatigue. People are exhausted, after two years of deaths, social isolation, missed family reunions, closed schools and disrupted workplaces. Second, the duration of immunity from prior vaccination or infection remains unclear. And third, we can’t predict how the virus will evolve. »

 

 

Huitième vague de la Covid-19 :

 

Les vaccins ne permettent pas d'éviter la transmission du SARSCov.2.

« L’efficacité des vaccins monovalents sur le risque d’hospitalisation par infection BA.4 ou BA.5 reste comparable à celle observée vis-à-vis du sous-variant BA.2. La protection contre les infections diminue rapidement (inférieure à 25%) dans les 3 mois après immunisation mais ré-augmente après rappel (65%), alors qu’elle persiste plus durablement à des taux élevés (55-65%) contre les formes graves et l’hospitalisation et contre les décès (85 à 95%). Cependant cette protection contre les formes sévères
diminue au-delà de 4 mois après le 1er rappel (36%) notamment chez les sujets âgés, l’interprétation en étant limitée par l’échappement immun dû à Omicron. Dans l’hypothèse d’une vague prochaine due au variant BQ.1, l’efficacité des vaccins monovalents pourrait encore diminuer. » (Cf. Avis du 20 octobre 2022 du Comité de Veille et d’Anticipation des Risques Sanitaires (COVARS), p. 13)

 

« Le masque est utile, il sert à se protéger et à protéger les autres. » (Cf. Avis du 20 octobre 2022 du Comité de Veille et d’Anticipation des Risques Sanitaires (COVARS), Les mesures physiques, p. 26)

Suite à la saisine du 29 septembre 2022, c'est induire en erreur Sylvie RETAILLEAU, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François BRAUN, ministre de la Santé et de la Prévention, et c'est un mensonge que de faire croire à la population que les masques chirurgicaux permettent de se protéger. Seuls les masques FFP2 sont efficaces ! Les masques chirurgicaux visent à prévenir les projections de gouttelettes infectieuses émises lors de l'expiration ou de la toux, mais ne peuvent pas filtrer l'air inspiré des particules en aérosol du SARSCov-2 !

Membres du Comité de Veille et d’Anticipation des Risques Sanitaires associés à cet avis :
Brigitte AUTRAN, Présidente, Immunologiste
Fabrice CARRAT, Epidémiologiste
Yvanie CAILLE, Association de patients
Simon CAUCHEMEZ, Modélisateur 
Julie CONTENTI, Urgentiste
Annabel DESGREES du LOU, Démographe
Didier FONTENILLE, Entomologiste
Patrick GIRAUDOUX, Eco-épidémiologiste, One Health
Mélanie HEARD, Politiste en santé
Xavier de LAMBALLERIE, Virologue
Thierry LEFRANCOIS, Vétérinaire, One Health
Roger LE GRAND, Vaccins, One Health 
Xavier LESCURE, Infectiologue 
Bruno LINA, Virologue
Véronique LOYER, Représentante des citoyens
Denis MALVY, Infectiologue
Céline OFFERLE, Association de patients 
Olivier SAINT-LARY, Généraliste 
Rémi SLAMA, Epidémiologiste

 

Plus de la moitié des membres du COVARS n'ont aucune compétence en matière d'épidémie !

 

Neuvième vague de la Covid-19 :

 

Dans un entretien du 09 novembre 2022 avec les lecteurs du Parisien-Aujourd’hui en France , publié le 11 novembre, le ministre de la Santé François Braun a menti en affirmant : « Même si la situation épidémique est plutôt calme depuis trois semaines, une personne meurt encore du Covid (sic) toutes les dix minutes en France ! C’est trop et on sait que, tôt ou tard, une nouvelle vague pourrait arriver. »

Un mort toutes les dix minutes, cela signifie que, chaque jour, en moyenne 144 personnes décèdent de la Covid-19 en France. Ce chiffre est très largement surestimé, ce qui a valu, à juste titre, à François Braun, des accusations de catastrophisme sur les réseaux sociaux. D’après les données de Santé publique France, il y avait, au 10 novembre 2022, 66 décès hospitaliers quotidiens, en moyenne sur les sept derniers jours, de personnes positives au SARS-CoV-2. Sur le mois de novembre, les chiffres journaliers ont oscillé entre 53 et 70.

 

Le 04 décembre 2022, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention a déclaré sur BFMTV : « [...] Ces personnes à risque de formes graves, ce sont les plus de 60 ans et les personnes avec ce que l'on appelle des facteurs de risque . [...] À ceux-là, je dis : c'est impératif de vous faire vacciner, c'est impératif, sinon vous avez un risque de mourir ! Je crois qu'il faut être clair, c'est impératif !! Les personnes qui sont autour, pourquoi il faut qu'elles se vaccinent ? Parce qu'elles risquent d'apporter la maladie à ces personnes elles-mêmes fragiles. Là aussi il faut se faire vacciner. [...] Après, faut-il que tout le monde se fasse vacciner contre le (sic) Covid ? Nous ne sommes pas encore dans cette logique parce que [...] le BQ 1.1, ce fameux variant, n'entraîne pas de formes graves chez les gens qui n'ont pas de facteurs de risque. [...] ».

Le 09 décembre 2022, Olivier Braun, successeur d'Olivier Véran, a menti * en déclarant sur BFMTV/RMC que le variant BO 1.1 « est plus virulent ». En effet, ce variant est certes très contagieux, mais n'est pas plus nocif que les précédents variants. Gouverner par la peur et la manipulation devient une constante chez les ministres de la Santé ! C'est une conduite malhonnête, car le mensonge habite leurs bouches !!

« Contre le (sic) Covid la grippe, la vaccination réduit fortement les risques d'infection et empêche de développer les formes graves de la maladie. [...] Mesdames et Messieurs, j’en appelle solennellement à un sursaut de vaccination [...] pour protéger, PROTÉGER [...] » (Cf. François Braun, Conférence de presse, ministère de la Santé, 9 décembre 2022, Paris)

 

* La tromperie a jailli de sa bouche. Son successeur, Aurélien Rousseau, tiendra également des propos trompeurs (Cf. Annexe 3). 

« [...] quoiqu'il semble que pouvoir tromper soit une marque de subtilité, ou de puissance, toutefois vouloir tromper témoigne sans doute de la faiblesse ou de la malice. » (Cf. Méditations métaphysiques, René Descartes, Éditions PUF, Paris, 1956)

 

Emmanuel Macron a remis un masque le 8 décembre 2022, lors d'un déplacement à Fontaine-le-Comte (Vienne), estimant qu'il était nécessaire de "reprendre des habitudes" : « Je suis les préconisations de mon ministre (François Braun, ministre de la Santé). Face à la remontée de l'épidémie [...] je pense que c'est bien de faire de la pédagogie parce qu'on n'a pas envie de revenir vers des obligations généralisées forcément. Donc c'est aussi une manière de reprendre des habitudes basées sur le volontariat et l'esprit de responsabilité. »

Ce comportement a été très ponctuel !

En effet, seulement quatre jours après, à Paris, au palais de l'Élisée, lors la deuxième session plénière du Conseil national de la refondation (CNR) qui s'est déroulée le 12 décembre 2022, en présence d'une quarantaine de personnes réunies autour d'une table, le président de la République n'a pas porté de masque ! Les participants, Élisabeth Borne, cheffe du Gouvernement , plusieurs ministres, des dirigeants d'organisation syndicales et patronales, et des représentants d'associations d'élus et du monde associatif n'ont pas non plus porté de masque, à l'exception du ministre de la Santé. Emmanuel Macron a même été vu faisant la bise à une participante ! En ce qui concerne l'application des gestes barrières, Emmanuel Macron semble à nouveau être bien éloigné des mesures pédagogiques qu'il prônait quatre jours auparavant ! 

Le lendemain, le 13 décembre 2022, à Paris, lors de la conférence "Solidaires du peuple Ukrainien", Emmanuel Macron, toujours peu concerné par les gestes barrières, a embrassé, à son arrivée dans la salle de réunion, Olena Zelenska, épouse du président de l'Ukraine, Ursula Von Der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Annalena Baerbock, ministre des Affaires étrangères de l'Allemagne. Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais !

 

Le 20 décembre 2022, à Saint-Denis, en présence du ministre de la Santé, Olivier Braun, la Première ministre, Élisabeth Borne, a déclaré au micro de BFMTV : « Je voudrais vraiment repasser un message de responsabilité à tous nos concitoyens. Pour aider ces personnels soignants, on a tous une part, aussi un rôle à jouer, et c'est notamment avec le respect des gestes barrières, le port du masque dès qu'on est dans un espace clos où on est nombreux comme ici, donc je vais bientôt remettre mon masque, mais donc il faut ABSOLUMENT respecter les gestes barrières [...] ». 

C'est incroyable, mais ni la Première ministre, ni le ministre de la Santé n'ont porté de masque !! Madame la Première ministre, de qui se moque-t-on ?

https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-borne-appelle-a-porter-le-masque-dans-les-lieux-clos-pour-aider-les-soignants_AV-202212200350.html

 

Le 22 décembre 2022, lors du dernier conseil des ministres de l'année, le Président de la République et les ministres n'ont pas porté de masque !

 

Le 23 décembre 2022, Yves Buisson, épidémiologiste, président de la cellule Covid-19 de l'Académie nationale de médecine a menti en affirmant sur CNEWS : « Maintenir cette politique zéro Covid (en Chine), çà ne peut pas durer [...] il y a beaucoup de cas, beaucoup de décès (actuellement) [...] Ils (les Chinois) ont fait le mauvais choix [...] les enfants qui souvent ne sont pas symptomatiques [...] ».

Au 23 décembre 2022, sur les 28 derniers jours, la Chine a enregistré 704 décès, alors qu'en France avec une population de 67,5 millions, il y a eu 2 424 morts (plus du triple qu'en Chine avec une population de 1 milliard 400 millions) !

 

Le 29 décembre 2022, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) a affirmé que l'introduction d'un dépistage obligatoire du Covid-19 au sein de l'Union européenne pour les voyageurs arrivant de Chine - qui subit une spectaculaire envolée de l'épidémie - est « injustifiée ».

Face à la circulation massive du coronavirus en Chine, plusieurs pays ont décidé de contrôler les voyageurs en provenance de ce pays : États-Unis, Inde, Corée du Sud, Espagne, Italie. Le Directeur de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus a déclaré que les mesures de protection prises par les autres pays face à la flambée de Covid en Chine sont « compréhensibles » au vu du manque d'informations fournies par Pékin.

Brigitte Autran, présidente du Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires (Covars) a estimé au micro de France Inter que la situation est actuellement maîtrisée, qu'il n'y « pas d'inquiétude particulière » et que le retour des contrôles aux frontières n'était donc « pour l'instant » pas justifié. « Il est vrai que le rappel ne protège pas parfaitement bien de l'infection 1, mais çà ne doit pas faire perdre confiance dans ce vaccin, ce vaccin protège contre les formes graves à 85, 90 %, c'est vraiment une efficacité majeure. »

1. C'est un mensonge ! En vérité, les vaccins actuels protègent très peu contre l'infection, le rappel pouvant même favoriser l'entrée du virus dans l'organisme par l'intermédiaire des anticorps facilitants.

 

Le 30 décembre 2022, le Gouvernement décide enfin d’imposer, à compter du 5 janvier 2023, aux voyageurs de plus de 11 ans en provenance de Chine par avion, un test négatif de moins de 48 heures, préalablement à l’embarquement. Le port du masque pour les passagers de plus de six ans lors de ces vols sera obligatoire. Les voyageurs devront également s’engager à se soumettre à des tests aléatoires à leur arrivée sur le territoire français et à s’isoler (déclaration sur l'honneur) en cas de résultat positif.

 

À compter du 01 février 2023, l'isolement des personnes testées positives « ne sera plus obligatoire ». (Source Ministère de la Santé)

Les cas contacts asymptomatiques n'auront plus besoin de se faire tester.

Le 4 janvier 2023, à Paris, au ministère de l'Intérieur, on a assisté à de nombreuses embrassades ! Fichtre !! On demande aux français de respecter les gestes barrières, mais entre ministres de la macronie, on se fait la bise 2, pas plus qu'on ne porte de masque en salle de réunion 3 ou lors du déjeuner pris en commun à l'Élysée.

2. Quelques exemples :

- La Première ministre Élisabeth Borne et Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur ;

- Le ministre de la Justice Éric Dupont-Moretti et Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur ;

- La ministre de la transition écologique Agnès Pannier-Runacher et Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur.

3. Le conseil des ministres était présidé par le Président de la République Emmanuel Macron.

 

 

(1) Sources :

- Santé publique France. GEODES.

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&i=sp_ti_tp_7j.tx_pe_gliss&s=2021-12-01-2021-12-07&t=a01&view=map2

- Johns Hopkins University (JHU)

https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/dashboards/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6

 

 

Article rédigé par Pascal Bourdaloue

Annexes 

 

Annexe 1

Pass vaccinal

Lors du scrutin public n° 4279 du 05/01/2022, ont voté le projet de loi renforçant les outils de gestion de la crise sanitaire et modifiant le code de la santé publique :

Pour

Caroline Abadie
Damien Adam
Saïd Ahamada
Éric Alauzet
Aude Amadou
Patrice Anato
Pieyre-Alexandre Anglade
Jean-Philippe Ardouin
Stéphanie Atger
Laetitia Avia
Florian Bachelier
Françoise Ballet-Blu
Frédéric Barbier
Sophie Beaudouin-Hubiere
Belkhir Belhaddad
Aurore Bergé
Hervé Berville
Julien Borowczyk
Éric Bothorel
Claire Bouchet
Florent Boudié
Bertrand Bouyx
Pascale Boyer
Yaël Braun-Pivet
Jean-Jacques Bridey
Anne Brugnera
Danielle Brulebois
Stéphane Buchou
Pierre Cabaré
Céline Calvez
Christophe Castaner
Jean-René Cazeneuve
Sébastien Cazenove
Anthony Cellier
Philippe Chalumeau
Sylvie Charrière
Fannette Charvier
Philippe Chassaing
Mireille Clapot
Christine Cloarec-Le Nabour
Jean-Charles Colas-Roy
Fabienne Colboc
François Cormier-Bouligeon
Dominique Da Silva
Olivier Damaisin
Yves Daniel
Catherine Daufès-Roux
Dominique David
Marc Delatte
Michel Delpon
Nicolas Démoulin
Benjamin Dirx
Stéphanie Do
Coralie Dubost
Nicole Dubré-Chirat
Audrey Dufeu
Jean-Marie Fiévet
Alexandre Freschi
Jean-Luc Fugit
Séverine Gipson
Éric Girardin
Guillaume Gouffier-Cha
Florence Granjus
Stanislas Guerini
Marie Guévenoux
Yannick Haury
Christine Hennion

Danièle Hérin
Alexandre Holroyd
Sacha Houlié
Caroline Janvier
Catherine Kamowski
Guillaume Kasbarian
Yannick Kerlogot
Rodrigue Kokouendo
Sonia Krimi
Daniel Labaronne
Amélia Lakrafi
Anne-Christine Lang
Jean-Claude Leclabart
Christophe Leclercq
Martine Leguille-Balloy
Christophe Lejeune
Marion Lenne
Richard Lioger
Brigitte Liso
Mounir Mahjoubi
Jacques Marilossian
Denis Masséglia
Jean François Mbaye
Graziella Melchior
Ludovic Mendès
Thomas Mesnier
Marjolaine Meynier-Millefert
Monica Michel-Brassart
Thierry Michels
Mickaël Nogal
Valérie Oppelt
Xavier Paluszkiewicz
Sophie Panonacle
Zivka Park
Charlotte Parmentier-Lecocq
Anne-Laurence Petel
Michèle Peyron
Béatrice Piron
Jean-Pierre Pont
Florence Provendier
Isabelle Rauch
Rémy Rebeyrotte
Stéphanie Rist
Mireille Robert
Laëtitia Romeiro Dias
Muriel Roques-Etienne
Cédric Roussel
Thomas Rudigoz
Nathalie Sarles
Denis Sommer
Bertrand Sorre
Bruno Studer
Marie Tamarelle-Verhaeghe
Liliana Tanguy
Sylvain Templier
Valérie Thomas
Huguette Tiegna
Nicole Trisse
Laurence Vanceunebrock
Pierre Venteau
Marie-Christine Verdier-Jouclas
Annie Vidal
Patrick Vignal
Corinne Vignon
Stéphane Vojetta
Souad Zitouni
Jean-Marc Zulesi

 

LR

Damien Abad
Valérie Bazin-Malgras
Sandra Boëlle
Ian Boucard
Bernard Bouley
Marine Brenier
Bernard Brochand
Éric Ciotti
Rémi Delatte
Marianne Dubois
Nicolas Forissier
Claude de Ganay
Annie Genevard
Victor Habert-Dassault

Michel Herbillon
Sébastien Huyghe
Christian Jacob
Guillaume Larrivé
Constance Le Grip
Véronique Louwagie
Emmanuel Maquet
Alain Ramadier
Robin Reda
Jean-Marie Sermier
Jean-Louis Thiériot
Charles de la Verpillière
Michel Vialay
Éric Woerth

 

Modem

Erwan Balanant
Géraldine Bannier
Justine Benin
Christophe Blanchet
Philippe Bolo
David Corceiro
Michèle Crouzet
Jean-Pierre Cubertafon
Marguerite Deprez-Audebert
Nadia Essayan
Isabelle Florennes
Bruno Fuchs
Maud Gatel
Luc Geismar
Perrine Goulet
Brahim Hammouche

Élodie Jacquier-Laforge
Christophe Jerretie
Fabien Lainé
Max Mathiasin
Jean-Paul Mattéi
Sophie Mette
Philippe Michel-Kleisbauer
Patrick Mignola
Bruno Millienne
Jimmy Pahun
Frédéric Petit
Josy Poueyto
Richard Ramos
Nicolas Turquois
Laurence Vichnievsky
Philippe Vigier

 

Socialistes et apparentés

Guillaume Garot
David Habib
Chantal Jourdan
Dominique Potier
Valérie Rabault
Sylvie Tolmont
Cécile Untermaier

 

Agir emsemble

Olivier Becht
Paul Christophe
Loïc Kervran
Aina Kuric
Luc Lamirault
Patricia Lemoine
Lise Magnier
Benoît Potterie

 

UDI et apparentés

Yannick Favennec-Bécot
Sophie Métadier
Valérie Six

 

Liberté et territoires

Sylvia Pinel

 

Non inscrits

Emmanuelle Ménard

 

Contre (93)

LREM

Lénaïck Adam
Marie-Ange Magne
Olivier Serva

LR

Emmanuelle Anthoine
Nathalie Bassire
Anne-Laure Blin
Jean-Luc Bourgeaux
Xavier Breton
Fabrice Brun
Dino Cinieri
Pierre Cordier
Josiane Corneloup
Fabien Di Filippo
Philippe Gosselin
Patrick Hetzel

Mansour Kamardine
Brigitte Kuster
David Lorion
Olivier Marleix
Maxime Minot
Jérôme Nury
Guillaume Peltier
Christelle Petex-Levet
Jean-Luc Reitzer
Laurence Trastour-Isnart
Isabelle Valentin
Pierre Vatin

 

Socialistes et apparentés

Alain David
Laurence Dumont
Régis Juanico
Marietta Karamanli
Jérôme Lambert
Gérard Leseul
Philippe Naillet
Claudia Rouaux
Hervé Saulignac
Michèle Victory

 

UDI et apparentés

Thierry Benoit
Pascal Brindeau
Béatrice Descamps
Grégory Labille
Christophe Naegelen
Agnès Thill
André Villiers
Michel Zumkeller

 

Liberté et territoires

Jean-Félix Acquaviva
Michel Castellani
Paul-André Colombani
Jennifer De Temmerman
Olivier Falorni
Jean Lassalle
Paul Molac

 

LFI

Ugo Bernalicis
Éric Coquerel
Alexis Corbière
Caroline Fiat
Bastien Lachaud
Michel Larive
Jean-Luc Mélenchon
Danièle Obono
Mathilde Panot
Adrien Quatennens
Jean-Hugues Ratenon
Muriel Ressiguier
Sabine Rubin
François Ruffin
Bénédicte Taurine

 

Gauche démocrate et républicaine

Alain Bruneel
André Chassaigne
Pierre Dharréville
Elsa Faucillon
Sébastien Jumel
Karine Lebon
Jean-Paul Lecoq
Jean-Philippe Nilor
Stéphane Peu

 

Non inscrits

Delphine Bagarry
Delphine Batho
Bruno Bilde
Émilie Cariou
Guillaume Chiche
Nicolas Dupont-Aignan
Paula Forteza
Myriane Houplain
Marine Le Pen
Marie-France Lorho
Nicolas Meizonnet
Matthieu Orphelin
Catherine Pujol
Joachim Son-Forget
Aurélien Taché
Cédric Villani
Martine Wonner

Annexe 3

 

Comme ses deux prédécesseurs, Aurélien Rousseau, ministre de la Santé, est un menteur !

En effet, le 03 octobre 2023, sur France inter, il a osé affirmer : « On a un vaccin qui est plus efficace [...] maintenant, on a trois ans de recul, on sait qu'on a pas d'effets secondaires, et donc il faut y aller [...] ».

 

https://twitter.com/franceinter/status/1709095534730817791?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1709125476101329293%7Ctwgr%5Edd85d186443a4dba66a0a67f32597f58f23952ab%7Ctwcon%5Es3_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.liberation.fr%2Fchecknews%2Fpeut-on-affirmer-comme-aurelien-rousseau-quil-ny-a-pas-deffets-secondaires-avec-les-vaccins-anti-covid-20231004_MI4NIZHAXBGBJNREEXGJFHV4AQ%2F

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27 février 2021 6 27 /02 /février /2021 21:24

Comme en Grande-Bretagne, la France est devenue au fil des mois une véritable passoire à coronavirus ! (Cf. Troisième vague du coronavirus SARS-CoV-2 en France. Vérités et mensonges de décembre 2020 à février 2021, lien ci-dessous) 

https://la-veritable-lumiere.over-blog.com/2020/12/troisieme-vague-du-coronavirus-sars-cov-2.html

 

Troisième vague (suite)

 

Le 01 mars 2021, le directeur général de l'OMS a déclaré : « Les vaccins permettront de sauver des vies, mais les pays commettraient une erreur en ne comptant que sur ceux-ci. En effet les mesures de santé publique de base demeurent le fondement de la riposte. Pour les autorités de santé publique, cela englobe le dépistage, la recherche des contacts, l’isolement, la mise en quarantaine soutenue et des soins de qualité. Pour les personnes, cela signifie éviter les foules, pratiquer la distanciation physique et l’hygiène des mains, porter un masque et veiller à disposer de systèmes de ventilation. »

 

La situation sanitaire en France est très préoccupante alors que nous sommes confrontés aux conséquences des variants du coronavirus.

 

Le 22 mars 2021, le directeur général de l'OMS a déclaré : « Plus le virus se transmet, plus des variants apparaissent. Et plus des variants apparaissent, plus ils sont susceptibles d’échapper aux vaccins. »

 

Le 31 mars 2021, dans une allocution télévisée, le président de la république, Emmanuel Macron, a affirmé : « Grâce à la vaccination, la sortie de crise se dessine [...] et le vaccin est efficace [...] » Alors que la situation est incontrôlée depuis plusieurs mois, le président de la République, Emmanuel Macron, a menti en faisant croire aux français que nous n'avions jamais perdu le contrôle de l'épidémie. « [...] sans jamais perdre le contrôle de l'épidémie », a-t-il dit !

 

Le 12 avril 2021, le directeur général de l'OMS a déclaré : « [...] la confusion, l’excès de confiance et les messages contradictoires qui ont parfois caractérisé les mesures de santé publique et leur application aggravent au contraire la transmission du virus et le nombre des morts [...] nous n’avons pas encore bien compris les conséquences à long terme de l’infection chez les survivants. Beaucoup de ceux qui n’ont éprouvé qu’une affection bénigne font état de symptômes durables – fatigue, manque d’énergie, brouillard mental, vertiges, tremblements, insomnie, dépression, anxiété, douleurs articulaires, oppression thoracique, etc. Ce sont là les symptômes de la COVID-19 de longue durée. »

 

Le 19 avril 2020, dans une interview accordée au Télégramme de Brest, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a affirmé : « Depuis cinq jours, nous amorçons une décroissance de l’épidémie. »

 

Alors que la part des variants brésilien et sud-africain a brusquement augmenté en quelques jours en Île-de-France, « La situation, elle est sous contrôle [...] l'épidémie a plutôt tendance à régresser [...] », selon le ministre de la Santé, Olivier Véran !

 

« La situation épidémique continue de s'améliorer à un rythme régulier », a assuré le Premier ministre, Jean Castex, à l'issue du conseil des ministres qui s'est déroulé le 18 avril 2020, à Paris.

 

Depuis le 24 avril, sont soumis à une quarantaine, les voyageurs en provenance des pays suivants : Brésil, Inde, Chili, Afrique du Sud et Argentine.

À compter du 09 mai, la quarantaine concernera également les voyageurs en provenance des pays suivants : Bangladesh, Sri Lanka, Pakistan, Népal, Émirats arabes unis et Qatar.

Cette quarantaine est toutefois assortie d'une permission de sortie entre 10H00 et 12H00 !

 

À compter du 14 mai, la quarantaine est étendue aux voyageurs en provenance des pays suivants : Bahreïn, Colombie, Costa Rica et Uruguay.

 

Quatrième vague

 

Le 15 juillet 2021, Emmanuel Macron, en visite dans les Pyrénées, n'a pas respecté les gestes barrières !

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/dans-les-pyr%C3%A9n%C3%A9es-macron-et-son-b%C3%A2ton-de-p%C3%A8lerin-au-sanctuaire-de-lourdes/ar-AAMdMc1?ocid=msedgntp

 

Déclaration  du 17 juillet 2021 de Gabriel Attal :

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/dor%C3%A9navant-c-est-soit-la-vaccination-g%C3%A9n%C3%A9rale-soit-le-tsunami-viral-pr%C3%A9vient-gabriel-attal/ar-AAMhrAG?ocid=msedgntp

 

Le 21 juillet 2021, sur TF1, le Premier ministre, Jean Castex a affirmé : « [...] la vaccination ça marche ; on a constaté que les personnes qui ont deux doses [...] les analyses faites sur ces personnes montrent qu'en réalité elles n'ont plus de chance d'attraper la maladie. » L'émergence de la cinquième vague (voir ci-dessous) prouvera que ces propos sont absolument faux ! Le comble est que Jean Castex lui-même contractera la maladie fin novembre malgré une vaccination complète !!

 

Le 25 juillet 2021, de retour de Martinique, Karine Baste-Régis dénonce le manque de contrôle à son arrivée à Orly :

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/aucun-test-covid-demand%C3%A9-karine-baste-r%C3%A9gis-d%C3%A9nonce-le-manque-de-contr%C3%B4le-%C3%A0-son-arriv%C3%A9e-%C3%A0-orly/ar-AAMxAv8?ocid=msedgntp

 

Le 26 juillet 2021, les députés Valérie Rabault, présidente du groupe Socialistes et apparentés, Jean-Luc Mélenchon, président du groupe La France Insoumise, André Chassaigne, président du groupe La Gauche Démocrate et Républicaine, et Bertrand Plancher, Président du groupe Libertés et territoires, ont effectué un recours au Conseil Constitutionnel sur le projet de loi relatif à la gestion de la crise sanitaire. Quelle incompétence ! (Cf. Liste des 74 députés signataires en annexe 2)

 

Le 28 juillet 2021, le ministre de l’Éducation, Jean-Michel Blanquer, a affirmé sur France Info que « quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de contaminer les autres ».

 

Par décision du 05 août 2021, le Conseil Constitutionnel a censuré l'article 9 portant sur l'isolement des personnes positives à la Covid-19 pour une durée de 10 jours, alors qu'il s'agissait d'une mesure efficace pour lutter contre la propagation du virus !

 

Le 16 août 2021, le gouvernement de  Hong-Kong a décidé de classer à risque les pays suivants  : Bangladesh, Cambodge, Espagne, Émirats Arabes Unis, États-Unis, France, Grèce, Iran, Malaisie, Pays-Bas, Sri Lanka, Suisse, Tanzanie, Thaïlande, Turquie.

 

Fin août 2021, sur les 11245 personnes hospitalisées, 74 patients sont des enfants de moins de 9 ans !

 

Le port du masque ne sera plus obligatoire dans l’Oise à compter du 20 septembre dans les établissements, lieux et services soumis au passe sanitaire. (Cf. Arrêté préfectoral du 17 septembre 2021)

 

 

Cinquième vague

 

Selon l'épidémiologiste Martin Blachier, les vaccinés transmettent le virus !

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/vid%C3%A9o-les-vaccin%C3%A9s-transmettent-martin-blachier-jette-un-pav%C3%A9-dans-la-mare/ar-AAQIX7X?ocid=msedgntp

Les personnes vaccinées peuvent quand même « transmettre à n'importe qui », car elles peuvent être infectées. En effet, si elles deviennent positives, elles peuvent contaminer les autres. C'est ce qu'a affirmé, dès novembre 2021, auprès de la revue Science, Ruth Karron, directrice du Centre de recherche vaccinale de l'université américaine Johns Hopkins.

Les variants Bêta et Omicron ont la caractéristique de présenter potentiellement une résistance à la vaccination.

 

Selon l'épidémiologiste Antoine Flahaut, l'Europe est confrontée à sa pire vague épidémique !

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/covid-19-l-europe-confront%C3%A9e-%C3%A0-sa-pire-vague-selon-l-%C3%A9pid%C3%A9miologiste-antoine-flahaut/ar-AAQTxCX?ocid=msedgntp

 

Le 22 novembre 2021, Le Premier ministre, Jean Castex, a contracté la Covid malgré deux doses de vaccin, lui qui affirmait  en juillet (ci-dessus) que les personnes vaccinées « n'ont plus de chance d'attraper la maladie ».

Lors du congrès des maires de France, Jean Castex, accompagné du ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, n'a pas du tout respecté les gestes barrières, dans un lieu clos, sans masque, serrant les mains d'élus d'Île-de-France, comme vous pouvez le constater dans la vidéo contenue dans l'article de BFMTV suivant :

https://www.bfmtv.com/politique/castex-positif-au-covid-clement-beaune-efface-une-photo-ou-on-le-voit-a-ses-cotes-sans-masque_AN-202111230062.html

Lors de ce même congrès, le Président de la République lui-même, Emmanuel Macron n'a pas respecté les gestes barrières, en présence de François Baroin, président de l'Association des maires de France.

 

Le 25 novembre 2021, lors de la conférence de presse relative au point de situation sur la lutte contre la Covid-19 en France, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a affirmé : « [...] Le vaccin est donc très protecteur [...] d'un seul coup, avec le rappel, l'immunité redevient optimale.  C'est très impressionnant de voir cela. »  L'efficacité contre l'infection est de 92%, contre les formes symptomatiques de 94% 1 et de 97% contre les hospitalisations.

Tout au long de cette conférence, Olivier Véran et le ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, Jean-Michel Blanquer, ont pris leur masque pour un kleenex ! Comme d'habitude, ils n'ont pas respecter les gestes barrières en enlevant leur masque lors de leur prise de parole ! 

1.  C'est un mensonge ! Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré lors du point presse du 24 novembre 2021 : 

« [...] Dans de nombreux pays et collectivités, nous sommes animés par le faux sentiment de sécurité que les vaccins ont mis fin à la pandémie et que les personnes vaccinées n’ont pas besoin de prendre d’autres précautions. Les vaccins sauvent des vies, mais ils n’empêchent pas complètement la transmission. Les données indiquent qu’avant l’arrivée du variant Delta, les vaccins réduisaient la transmission d’environ 60 %. Avec Delta, cette proportion est tombée à environ 40 %. Si vous êtes vacciné, vous avez un risque beaucoup plus faible de maladie grave et de décès, mais vous courez toujours le risque d'être infecté et d'infecter d'autres personnes. Nous ne pouvons pas le dire assez clairement : même si vous êtes vacciné, continuez à prendre des précautions pour éviter de vous infecter et d’infecter quelqu’un d’autre qui pourrait mourir. [...] » Traduit de l'anglais : « [...] In many countries and communities, we are concerned about a false sense of security that vaccines have ended the pandemic, and that people who are vaccinated do not need to take any other precautions. Vaccines save lives, but they do not fully prevent transmission. Data suggest that before the arrival of the Delta variant, vaccines reduced transmission by about 60%. With Delta, that has dropped to about 40%. If you are vaccinated, you have a much lower risk of severe disease and death, but you are still at risk of being infected, and of infecting others. We cannot say this clearly enough : even if you are vaccinated, continue to take precautions to prevent becoming infected yourself, and to infecting someone else who could die. [...] »

 

Le 26 novembre 2021, Emmanuel Macron, en visite au Vatican, n'a pas respecté les gestes barrières en présence du pape !

 

Le 29 novembre 2021, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin a affirmé sur RMC : « La vaccination, c'est la protection [...] »

Le ministre des Outre-mer, Sébastien Lecornu, n'a pas respecté les gestes barrières lors de sa venue en Guadeloupe !

 

Le 30 novembre 2021, Éric Zemmour, candidat à l'élection présidentielle de 2022, n'a pas respecté les gestes barrières dans son local de campagne !

 

Le 02 décembre 2021, Christian Jacob, président des Républicains (LR), n'a pas respecté les gestes barrières lors du Congrès pour la France.

Le 04 décembre, le député Damien Abad, les candidats Valérie Pécresse et Éric Ciotti (LR) n'ont pas respecté les gestes barrières lors du deuxième tour du Congrès pour la France.

Le 05 décembre, les députés LFI Mathilde Panot et Éric Coquerel n'ont pas respecté les gestes barrières lors du meeting de Jean-Luc Mélenchon à Paris. Le même jour, Éric Zemmour, a pris un bain de foule sans respecter les gestes barrière lors de son meeting qui s'est déroulé à Villepinte.

 

Le 02 décembre 2021, Jean-Marc Sabatier, directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, éditeur-en-chef des revues scientifiques internationales : « Coronaviruses » et « Infectious Disorders – Drug Targets », a déclaré : « L’injection de cette troisième (voire quatrième) dose vaccinale [...] conduirait à un effet opposé à celui recherché, avec des personnes vaccinées plus sensibles à une infection ultérieure au SARS-CoV-2 (variants « Delta » et/ou « Omicron » ?) et à ses effets délétères ou létaux. Ledit « remède » pourrait donc conduire à des effets plus graves sur les personnes vaccinées puis infectées par un nouveau variant du SARS-CoV-2. »

https://infodujour.fr/societe/54462-covid-19-la-vaccination-de-masse-est-inappropriee

 

Le 06 décembre 2021, lors du point presse Covid-19, le Premier ministre, Jean Castex a déclaré : « [...] avec le recul des derniers mois, nous savons que si le vaccin limite les risques de contamination et protège très bien contre les formes graves [...] on voit aujourd'hui dans nos chiffres qu'être vacciné n'exclue pas d'attraper le virus et donc de le diffuser. »

Le 25 novembre dernier, lors du précédent point presse, le ministre de la Santé, Olivier Véran, affirmait déjà le contraire : « Le vaccin est donc très protecteur » (Cf. ci-dessus). Ce jour, Olivier Véran persévère dans le mensonge : « [...] si vous n'avez jamais été vacciné et que vous vous dites [...] je vais me protéger et protéger les autres [...] de vous protéger contre la Covid. » Non, La vaccination ne met pas à l'abri du risque de contamination !

Le 25 février 2021, lors de la conférence de presse Covid-19, Jean Castex avait déclaré : « Cela fait presque un an que nous faisons face à la plus grave crise sanitaire de notre histoire récente [...] Notre premier impératif n'a jamais été négociable : protéger votre santé, réussir à soigner tout le monde [...] Notre deuxième exigence, c'est le devoir de vérité, c'est la condition de la confiance sans laquelle aucune mobilisation collective n'est possible. »

 

Au 07 décembre 2021, avec 699 829 cas sur les 28 derniers jours, la France est le cinquième pays au monde ayant le plus de cas de Covid-19, derrière les USA, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et la Russie. 

Le 08 décembre, au Sénat, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a déclaré : « Un malade atteint de formes graves rentre en réanimation à l'hôpital toutes les 10 minutes, et il y a presque un nouveau malade hospitalisé quelque part en France toutes les minutes en raison d'une forme symptomatique du Covid, raison pour laquelle nous mettons l'accent sur la vaccination ».

Le président de la République, Emmanuel Macron, lors d'une interview à France Bleu pays d'Auvergne, a menti en affirmant : « Avec le pass sanitaire, avec l'accélération de la vaccination, nous sommes protégés. »

Il est démenti par Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique Covid-19, qui, lors d'une audition devant la commission des Affaires Sociales du Sénat, a déclaré : « Est-ce que la vaccination suffira pour limiter la cinquième vague ? La réponse est non ! On a absolument besoin de l'ensemble de la boîte à outil. »

Rappel : Voici 9 mois, le 01 mars 2021, le directeur général de l'OMS avait déclaré : « Les vaccins permettront de sauver des vies, mais les pays commettraient une erreur en ne comptant que sur ceux-ci .» (Cf ci-dessus)

 

Au 13 décembre 2021, avec 972854 cas sur les 28 derniers jours, la France est le quatrième pays au monde ayant le plus de cas de Covid-19, derrière les USA, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et  devant la Russie. 

 

Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré lors du point presse du 14 décembre 2021 : « Je dois être très clair : les vaccins à eux seuls ne sortiront aucun pays de cette crise. Les pays peuvent – et doivent – empêcher la propagation d’Omicron avec des mesures qui fonctionnent aujourd’hui. Ce ne sont pas des vaccins au lieu de masques. Ce ne sont pas des vaccins au lieu de la distanciation. Ce ne sont pas des vaccins au lieu de la ventilation ou de l’hygiène des mains. Faites tout. Faites-le constamment. Faites-le bien. Les vaccins sont les outils qui ont le plus d’impact lorsqu’ils sont utilisés pour protéger les personnes les plus à risque, dans tous les pays. » Traduit de l'anglais : « I need to be very clear: vaccines alone will not get any country out of this crisis. Countries can – and must – prevent the spread of Omicron with measures that work today. It’s not vaccines instead of masks. It’s not vaccines instead of distancing. It’s not vaccines instead of ventilation or hand hygiene. Do it all. Do it consistently. Do it well. Vaccines are tools that have the greatest impact when they are used to protect those who are most at risk, in all countries. »

 

Le 17 décembre 2021,  lors du point presse Covid-19, le Premier ministre, Jean Castex, a déclaré : « La cinquième vague Delta [...] elle continue de fortement nous toucher avec plus de 50 000 cas par jour même si elle semble se rapprocher de son point cuminant 2 [...] le virus omicron, il se diffuse de façon fulgurante [...] avec un nombre de cas qui double tous les deux à trois jours 3.

2.  C'est faux, le taux d'incidence continue de progresser !

3.  C'est un mensonge pour apeurer les français !

 

Le 18 décembre 2021, Olivier Véran, ministre de la Santé, a affirmé : « [...] avec un variant (Omicron) aussi contagieux, ceux qui ne sont pas vaccinés seront contaminés. [...] Les anglais parlent quand même de 200, 300, 400000 cas par jour 4 [...] ».

Le 20 décembre, en Grande-Bretagne, le nombre de cas s'élève à 91 734 (record le 17/12 avec 92 505 cas) et 82808 en moyenne sur 7 jours. 

4.  C'est inexact, ces chiffres sont communiqués pour apeurer ! Le record quotidien sera établi le 04 janvier 2022 avec 218705 nouveaux cas.

 

Le 20 décembre 2021, Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, ancienne ministre de la Santé a déclaré sur CNEWS : « [...] elle est de l'ordre de 70% la protection contre Omicron. Donc vaccinons-nous ! »

C'est exact ! Omicron est plus résistant aux vaccins actuels que le variant delta. Avec trois doses de PFIZER, le taux d'efficacité serait actuellement de 75, 3% contre les formes graves contre 92, 6% contre Delta après rappel. Après 2 doses de PFIZER, l'efficacité est de 70% contre 88,2 % avec Delta ; 10 à 14 semaines après, l'efficacité tombe à 77, 7 % avec Delta. L'efficacité du vaccin PFIZER contre la contamination par le variant Omicron serait de 33% après deux doses, et de 40% avec Delta.

 

Le 20 décembre 2021, Gabriel Attal, porte-parole du Gouvernement, a déclaré sur LCI : « Sur ce variant [...] Il est extrêmement contagieux [...] On estime qu'il se développe 70% plus vite dans les cellules que les précédents variants [...] »

Le 21 décembre, Gabriel Attal a déclaré sur France 2 : « [...] le variant Omicron [...] la mauvaise nouvelle, c'est que ce variant est nettement plus contagieux que tout ce qu'on a connu. On estime qu'il se développe 70% plus rapidement dans les cellules de l'organisme que les variants précédents, et on voit une progression absolument foudroyante au Royaume-Uni (1) et dans d'autres pays [...] Le rappel de vaccination est efficace face au variant Omicron [...] on le voit au Royaume-Uni par un déluge de contaminations. Quand on fait son rappel (3ème dose), on est protégé très fortement face au variant Omicron [...] On est protégé 6 » 

5.  C'est faux ! En Grande-Bretagne, au 14 décembre on totalisait 1 286 011 cas positifs sur les 28 derniers jours et 3551 décès. Au 21 décembre, le total des cas s'élevait à 1 575396 (environ + 20%) et 3309 décès (baisse de la mortalité avec - 42 morts).

6.  C'est un mensonge. La protection est seulement d'environ 75 % contre Omicron. 

Le 21 décembre, Gabriel Attal a déclaré depuis Matignon : « Près de 73000 cas positifs ont été détectés hier (ces dernières 24h) dans notre pays, ce qui correspond à une hausse de l'ordre de 15% par rapport au lundi précédent. Tout porte donc à montrer qu'après plusieurs semaines de ralentissement, l'épidémie repart à la hausse. » (3)

C'est un nouveau mensonge. Le taux d'incidence n'a cessé de progresser ces trois dernières semaines, passant de 311 le 28 novembre, 444 le 04 décembre, à 505 le 11 décembre et à 544 le 18 décembre ! 

 

La semaine du 20 décembre, Omicron représentait 49,3% (83,9% en région Île-de-France, 58,1% en Hauts-de-France, 100% en Bretagne) des virus séquencés contre 10,6% la semaine du 13 décembre et seulement 1,4% la semaine du 06 décembre.

 

Le 27 décembre 2021, lors de la conférence de presse Covid-19, le Premier ministre, Jean Castex, a déclaré : « [...] La vaccination nous protège et que par voie de conséquence elle protège les autres (1) [...] Aujourd'hui [...] nous sommes l'un des peuples les plus vaccinés (2) au monde donc le plus protégé. »

Olivier Véran, ministre de la santé, a déclaré : « [...] À l'heure actuelle quelles sont nos certitudes concernant le variant Omicron : [...] le temps de doublement, c'est-à-dire le nombre de malades contaminés, double tous les deux jours (3) ; c'était tous les 12 à 15 jours avec le variant Delta. [...] la 3ème dose, quand on est à jour de son rappel, fait immédiatement remonter le niveau de protection au-dessus de 90%, même bien au-dessus de 90% face au risque de formes graves. (4) [...] On est parmi, vraiment, les leaders, (5) je crois qu'on est sur le podium européen voire mondial (2) en terme de couverture vaccinale. »

(1) C'est faux, actuellement, la vaccination est seulement efficace à 33% contre la contamination par Omicron.

(2) C'est un mensonge. La France est pour le moment le 24ème pays au monde (7ème pays européen) ayant le plus vacciné sa population. 

(3) C'est faux ! Le 17 décembre dernier, Jean Castex a déjà utilisé cette annonce fallacieuse pour effrayer les français.

Par exemple, le taux d’incidence a certes doublé (113%), mais en 7 jours, en région parisienne, en passant de 1.168 à 2.489 nouveaux cas positifs pour 100.000 habitants, entre les semaines du 17 au 23 décembre et du 24 au 30 décembre. Une semaine plus tard, entre le 31 décembre et le 6 janvier, le nombre de cas pour 100.000 habitants enregistrés dans cette région avait seulement progressé de 59 %. L'augmentation la plus importante a été enregistrée en Normandie, région qui représente moins de 5% de la population française, avec + 219% entre les semaines du 17 au 23 décembre et du 24 au 30 décembre, soit un doublement en 3,5 jours environ.

(4) Nouveau mensonge. Cf. ci-dessus 20 décembre 2021. Le chiffre communiqué par Olivier Véran concerne le variant Delta ! La dose de rappel diminue d'environ 70% le risque de faire une forme grave après une infection par Omicron.

(5) Quel autre mensonge ! Il aurait mieux valu dire la vérité aux français. Que nous étions certes parmi les premiers, mais en matière de contaminations, puisque nous sommes désormais le 3ème pays au monde ayant eu le plus de cas positifs sur les 28 derniers jours !

 

Le 28 décembre 2021, sur les 28 derniers jours, avec un total de 1 519 670 cas positifs, la France est le troisième pays au monde le plus contaminé par le coronavirus ! (Source : Université Johns Hopkins, USA )

Le Portugal, pays ayant le plus vacciné (environ 88% de la population est totalement vaccinée) en Europe, connaît une flambée épidémique ! Moins de 1000 cas du 18 septembre au 02 novembre, 4670 cas le 01 décembre, 3732 cas le 26 décembre.

L'île de Malte, deuxième pays ayant le plus vacciné en Europe enregistre une vague épidémique sans précédent depuis deux ans, avec 832 cas le 27 décembre contre 95 cas le 01 décembre et 50 cas au maximum du 05 septembre au 12 novembre.

Les Émirats Arabes Unis, 2ème pays au monde ayant le plus vacciné (91,6% au 26/12), connaît également une nouvelle vague épidémique avec une croissance exponentielle du nombre de cas ! Moins de 100 cas par jour du 22 octobre au 13 décembre, 200 cas le 16 décembre, 1803 cas le 26 décembre.

Avec 77, 02% de sa population totalement vaccinée, la France est le 24ème pays au monde ayant le plus vacciné, le 7ème en Europe, derrière l'Espagne (80,65%). Au Chili, plus de 93% de la population est totalement vaccinée.

Le taux de vaccination en Afrique du Sud est seulement de 26,58% au 26 décembre.

 

Rappel :

Le 20 juillet 2021, lors d'une interview accordée à RTL sur le nombre élevé de contaminations chez les jeunes, la quatrième vague et la vaccination obligatoire des soignants, Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé, a déclaré : « [...] plus nous nous vaccinons, plus nous freinons le virus, et plus nous limitons les risques de constater un impact sanitaire dans quelques semaines ; quand on constate l'impact sanitaire, et qu'on se dit : ah ben, oui, vous avez vu, finalement, ça monte, c'est trop tard, donc c'est maintenant qu'il faut agir, c'est pour ça qu'on met l'accent sur la vaccination [...] si nous n'avions pas eu le vaccin, si nous n'avions pas eu le vaccin avec le variant Delta aujourd'hui, on ne parlerait effectivement pas de vague, je crois que c'est Gabriel Attal qui a parlé à juste titre de tsunami [...] Donc il y a urgence à nous vacciner [...] »

https://www.vie-publique.fr/discours/280882-olivier-veran-20072021-contamination-chez-les-jeunes-quatrieme-vague

 

Le 16 septembre 2021, lors de l'interview accordée à RTL sur un possible allègement des contraintes sanitaires dans certains départements, notamment pour le pass sanitaire, Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé, a déclaré : « [...] La situation s'est considérablement améliorée grâce à la vaccination massive de la population française, grâce au maintien de gestes barrières, à l'attention la vigilance des Français et puis grâce à des outils précieux comme par exemple pas sanitaire [...] »

https://www.vie-publique.fr/discours/281583-olivier-veran-16092021-allegement-des-contraintes-sanitaires-passe-sanit

 

Le 28 décembre 2021, le nombre de nouveaux cas confirmés s'élève à 179 807, en hausse d'environ 70% par rapport au 25 décembre (179 807 cas) et d'environ 130% par rapport à la semaine dernière (72832 cas le 21/12). Le taux d'incidence franchit la barrière des 800 cas pour 100 000 habitants.

Le 14 décembre dernier, Olivier Véran affirmait pourtant à l'Assemblée nationale : « Il semble que nous ayons atteint un pic épidémique dans notre pays, un pic très élevé, 50 000 contaminations par jour [...] »

Quelle incompétence !!

 

Le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré lors de la conférence de presse du 29 décembre 2021 : « Les personnes non vaccinées sont beaucoup plus à risque de mourir de l’un ou l’autre des variants (Delta ou Omicron). [...] Au fur et à mesure que cette pandémie s’éternise, il est possible que de nouveaux variants échappent à nos contre-mesures et deviennent totalement résistants aux vaccins actuels ou aux infections passées, nécessitant des adaptations vaccinales.», traduit de l'anglais : « The unvaccinated are many times more at risk of dying from either variant. [...] As this pandemic drags on, it is possible that new variants could evade our countermeasures and become fully resistant to current vaccines or past infection, necessitating vaccine adaptations. »

 

Important :

Le 30 décembre 2021, un article paru dans la revue The Lancet indique qu'au Royaume-Uni, « un total 100 160 cas de COVID-19 ont été signalés (entre la semaine 39 et la semaine 42) chez les citoyens de 60 ans et plus. 89 821 cas sont survenus chez les personnes complètement vaccinées (89,7 %), 3395 chez les personnes non vaccinées (3,4 %) », traduit de l'anglais : « a total of 100,160 COVID-19 cases were reported among citizens of 60 years or older. 89,821 occurred among the fully vaccinated (89.7 percent), 3395 among the unvaccinated (3.4 percent) ».

https://principia-scientific.com/lancet-89-of-new-uk-covid-cases-among-fully-vaxxed/

 

Par décret du président de la République, Emmanuel Macron, en date du 31 décembre 2021 portant promotion et nomination à titre exceptionnel dans l'ordre national de la Légion d'honneur, Jean-François Delfraissy, infectiologue, immunologiste, président du conseil scientifique Covid-19 a été promu commandeur. Cinq autres membres du conseil scientifique ont également distingué dans cette promotion :

- Aymeril-Primaël Hoang, conseiller en numérique, est promu chevalier ;

 Simon Cauchemez, épidémiologiste en modélisation mathématique et analyse de données épidémiques complexes est promu chevalier ;

- Franck Chauvin , professeur de santé publique, président du haut conseil de la santé publique, membre du conseil scientifique Covid-19, est promu officier ;

- Jean-Laurent Casanova, professeur de médecine pédiatrique, est promu officier ;

- Arnaud Fontanet, professeur de médecine, épidémiologiste d'un institut de recherche est promu officier.

L'ex-ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a été promue chevalier. Rappelons que Mme Buzyn a été mise en examen en septembre 2021 par la Cour de justice de la République (CJR) pour « mise en danger de la vie d'autrui » dans sa gestion de l'épidémie de Covid-19. Quel scandale !

 

Le 30 décembre 2021, 59 des 96 départements de la France métropolitaine ont présenté un taux d'incidence supérieur à 1000 cas pour 100 000 habitants. La Savoie, la Haute-Savoie, Paris, la Seine-et-Marne, l'Yonne, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne, le Val d'Oise et la Corse du Nord, soit 10 départements, ont un taux supérieur à 2000 cas, et deux départements un taux supérieur à 3000 cas : le Territoire-de-Belfort et l'Essonne !

 

Statistiques de décembre 2021 :

Selon les chiffres de la DREES, cellule de statistiques du ministère de la Santé, du 1er au 26 décembre 2021, les non-vaccinés représentent en moyenne 56,7% des entrées en soins critiques, contre 40,8% pour les vaccinés (double dose ou avec dose de rappel), et 2,5% pour les personnes ayant reçu une seule dose de vaccin. Parmi les décès hospitaliers, le rapport s’inverse : les non-vaccinés ne représentent que 42%, contre 54,7% pour les vaccinés.

Parmi les hospitalisations conventionnelles (qui représentent 80% des formes d’hospitalisations pour Covid-19), les vaccinés sont légèrement majoritaires : 50,4% contre 46,7% pour les non-vaccinés.

 

Le 02 janvier 2022, Yazdan Yazdanpanah, chef de service et professeur en maladies infectieuses à l’hôpital Bichat et à la faculté de médecine de l'université de Paris, directeur d'études à l’Inserm et directeur de l'ANRS, membre du conseil scientifique Covid-19, a affirmé, sur BFMTV, au sujet du variant Omicron  : « Un variant [...] moins sévère que les variants précédents [...] de 50% à 80% moins sévère [...] pour l'instant, le chiffre de 50% à 80%, c'est pour l'ensemble de la population, et il est évident que si quelqu'un est vacciné et en plus vacciné avec le rappel, c'est encore moins sévère. Après est-ce que intrinsèquement chez un patient non vacciné c'est moins sévère, pour l'instant je n'ai pas vu de données là-dessus, on a vu plutôt des données globalement [...] »

 

Les travaux menés par une équipe de chercheurs japonais et publiés le 05 janvier 2022 sur le site de la National Institute of Infectious Diseases, révèlent que « La quantité d'ARN viral était la plus élevée 3 à 6 jours après le diagnostic ou 3 à 6 jours après l'apparition des symptômes, puis diminuait progressivement avec le temps, avec une diminution marquée après 10 jours depuis le diagnostic ou l'apparition des symptômes. » (Cf. Enquête épidémiologique active sur l’infection par le SRAS-CoV-2 causée par le variant Omicron au Japon, traduit de l'anglais)

https://www.niid.go.jp/niid/en/2019-ncov-e/10884-covid19-66-en.html

 

Le 05 janvier 2022, le président de la République, Emmanuel Macron, a déclaré au journal Le Parisien : « [...] Ces gens-là qui ne sont pas vaccinés sont ceux qui occupent à 85 % les réanimations… [...] En démocratie, le pire ennemi, c’est le mensonge et la bêtise. Nous mettons une pression sur les non-vaccinés en limitant pour eux, autant que possible, l’accès aux activités de la vie sociale. [...] C’est une toute petite minorité qui est réfractaire. Celle-là, comment on la réduit ? On la réduit, pardon de le dire, comme ça, en l’emmerdant encore davantage. [...] les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout ! C’est ça, la stratégie. [...] Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. »

 

Monsieur le Président, de qui se moque-t-on ?

De qui se moque-t-on, sa seigneurie Macron ?

Comment appelez-vous tous les non-vaccinés ?

Des « irresponsables », une « minorité... »

Ne seraient-ils pas plutôt des boucs émissaires, 

Sans droits, et dont le seul devoir est de se taire ?

Comment appelez-vous tous les non-vaccinés ?

Non pas des citoyens, mais des « réfractaires »

Tous responsables de la crise sanitaire !

Ce ne saurait être votre incapacité, 

Ce ne peut être Véran, ni même Castex,

Ce sont les non-vaccinés à mettre à l'index !

 

Le 5 janvier 2022, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a tenu les propos suivants : « S’il est erroné de dire que le vaccin supprime tout risque de transmission, dire, comme vous le faites régulièrement, qu’il ne protège pas contre la contamination et la transmission est totalement fausse. Vous me demandez des chiffres : je vais vous en donner. […] Lorsque vous êtes à jour de vos rappels, le vaccin réduit de 85% le risque d’infection, y compris au variant omicron. Je répète : si une personne est vaccinée, le risque d’infection diminue de 85%. […] ». Olivier Véran a menti.

En effet, dans son analyse de risque publiée le 10 janvier 2022, Santé publique France annonce que l’efficacité d’une dose de rappel contre Omicron est estimée entre 37 et 86%. 

 

En Allemagne, l'institut Robert Koch a annoncé, le 06 janvier 2022, que 77,9% des cas positifs au variant Omicron sont totalement vaccinés dont environ 19% après injection de la troisième dose (rappel). Seulement 22, 1% ne sont pas vaccinés !

Chez les personnes de plus de 60 ans infectées par le variant omicron et dont le statut vaccinal a été recensé, 13,2 % étaient non-vaccinées, 45,7 % complètement vaccinées, et 41,1 % avaient même une dose de rappel.

Ce qui confirme une précédente étude danoise qui donnait environ 13,5% de non-vaccinés parmi les cas positifs. 

 

Le 07 janvier 2022, tous les départements de la France métropolitaine ont présenté un taux d'incidence supérieur à 1000 cas pour 100 000 habitants !

L'Ain, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, l'Ardèche, les Bouches-du-Rhône, la Corse-du-Sud, la Corse du Nord, la Côte-d'Or, le Doubs, la Drôme, l'Eure, l'Eure-et-Loir, la Haute-Garonne, la Gironde, l'Hérault, l'Ille-et-Vilaine, l'Indre-et-Loire, l'Isère, les Landes, la Loire, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Loiret, le Maine-et-Loire, la Marne, le Nord, l'Oise, le Puy-de-Dôme, les Pyrénées-Atlantiques,  les Pyrénées-Orientales, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, la Sarthe, la Seine-Maritime, le Var et l'Yonne, soit 36 départements, ont affiché un taux supérieur à 2000 cas.

 Le Rhône, la Savoie, la Haute-Savoie, Paris*, la Seine-et-Marne, les Yvelines, le Territoire-de-Belfort, l'Essonne, les Hauts-de-Seine *, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne, soit 11 départements, ont un taux supérieur à 3000 cas, et un département un taux supérieur à 4000 cas :  le Val d'Oise avec 4043 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population est vaccinée au 06/01 (92% dans les Hauts-de-Seine et 91% à Paris)

 

Le 09 janvier 2022, Gabriel Attal, porte-parole du Gouvernement, a déclaré sur BFMTV : « On assume la ligne qui est la nôtre [...] on assume de faire peser les contraintes sur les non-vaccinés plus que sur les vaccinés. Nous, on a choisi notre stratégie qui est de dire : on met des contraintes fortes avec le pass sanitaire et le pass vaccinal. »

 

Le 10 janvier 2022, 10453 classes d'école ont été fermées !

Au Sénat, lors des travaux parlementaires sur le pass vaccinal, Alain Richard, ancien ministre socialiste de la Défense de 1997 à 2002, sénateur LREM du Val-d'Oise, n'a pas respecté les gestes barrières puisqu'il a été vu avec le masque porté au niveau du menton !

 

Au 12 janvier 2022, en Afrique, plus de 85% de la population n’a pas encore reçu une seule dose de vaccin ! Dans le monde, 36 pays ont vacciné moins de 10 % de leur population.

 

Les données médicales de 3112 patients (491 patients en réanimation et 2621 en hospitalisation conventionnelle)), hospitalisés entre le 1er décembre 2021 et le 4 janvier 2022, ont été analysées par l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). Sur la période étudiée, 19% des patients infectés par la Covid-19 pris en charge dans les service de réanimation ont contracté le variant Omicron. En hospitalisation conventionnelle, cette mutation du coronavirus est en revanche davantage présente puisqu'elle représente 54% des admissions. « Pour les patients en hospitalisation conventionnelle, les séjours de courte durée (<1j) représentent 19% des séjours pour les patients entrants infectés par Delta et 43% pour les patients entrants infectés par Omicron. »

https://www.aphp.fr/contenu/covid-19-premieres-estimations-de-la-place-des-variants-delta-et-omicron-chez-les-patients

 

Le 13 janvier 2022, malgré un schéma vaccinal complet (deux dose plus le rappel censé accorder une immunité « optimale * ») le ministre de la Santé, Olivier Véran, cas contact la veille, a testé positif après avoir eu de légers symptômes de la Covid-19.

* Cf. Supra, déclaration d'Olivier Véran le 25 novembre 2021.

 

Selon la Drees, dans son communiqué de presse du 14 janvier 2022 :

« Entre le 6 décembre 2021 et le 2 janvier 2022, les 9 % de personnes non vaccinées dans la population française de 20 ans ou plus représentent :
-    19 % des tests PCR positifs chez les personnes symptomatiques ;
-    44 % des admissions en hospitalisation conventionnelle avec Covid-19 ;
-    58 % des entrées en soins critiques avec Covid-19 ;
-    44 % des décès après hospitalisation avec Covid-19.

Entre le 3 et le 9 janvier 2022, on estime que le variant Omicron concernerait :

-    88 % des tests PCR positifs ;
-    52 % des entrées hospitalières conventionnelles 1 ;
-    31 % des admissions en soins critiques 2.

[...] Par ailleurs, il apparaît que parmi les patients infectés ou hospitalisés, la part touchée par le variant Omicron est plus élevée chez les plus jeunes 3 et chez les personnes vaccinées. [...]  la proportion des personnes touchées par le variant Omicron est plus élevée chez les jeunes que chez les plus âgés, particulièrement pour les hospitalisations, durant les cinq dernières semaines considérées [...] Durant les dernières semaines de 2021 et début 2022, les nombres de tests PCR positifs attribuables à Omicron à taille de population comparable sont inférieurs pour les non-vaccinés par rapport aux statuts complets avec ou sans rappel 4, traduisant un possible échappement vaccinal face à l’infection par Omicron. [...] Les probabilités d’entrées en soins critiques conditionnellement au fait d’avoir un test RT-PCR 
positif, sont plus sont bien plus faibles pour Omicron par rapport à Delta pour les patients de moins de 80 ans. Elles le sont également pour les personnes de 80 ans et plus non vaccinées ou avec rappel et sont relativement similaires pour les 80 ans et plus disposant d’une primo-vaccination complète sans rappel. 
»

     1.  Parmi les 1 150 entrées quotidiennes moyennes en hospitalisation conventionnelle pour lesquelles un test RT-PCR positif a été identifié durant la semaine du 3 au 9 janvier 2022, 52 % relevaient du proxy Omicron, soit 593.

     2.  Parmi les 230 entrées quotidiennes moyennes en soins critiques pour lesquelles un test RT-PCR positif a été identifié en moyenne durant la semaine du 3 au 9 janvier 2022, 31 % relevaient du proxy Omicron, soit 72.

     3.  La circulation épidémique est plus élevée chez les sujets jeunes (surtout les 20-39 ans *) à taille de population comparable (tests positifs avec ou sans symptômes).

     *  En particulier les 20-29 ans vaccinés (Cf. Taux d'incidence par catégories d'âge).

    4.  Parmi les cas symptomatiques, Omicron est sur-représenté chez les vaccinés, alors que Delta est sur-représenté chez les non-vaccinés. Omicron circule davantage parmi les vaccinés. Dit autrement, à taille de population comparable, il y a ainsi plus de personnes vaccinées infectées que de personnes non vaccinées infectées par Omicron !

 

Du 10 au 16 janvier 2022, si le variant Omicron représentait 95 % des tests positifs, il n’est responsable que de 73 % des entrées en hospitalisation conventionnelle. 54 % des personnes entrées en soins critiques avec la Covid-19 relevaient du variant Omicron.

« Durant les dernières semaines de 2021 et début 2022, les nombres de tests PCR positifs attribuables à Omicron à taille de population comparable sont inférieurs pour les non-vaccinés par rapport aux statuts complets sans rappel, traduisant un possible échappement vaccinal face à l’infection par Omicron. Le constat est similaire si l’on se restreint aux seuls cas symptomatiques. »

« Entre le 13 décembre 2021 et le 16 janvier 2022, 440 patients dont on a identifié un test RT-PCR positif sont entrés en soins critiques avec le variant Omicron pour 10 millions de non-vaccinés, alors que les nombres d’entrées sont seulement de 223 (respectivement 194) pour 10 millions de complètement vaccinés sans (respectivement avec) rappel. Par ailleurs, la fréquence des entrées en soins critiques pour Omicron est beaucoup plus faible que celle observée pour Delta, quel que soit le statut vaccinal. »

(Cf. Communiqué de presse de la Dress du 21 janvier 2022)

 

Le 17 janvier 2021, en Israël, dans un communiqué de presse, le centre médical Chaim Sheba a publié les premiers résultats d'une étude sur Omicron dirigée par la directrice de l’unité de prévention et de contrôle des infections, le professeur Gili Regev-Yochay. « Les résultats préliminaires d’une étude de Sheba sur l’innocuité et l’efficacité du quatrième vaccin contre Corona indiquent une augmentation significative des niveaux d’anticorps, mais ce niveau de protection n’est que partiellement efficace contre les espèces d’omicron. [...] Selon le professeur Regev-Yochay, « l’augmentation observée au niveau des anticorps est légèrement supérieure au pic observé après la dose de rappel – la troisième dose ». Cependant, explique le Prof. Regev-Yochay, "à la lumière des données exclusives du centre médical qui a provoqué la maladie d’Omicron parmi les participants à la grande étude sérologique, nous comprenons que malgré l’augmentation significative des anticorps après le quatrième vaccin, cette défense n’est que partiellement efficace contre l’espèce d’omicron, qui est relativement résistant. » Elle dit, "le vaccin, qui était très efficace contre les espèces précédentes, est moins efficace contre les espèces d’omicron."

https://www.sheba.co.il/item/157386

 

Important :

Voici la preuve que le rappel du vaccin (3ème dose) est inefficace contre la contamination par Omicron :

Au 19 janvier 2022, le Danemark avec près de 60% (58%) des 5,8 millions de Danois a avoir reçu une dose de rappel  (5ème pays au monde ayant le plus vacciné la population avec 233817 doses pour 100000 habitants au 21/01/2022) a été le pays le plus contaminé au monde sur les 7 derniers jours, soit 4632,8 nouveaux cas par million d'habitants, devant l'Australie avec 56% de sa  population ayant reçu 3 doses, soit 4146,2 nouveaux cas. Parmi les 20 pays ayant le plus vacciné, Israël (13ème), la France (14ème), la Belgique (15ème), l'Italie (17ème) et le Portugal (18ème) font partie des pays ayant été le plus contaminé durant les 7 derniers jours !

La plupart des pays ayant massivement vacciné leur population 5 connaissent (avec plus de 2000 nouveaux cas quotidiens par million d'habitants sur les 7 derniers jours) ou ont connu une flambée épidémique de grande ampleur. Citons les pays suivants : Danemark, Australie, Portugal, Israël, France, Suisse, Italie, Espagne, Belgique, Argentine, Suède, USA, Norvège.

En revanche, l'Afrique du Sud avec 27% de sa population vaccinée avec 2 doses et seulement 0,1% avec le rappel, le Vietnam avec 0% et l'Inde avec 0,5%  figurent parmi les pays les moins contaminés, avec respectivement 74,3 cas, 195 cas et 211,8 cas quotidiens par million d'habitants en moyenne sur les 7 derniers jours !

Parmi les vingt pays ayant le moins vacciné :

- le Burundi, lanterne rouge mondiale de la vaccination (75 doses pour 100 000 habitants) n'a pas eu de morts durant les 28 derniers jours et seulement 13211 nouveaux cas pour une population d'environ 12 millions ;

- le Sud Soudan (2 morts, 2352 cas) ;

- le Cameroun (2 morts, 1215 cas) ;

- la Somalie (2 morts, 790 cas)

- la Sierra Leone (2 morts, 957 cas)

- le Tchad (4 morts, 1186 cas).

 

5. La Corée du Sud ne connaît pas pour l'instant de flambée épidémique avec 86,5 cas. 47, 3% de la population a reçu 3 doses et 38% 2 doses. Les habitants ont l'habitude de porter des masques FFP2 depuis février 2020 !

 

Le 17 janvier 2022, tous les départements de la France métropolitaine ont présenté un taux d'incidence supérieur à 2000 cas pour 100 000 habitants, à l'exception du Cantal (1860), de la Dordogne (1955), de l'Indre (1839), et de la Meuse (1989) !

L'Ain, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, la Côte-d'Or, le Doubs, l'Ille-et-Vilaine, l'Isère, la Loire, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Maine-et-Loire, le Nord, l'Oise, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées, le Bas-Rhin, la Sarthe*, Paris*, la Seine-Maritime*, la Seine-et-Marne, les Yvelines*, le Var, l'Essonne, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne, le Val d'Oise, soit 28 départements, ont affiché un taux supérieur à 3000 cas.

La Haute-Garonne, Le Rhône, la Savoie, et la Haute-Savoie, ont même un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population dans ces départements a été vaccinée au 06/01 (93% ans dans la Sarthe, 92% dans les Yvelines et en Seine-Maritime, et 91% à Paris)

 

Le 20 janvier 2022, à Paris, lors de la conférence de presse Covid-19, le Premier ministre, Jean Castex, adepte du en même temps macroniste, a déclaré : « [...] C'est enfin la confirmation que ce variant Omicron est certes beaucoup plus dangereux, mais clairement moins sévère 6. [...] parce que nous avons pris les bonnes décisions, parce que nous sommes MASSIVEMENT VACCINNÉS et que les caractéristiques de ce variant font que l'on peut facilement attraper ce virus en étant vaccinés. Une personne vaccinée ayant reçu sa dose de rappel a 4,5 fois moins de risques d'attraper le virus, et surtout 25 fois moins de risques d'être hospitalisée en soins critiques 7 par rapport à une personne non-vaccinée. [...] Seuls 7% des adultes ne sont toujours pas vaccinés [...] On ne le dira jamais assez, la vaccination a changé la donne ! [...] En dépit 8 des résultats qui nous placent grâce à une mobilisation exceptionnelle que l'histoire retiendra 9 parmi les nations les mieux vaccinées et donc les plus protégées 10 au monde [...] plus de 91% des adultes ont un schéma vaccinal complet et 62% des adultes ont reçu trois doses ou l'équivalent. [...] le pass vaccinal  [...] faire peser clairement la contraintes sur les non-vaccinés. »

6. Jean Castex se contredit dans la même phrase ! Omicron est un variant très contagieux mais beaucoup moins dangereux que Delta.

7.  Source Dress (non datée)

Les chiffres  communiqués par Jean Castex semblent fantaisistes ! 

En effet, selon les données officielles de la Dress : « Entre le 13 décembre 2021 et le 16 janvier 2022, 440 patients dont on a identifié un test RT-PCR positif sont entrés en soins critiques avec le variant Omicron pour 10 millions de non-vaccinés, alors que les nombres d’entrées sont seulement de 223 (respectivement 194) pour 10 millions de complètement vaccinés sans (respectivement avec) rappel. Par ailleurs, la fréquence des entrées en soins critiques pour Omicron est beaucoup plus faible que celle observée pour Delta, quel que soit le statut vaccinal. » (Cf. Communiqué de presse de la Dress du 21 janvier 2022)

Une personne vaccinée ayant reçu sa dose de rappel a donc entre 2 et 2,5 fois et non 25 fois moins de risques d'être hospitalisée en soins critiques !

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 1,6 % contre 5,6 % avec Delta (6% en hospitalisation conventionnelle contre 11%), de 1,2 % contre 2% pour les plus de 80 ans, de 0,2% contre 1,5% entre 40 et 59 ans, et est extrêmement faible avant 40 ans.

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans vaccinée avec rappel dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 0,3 % contre 1,5 % avec Delta (2% en hospitalisation conventionnelle contre 3,8%), de 0,2 % contre 0,5% pour les plus de 80 ans, de 0,05% contre 0,4% entre 40 et 59 ans.

Contre les hospitalisations conventionnelles également, la protection vaccinale est plus faible pour le variant Omicron que pour le variant Delta : la protection vaccinale de l’ordre de 85 % pour les vaccinés sans rappel contre Delta diminue à 50 % contre Omicron. Pour les vaccinés avec rappel, la protection de plus de 95 % contre Delta est ramenée à 83 % contre Omicron.

L’efficacité vaccinale contre le risque de passage en soins critiques est diminuée pour Omicron par rapport à Delta : 65 % pour les personnes complètement vaccinées sans rappel contre 90 % pour Delta, 90 % pour celles avec rappel contre 98 %.

8. Incohérence dans l'utilisation de cette locution prépositive !

9. L'histoire retiendra surtout que la France a été l'un des pays les plus contaminés au prorata de sa population ! (Cf. ci-dessus)

10. Nouvelle contradiction. On ne peut pas à la fois être protégé et « facilement attraper ce virus ! »

 

Le 19 janvier 2022, tous les départements de la France métropolitaine ont présenté un taux d'incidence supérieur à 2000 cas pour 100 000 habitants !

L'Ain, l'Ardèche, l'Aveyron, les Bouches-du-Rhône, la Côte-d'Or, le Doubs, la Drôme, l'Eure, la Gironde, l'Hérault, l'Ille-et-Vilaine, l'Indre-et-Loire*, le Jura, les Landes*, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Loiret, le Maine-et-Loire, la Marne, la Mayenne*, la Meurthe-et-Moselle, le Morbihan*, le Nord, l'Oise, le Pas-de-Calais*, les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, la Sarthe*, Paris*, la Seine-Maritime*, la Seine-et-Marne, les Yvelines*, la Somme*, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Var, le Vaucluse, la Vendée*, la Haute-Vienne, les Vosges, l'Essonne, les Hauts-de-Seine *, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne, le Val d'Oise, soit 47 départements, ont affiché un taux supérieur à 3000 cas.

Les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, la Haute-Garonne, l'Isère, la Loire, le Rhône, la Savoie, et la Haute-Savoie, ont même un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population dans ces départements a été vaccinée au 06/01/2022 (95% dans le Morbihan et la Vendée, soit deux des cinq départements les plus vaccinés de France, 94% dans les Landes, 93% ans dans l'Indre-et-Loire, le Pas-de-Calais, la Somme et la Sarthe, 92% en Mayenne, les Yvelines et en Seine-Maritime, et 91% à Paris)

 

Le 21 janvier 2021, la Réunion, département français d'Outre-mer a enregistré un taux d'incidence supérieur à 5000 (5081,1) pour 100 000 habitants de l'île !

Le 21 janvier 2022, 58 départements de la France métropolitaine ont affiché un taux supérieur à 3000 cas :

L'Aisne, l'Ardèche, les Ardennes, l'Ariège, l'Aube, l'Aude, l'Aveyron, le Calvados*, la Charente, la Charente-Maritime*, la Côte-d'Or, la Drôme, l'Eure, l'Eure-et-Loir, le Gard, le Gers, la Gironde, l'Hérault, l'Ille-et-Vilaine, l'Indre-et-Loire*, le Jura, les Landes*, le Loiret, la Lozère, le Maine-et-Loire, la Marne, la Mayenne*, la Meurthe-et-Moselle, le Morbihan*, la Moselle, l'Oise, le Pas-de-Calais*, les Hautes-Pyrénées, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, la Sarthe*, Paris*, la Seine-Maritime*, la Seine-et-Marne, les Yvelines*, les Deux-Sèvres*, la Somme*, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Var, le Vaucluse, la Vendée*, la Vienne, la Haute-Vienne, les Vosges, l'Yonne, le Territoire-de-Belfort, l'Essonne, les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, le Val d'Oise.

L'Ain, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, le Doubs, la Haute-Garonne, l'Isère, la Loire, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Nord, les Pyrénées-Atlantiques, le Rhône, la Savoie, et la Haute-Savoie, soit 15 départements, ont même un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population dans ces départements a été vaccinée au 06/01/2022 (95% dans le Morbihan et la Vendée, soit deux des cinq départements les plus vaccinés de France, 94% dans les Landes et la Charente-Maritime, 93% dans le Calvados, l'Indre-et-Loire, le Pas-de-Calais, les Deux-Sèvres, la Somme et la Sarthe, 92% en Mayenne, les Yvelines et en Seine-Maritime, et 91% à Paris). 14 départements sur les 18 départements les plus vaccinés de la France métropolitaine, soit environ 77%, ont donc un taux d'incidence supérieur à 3000 cas !

 

Au 21 janvier 2022, sur les 28 derniers jours, la France est le deuxième pays ayant le plus de nouveaux cas de Covid-19 au monde, avec plus de 6 millions et demi de cas positifs (6 721 223 cas), derrière les USA et devant l'Italie (3 901 202 cas).

Au 23 janvier 2022, voici le nombre de cas des cinq pays ayant détecté le plus de cas positifs sur les 28 derniers jours au monde :

1° USA (18 339 083 cas)

2° France (7 313 247 cas)

3° Inde (4 450 462 cas)

4° Italie (4 450 462 cas)

5° Royaume-Uni (3 811 116 cas)

Actuellement, au prorata de la population, parmi les pays de plus de 10 millions d'habitants, la France est très largement en tête des pays les plus contaminés de la planète !

Source : Johns Hopkins University (JHU)

 

Au 22 janvier 2022, en deux ans, 128 154 décès ont été enregistrés depuis le début de l'épidémie en France. Sur la même période, environ 150 000 décès (environ 75000 personnes par an) ont été attribuable au tabagisme. En conséquence, le tabagisme tue plus que la Covid-19 en France !

Dans le monde, en deux ans, la pandémie a fait environ 5 millions et demi (5 588 782) de morts, alors que le tabagisme a entraîné le décès d'environ 14 millions de fumeurs (dont environ 2 millions de morts en raison du tabagisme passif), soit un nombre total de morts plus de deux fois supérieur à celui de la Covid-19 !

 

Le 25 janvier 2022, 501 635 nouveaux cas confirmés ont été détectés en France. Un record ! Dix fois plus que le pic annoncé par Olivier Véran à la mi-décembre.

En effet, le 14 décembre 2021, à l'Assemblée nationale, Olivier Véran, Ministre de la santé, avait affirmé : « Un pic très élevé, 50 000 contaminations par jour désormais. C’est le plus élevé que nous ayons connu depuis le début de la pandémie. Je ne peux pas encore vous dire si après le pic, ça va diminuer [...] ou si nous resterons sur un plateau. »

Il confirmais ainsi ses propos publiés le 11 décembre 2021 dans les colonnes du Parisien : « Selon toute vraisemblance, nous sommes en train d'atteindre le pic. » 

Tout comme le ministre de la Santé, les épidémiologistes Pascal Crépey et Antoine Flahault se sont magistralement trompés !

 

Israël, pionnier mondial de la vaccination, est désormais la nation la plus contaminée à la Covid-19 sur les 7 derniers jours (11962,1 cas par million d'habitants), devant le Danemark et la France !

 

Au 28 janvier 2022, Israël (9320,3), le Danemark (7664,8), le Portugal (5363,5) et la France (5356,8), pays ayant massivement vacciné leur population connaissent toujours (avec plus de 5000 nouveaux cas quotidiens par million d'habitants sur les 7 derniers jours) ou ont connu une flambée épidémique de grande ampleur, alors que le Vietnam, pays n'ayant pas administré de 3ème dose (rappel) affiche un taux de seulement 160,5, en baisse par rapport au 19 janvier (195,0).

Au 29 janvier 2022, sur les 28 derniers jours, la France est toujours le deuxième pays ayant le plus de nouveaux cas de Covid-19 au monde, avec plus de 8 millions et demi de cas positifs (8 518 374 cas), derrière les USA (19 274 524 cas, soit plus du double que la France mais avec une population 5 fois plus élevée), et devant l'Inde (5 996 662 cas) l'Italie (4 558 265 cas).

 

Selon la Dress, le variant Omicron représente désormais 99 % des nouveaux cas détectés (un peu plus de 45 % des RT-PCR ont fait l’objet d’un criblage) du 17 au 23 janvier 2022 (135 900 tests RT-PCR positifs quotidiens ont été prélevés).

Omicron représente 88 % des entrées en hospitalisation conventionnelle et 79 % des personnes entrées en soins critiques avec Covid-19.

Entre le 20 décembre 2021 et le 23 janvier 2022, 308 patients dont on a identifié un test RT-PCR positif sont décédés lors d’un séjour hospitalier avec le variant Omicron pour 10 millions de non-vaccinés, alors que ce nombre est seulement de 183 (respectivement 173) pour 10 millions de complètement vaccinés sans (respectivement avec) rappel.

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans non vaccinée dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 1,9 % contre 6,6 % avec Delta (6% en hospitalisation conventionnelle contre 14%), de 1,0 % contre 2,5% pour les plus de 80 ans, de 0,2% contre 1,0% entre 20 et 59 ans en moyenne.

Pour une personne âgée entre 60 et 80 ans vaccinée avec rappel dont le test RT-PCR a un profil compatible avec le variant Omicron, le risque d’entrer en soins critiques est de 0,3 % contre 1,7 % avec Delta (2% en hospitalisation conventionnelle contre 4,8%), de 0,3 % contre 1,0% pour les plus de 80 ans, de 0,05% contre 0,3% entre 20 et 59 ans en moyenne.

(Cf. Communiqué de presse de la Dress du 28 janvier 2022)

 

Le 27 janvier 2022, 62 départements (+ 4 par rapport au 21 janvier) de la France métropolitaine ont affiché un taux supérieur à 3000 cas :

L'Aisne, l'Allier, les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, l'Ardèche, les Ardennes, l'Ariège, l'Aube, l'Aude, les Bouches-du-Rhône, la Charente, la Charente-Maritime*, le Cher, la Corrèze, la Côte-d'Or, les Côtes-d'Armor*, la Dordogne, la Drôme, l'Eure, le Gard, le Gers, l'Hérault, l'Ille-et-Vilaine, l'Indre-et-Loire*, l'Isère, le Jura, le Loir-et-Cher, le Loiret, le Lot, le Lot-et-Garonne, la Lozère, la Manche*, la Marne, la Haute-Marne, la Mayenne*, la Meurthe-et-Moselle, la Meuse, le Morbihan*, la Moselle, l'Oise, le Pas-de-Calais*, le Puy-de-Dôme, les Hautes-Pyrénées, le Bas-Rhin, le Haut-Rhin, le Rhône, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, la Sarthe*, la Savoie, et la Haute-Savoie, la Seine-Maritime*, les Yvelines*, les Deux-Sèvres*, la Somme*, le Var, le Vaucluse, la Vienne, les Vosges, l'Yonne, le Territoire-de-Belfort.

L'Ain, l'Aveyron, le Calvados*, le Doubs, la Gironde, les Landes*, la Loire, la Haute-Loire, la Loire-Atlantique, le Maine-et-Loire, le Nord, les Pyrénées-Atlantiques, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, la Vendée*, la Haute-Vienne, soit 16 départements (+ 1 par rapport au 21 janvier), ont un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants soit plus 16 fois le seuil d'alerte maximale !

La Haute-Garonne est le département le plus contaminé avec un taux supérieur à 5000 cas pour 100 000 habitants soit plus 20 fois le seuil d'alerte maximale !

* Pourtant plus de 90% de la population dans ces départements a été vaccinée au 06/01/2022 (95% dans les Côtes-d'Armor, la Manche, le Morbihan et la Vendée, soit quatre des cinq départements les plus vaccinés de France, 94% dans les Landes et la Charente-Maritime, 93% dans le Calvados, l'Indre-et-Loire, le Pas-de-Calais, les Deux-Sèvres, la Somme et la Sarthe, 92% en Mayenne, les Yvelines et en Seine-Maritime). 15 départements sur les 17 départements les plus vaccinés de la France métropolitaine, soit environ 88%, ont donc un taux d'incidence supérieur à 3000 cas, et trois d'entre eux ont même un taux supérieur à 4000 cas pour 100 000 habitants dont la Vendée, département ayant vacciné plus de 95% de ses habitants !

 

 

 

 

(1) Sources :

- Santé publique France. GEODES.

https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&i=sp_ti_tp_7j.tx_pe_gliss&s=2021-12-01-2021-12-07&t=a01&view=map2

- Johns Hopkins University (JHU)

https://gisanddata.maps.arcgis.com/apps/dashboards/bda7594740fd40299423467b48e9ecf6

- Site web de Guillaume Rozier

https://covidtracker.fr/

 

 

Article rédigé par Pascal Bourdaloue

Annexe 1 :

Points épidémiologiques du 04/03/2021 au 06/05/2021

 

Point épidémiologique en France du 04/03/2021 (1) :

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 01/03 (J-3) dans les départements suivants : Alpes-de-Haute-Provence (263), Aube (266), Côtes-d'Armor (108), Eure (225), Maine-et-Loire (187), Pas-de-Calais (412), Rhône (236), Seine-et-Marne (356), Somme (329), Essonne (307), Seine-Saint-Denis (412), Val-de-Marne (376), Val-d'Oise (358).

 

Point épidémiologique en France du 05/03/2021 (1) :

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 02/03 (J-3) dans les départements suivants : Aube (274), Eure (230), Seine-et-Marne (357), Essonne (308), Seine-Saint-Denis (415), Val-de-Marne (381), Val-d'Oise (360).

 

Point épidémiologique en France du 06/03/2021 (1) :

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 03/03 (J-3) dans les départements suivants : Aube (287), Côtes-d'Armor (114), Eure (235),  Paris (330),  Seine-et-Marne (358), Essonne (308), Hauts-de-Seine (284), Seine-Saint-Denis (427), Val-de-Marne (396), Val-d'Oise (369).

 

 

Point épidémiologique en France du 07/03/2021 (1) :

3743 personnes sont en réanimation.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 04/03 (J-3) dans les départements suivants : Côtes-d'Armor (115), Paris (331), Seine-et-Marne (363), Essonne (316), Hauts-de-Seine (285), Val-de-Marne (401), Val-d'Oise (373).

 

Point épidémiologique en France du 08/03/2021 (1) :

3849 personnes sont en réanimation.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 05/03 (J-3) dans les départements suivants : Aube (292), Eure (242), Loir-et-Cher (172), Maine-et-Loire (188), Paris (333), Essonne (320), Hauts-de-Seine (291), Seine-Saint-Denis (437), Val-de-Marne (409), Val-d'Oise (374).

 

Point épidémiologique en France du 09/03/2021 (1) :

3918 personnes sont en réanimation.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 06/03 (J-3) dans les départements suivants : Aube (304), Calvados (158) (a), Corse-du-Sud (96), Haute-Corse (204), Côtes-d'Armor (120), Eure (252), Loir-et-Cher (177), Maine-et-Loire (192), Oise (303), Rhône (235), Paris (338), Seine-et-Marne (365), Essonne (324), Hauts-de-Seine (291), Seine-Saint-Denis (441), Val-de-Marne (409), Val-d'Oise (377).

(a) Ce département retrouve le niveau qu'il avait atteint le 12 janvier 2021 !

 

Point épidémiologique en France du 10/03/2021 (1) :

30303 nouveaux cas confirmés en 24h.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 07/03 (J-3) dans les départements suivants : Aube (306), Calvados (158), Corse-du-Sud (96), Haute-Corse (204), Côtes-d'Armor (120), Loir-et-Cher (177), Maine-et-Loire (192), Rhône (235), Paris (338), Seine-et-Marne (366), Hauts-de-Seine (291), Seine-Saint-Denis (441), Val-de-Marne (410), Val-d'Oise (377).

 

Point épidémiologique en France du 12/03/2021 (1) :

4033 personnes sont en réanimation.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe à 227.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 09/03 (J-3) dans les départements suivants : Aisne (282), Aube (342) (a), Calvados (162), Corse-du-Sud (117), Côtes-d'Armor (121), Eure (257), Gard  (264), Indre-et-Loire (212), Loir-et-Cher (185), Maine-et-Loire (198), Oise (318), Pas-de-Calais (418), Rhône (245), Paris (350), Seine-et-Marne (375), Yvelines (278), Essonne (337), Hauts-de-Seine (308) (a), Seine-Saint-Denis (464), Val-de-Marne (414), Val-d'Oise (399) (a).

(a) forte hausse

Nouvelle confirmation de l'augmentation du taux d'incidence dans tous les départements de la région parisienne (Île-de-France) !

 

Point épidémiologique en France du 13/03/2021 (1) :

4070 personnes sont en réanimation.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe à 232.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 10/03 (J-3) dans les départements suivants : Aisne (294), Aube (350), Calvados (175), Côtes-d'Armor (124), Eure (262), Gard  (274), Indre-et-Loire (217), Loir-et-Cher (195), Maine-et-Loire (204), Nord (342), Oise (337) (a), Pas-de-Calais (422), Rhône (256), Paris (364), Seine-et-Marne (386), Yvelines (286), Essonne (347), Hauts-de-Seine (321), Seine-Saint-Denis (475), Val-de-Marne (418), Val-d'Oise (419) (a).

(a) forte hausse

Nouvelle confirmation de l'augmentation du taux d'incidence dans tous les départements de la région parisienne (Île-de-France) !

 

Point épidémiologique en France du 14/03/2021 (1) :

4127 personnes sont en réanimation.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 232 à 238.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 11/03 (J-3) dans les départements suivants : Aisne (294), Aube (368) (a), Calvados (177), Côtes-d'Armor (130), Eure (267), Gard  (287), Ille-et-Vilaine (182), Indre-et-Loire (217), Loir-et-Cher (201), Morbihan (123), Nord (357), Oise (344), Rhône (266), Paris (379), Seine-et-Marne (400), Yvelines (302), Essonne (358), Hauts-de-Seine (337), Seine-Saint-Denis (487), Val-de-Marne (428), Val-d'Oise (440) (a).

(a) forte hausse

Nouvelle confirmation (troisième jour consécutif) de l'augmentation du taux d'incidence dans tous les départements de la région parisienne (Île-de-France) !

 

Point épidémiologique en France du 15/03/2021 (1) :

4219 personnes sont en réanimation.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 238 à 244.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 12/03 (J-3) dans les départements suivants : Aisne (301), Aube (378), Charente (150), Côtes-d'Armor (131), Eure (276), Eure-et-Loir (260), Finistère (74), Gard (290), Hérault (180), Ille-et-Vilaine (184), Indre-et-Loire (222), Loir-et-Cher (209), Morbihan (130), Nord (367), Oise (351), Rhône (280), Paris (395), Seine-Maritime (245), Seine-et-Marne (408), Yvelines (314), Vienne (204), Essonne (371), Hauts-de-Seine (346), Seine-Saint-Denis (496), Val-de-Marne (442), Val-d'Oise (463).

Nouvelle confirmation (quatrième jour consécutif) de l'augmentation du taux d'incidence dans tous les départements de la région parisienne (Île-de-France) !

 

Point épidémiologique en France du 16/03/2021 (1) :

4239 personnes sont en réanimation.

1111 passages aux urgences en 24h.

2005 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 244 à 250.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 13/03 (J-3) dans les départements suivants : Charente (150), Côtes-d'Armor (131), Eure (280), Eure-et-Loir (264), Finistère (74), Gard (296), Hérault (183), Indre-et-Loire (226), Loir-et-Cher (210), Morbihan (138), Nord (372), Oise (362 ), Rhône (283), Paris (397), Seine-Maritime (269) (a), Seine-et-Marne (436) (a), Yvelines (320), Essonne (400) (a), Hauts-de-Seine (357), Seine-Saint-Denis (499), Val-de-Marne (459), Val-d'Oise (496) (a).

(a) forte hausse

Nouvelle confirmation (cinquième jour consécutif) de l'augmentation du taux d'incidence dans tous les départements de la région parisienne (Île-de-France) !

 

Point épidémiologique en France du 17/03/2021 (1) :

38501 nouveaux cas confirmés en 24h.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 250 à 252.

 

Point épidémiologique en France du 18/03/2021 (1) :

34998 nouveaux cas confirmés en 24h.

4246 personnes sont en réanimation.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 252 à 266.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 15/03 (J-3) dans les départements suivants : Aisne (302), Calvados (187), Charente (168), Côtes-d'Armor (145), Eure (289), Eure-et-Loir (278), Finistère (76), Gard (296), Hérault (192), Ille-et-Vilaine (195), Loir-et-Cher (217), Morbihan (139), Nièvre (274), Nord (391), Oise (383 ), Orne (264), Rhône (299), Haute-Savoie (289), Seine-Maritime (332) (a), Seine-et-Marne (481) (a), Yvelines (341), Vienne (221), Yonne (300) (b), Essonne (479) (a), Hauts-de-Seine (378), Seine-Saint-Denis (512), Val-de-Marne (485), Val-d'Oise (544) (a).

(a) forte hausse

(b) très forte hausse

 

Le 19 mars, à minuit, entrée en vigueur de mesures restrictives dans 16 départements : les huit départements d'Île-de-France, les cinq départements des Hauts-de-France, les Alpes-Maritimes, l'Eure et la Seine-Maritime, 

 

Point épidémiologique en France du 20/03/2021 (1) :

35327 nouveaux cas confirmés en 24h.

1320 passages aux urgences en 24h.

4353 personnes sont en réanimation.

 

Point épidémiologique en France du 21/03/2021 (1) :

30581 nouveaux cas confirmés en 24h.

4406 personnes sont en réanimation.

 

Point épidémiologique en France du 22/03/2021 (1) :

37572 nouveaux cas confirmés en 24h.

4548 personnes sont en réanimation.

1161 passages aux urgences en 24h.

26488 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants se situe à 307.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 19/03 (J-3) dans les départements suivants : Aisne (347), Alpes-de-Haute-Provence (281), Aube (341), Aveyron (196), Calvados (220), Charente (188), Corse-du-Sud (132), Côtes-d'Armor (181), Eure (369), Eure-et-Loir (324), Finistère (76), Gironde (183), Hérault (233), Ille-et-Vilaine (232), Indre-et-Loire (276), Loir-et-Cher (275), Loire (273), Loire-Atlantique (179), Maine-et-Loire (232), Marne (261), Mayenne (181), Morbihan (145), Nièvre (326), Nord (433), Oise (439), Orne (282), Pas-de-Calais (491), Bas-Rhin (239), Rhône (375), Sarthe (227), Haute-Savoie (292), Paris (504), Seine-Maritime (337), Seine-et-Marne (552), Yvelines (469), Somme (401), Tarn-et-Garonne (229), Var (348), Vaucluse (303), Vendée (179), Vienne (221), Essonne (493), Hauts-de-Seine (462), Seine-Saint-Denis (683), Val-de-Marne (591), Val-d'Oise (655).

 

Point épidémiologique en France du 23/03/2021 (1) :

24882 nouveaux cas confirmés en 24h.

4634 personnes sont en réanimation.

1344 passages aux urgences en 24h.

11367 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

26756 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 307 à 309.

 

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 21/03 dans les départements suivants : Ain (257), Aisne (360), Alpes-de-Haute-Provence (304), Aube (453), Calvados (224), Charente (188), Corse-du-Sud (137), Côtes-d'Armor (181), Eure (375), Eure-et-Loir (331), Finistère (78), Gironde (185), Hérault (235), Ille-et-Vilaine (234), Indre-et-Loire (281), Loire (285), Loire-Atlantique (183), Maine-et-Loire (236), Mayenne (182), Morbihan (151), Nièvre (329), Nord (438), Oise (449), Orne (290), Pas-de-Calais (495), Bas-Rhin (239), Rhône (385), Sarthe (234), Haute-Savoie (292), Paris (522), Seine-Maritime (346), Seine-et-Marne (564), Yvelines (478), Var (352), Vaucluse (313), Vendée (183), Essonne (512), Hauts-de-Seine (465), Seine-Saint-Denis (701), Val-d'Oise (663).

 

Point épidémiologique en France du 24/03/2021 (1) :

65373 nouveaux cas confirmés en 24h (ce chiffre inclut le rattrapage de données non intégrées la veille).

4651 personnes sont en réanimation.

1320 passages aux urgences en 24h.

11757 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

26876 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 309 à 312.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 22/03 (J-2) dans les départements suivants : Ain (269), Aisne (389) (a), Alpes-de-Haute-Provence (333) (a), Aube (470), Aveyron (200), Charente (195), Corrèze (202), Corse-du-Sud (142), Côtes-d'Armor (182), Eure (399) (a), Eure-et-Loir (337), Gard (303), Gironde (197), Hérault (253) (a), Ille-et-Vilaine (242), Indre-et-Loire (284), Loire (305), Loire-Atlantique (191), Lozère (330), Maine-et-Loire (243), Marne (270), Mayenne (186), Morbihan (156), Nièvre (352) (a), Nord (447), Oise (465), Orne (295), Pas-de-Calais (507), Bas-Rhin (249), Rhône (411) (a), Sarthe (253) (a), Savoie (284), Paris (550) (a), Seine-Maritime (353), Seine-et-Marne (619) (b), Yvelines (512), Somme (428) (a), Var (362), Vaucluse (349) (a), Vendée (188), Essonne (537) (a), Hauts-de-Seine (477), Seine-Saint-Denis (736) (a), Val-de-Marne (622) (a), Val-d'Oise (702).

(a) forte hausse

(b) très forte hausse

 

Point épidémiologique en France du 25/03/2021 (1) :

45641 nouveaux cas confirmés en 24h.

4709 personnes sont en réanimation.

1322 passages aux urgences en 24h.

11948 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

27036 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 312 à 325.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 23/03 (J-2) dans les départements suivants : Ain (272), Aisne (409) (a), Alpes-de-Haute-Provence (354) (a), Aube (494), Aveyron (217), Corrèze (215), Corse-du-Sud (153), Côtes-d'Armor (188), Eure (412), Eure-et-Loir (351), Finistère (79), Gard (326) (a), Gironde (209), Hérault (270), Ille-et-Vilaine (248), Indre-et-Loire (285), Isère (277), Jura (282), Loire (322), Loire-Atlantique (198), Loiret (231), Lozère (337), Maine-et-Loire (244), Marne (270), Mayenne (187), Morbihan (160), Nièvre (360), Nord (459), Oise (493) (a), Orne (309), Pas-de-Calais (517), Bas-Rhin (255), Rhône (432) (a), Sarthe (265), Savoie (288), Paris (567), Seine-Maritime (364), Seine-et-Marne (645) (a), Yvelines (528), Somme (446), Var (377), Vaucluse (365), Vendée (198), Essonne (552), Hauts-de-Seine (495), Seine-Saint-Denis (754), Val-de-Marne (642) (a), Val-d'Oise (741) (b).

(a) forte hausse

(b) très forte hausse

 

Point épidémiologique en France du 26/03/2021 (1) :

41869 nouveaux cas confirmés en 24h.

4766 personnes sont en réanimation.

1368 passages aux urgences en 24h.

12256 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

27242 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 325 à 337.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 24/03 (J-2) dans les départements (2) suivants : Ain (290), Aisne (426), Alpes-de-Haute-Provence (382) (a), Hautes-Alpes (336) (b), Aube (516) (a), Aveyron (232), Bouches-du-Rhône (409), Charente (202), Corrèze (234), Corse-du-Sud (160), Côtes-d'Armor (195), Doubs (344), Eure (432) (a), Eure-et-Loir (357), Finistère (81), Gard (353) (a), Gironde (216), Hérault (283), Ille-et-Vilaine (255), Indre-et-Loire (285), Isère (298) (a), Jura (289), Loire (340), Loire-Atlantique (208), Loiret (247), Lozère (340), Maine-et-Loire (259), Marne (289), Mayenne (203), Morbihan (166), Nièvre (390) (b), Nord (475), Oise (510), Orne (312), Pas-de-Calais (522), Bas-Rhin (255), Rhône (454) (a), Sarthe (294) (a), Savoie (298), Paris (575), Seine-Maritime (378), Seine-et-Marne (675) (b), Yvelines (542), Somme (461), Var (397) (a), Vaucluse (382), Vendée (215), Haute-Vienne (175), Essonne (571), Hauts-de-Seine (507), Seine-Saint-Denis (777) (a), Val-de-Marne (664) (a), Val-d'Oise (774) (b).

(2) 52 départements sur les 95 départements de la métropole.

(a) forte hausse

(b) très forte hausse

 

Le 26 mars, à minuit, entrée en vigueur de mesures restrictives dans trois nouveaux départements : Aube, Eure, Rhône. 

 

Point épidémiologique en France du 27/03/2021 (1) :

42619 nouveaux cas confirmés en 24h.

4791 personnes sont en réanimation.

1519 passages aux urgences en 24h.

12461 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

27259 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 337 à 350.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 25/03 (J-2) dans les départements suivants : Ain (304), Aisne (441), Alpes-de-Haute-Provence (406) (a), Hautes-Alpes (370) (b), Aube (518), Aveyron (253), Bouches-du-Rhône (431) (a), Charente (207), Corrèze (242), Corse-du-Sud (173), Côtes-d'Armor (197), Doubs (376) (a), Eure (446), Finistère (85), Gard (369), Gironde (223), Hérault (300), Ille-et-Vilaine (257), Indre-et-Loire (293), Isère (318) (a), Jura (293), Loir-et-Cher (278), Loire (358), Loire-Atlantique (219), Loiret (264), Lozère (352), Maine-et-Loire (264), Marne (303), Mayenne (218), Morbihan (175), Nièvre (400), Nord (487), Oise (532) (a), Orne (315), Pas-de-Calais (545) (a), Bas-Rhin (256), Rhône (476) (a), Sarthe (306), Savoie (317), Haute-Savoie (301), Seine-Maritime (389), Seine-et-Marne (690), Yvelines (550), Somme (471), Var (423) (a), Vaucluse (400), Vendée (225), Haute-Vienne (190), Essonne (584), Hauts-de-Seine (516), Seine-Saint-Denis (789), Val-de-Marne (673), Val-d'Oise (784).

(a) forte hausse

(b) très forte hausse

42 départements ont un taux d'incidence supérieur à 250 !

 

Point épidémiologique en France du 28/03/2021 (1) :

37014 nouveaux cas confirmés en 24h.

4872 personnes sont en réanimation.

12572 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

27712 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 350 à 362.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 26/03 (J-2) dans les départements suivants : Ain (323), Aisne (449), Alpes-de-Haute-Provence (430) (a), Hautes-Alpes (404) (b), Aube (534), Aveyron (256), Bouches-du-Rhône (456) (a), Calvados (227), Charente (211), Cher (298), Corrèze (243), Corse-du-Sud (176), Côtes-d'Armor (197), Dordogne (296), Doubs (396) (a), Eure (457), Eure-et-Loir (368), Finistère (85), Gard (390) (a), Gironde (234), Hérault (315), Ille-et-Vilaine (265), Indre-et-Loire (307), Isère (336) (a), Jura (312), Loir-et-Cher (296), Loire (382) (a), Loire-Atlantique (228), Loiret (276), Lot-et-Garonne (183), Lozère (380), Maine-et-Loire (276), Marne (318), Morbihan (178), Nièvre (404), Nord (495), Oise (542), Orne (328), Pas-de-Calais (547), Puy-de-Dôme (241), Bas-Rhin (266), Rhône (488), Sarthe (319), Savoie (334), Haute-Savoie (313), Seine-Maritime (396), Seine-et-Marne (706), Yvelines (550), Somme (478), Var (437), Vaucluse (420) (a), Vendée (246) (a), Haute-Vienne (200), Yonne (303), Essonne (600), Hauts-de-Seine (524), Val-de-Marne (683), Val-d'Oise (794).

(a) forte hausse

 

Point épidémiologique en France du 29/03/2021 (1) :

4974 personnes sont en réanimation.

12758 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

2099 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

28322 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 362 à 370 (à J-3) et à 377 (à J-2).

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 27/03 (J-2) dans les départements suivants : Ain (330), Alpes-de-Haute-Provence (434), Hautes-Alpes (427) (a), Ariège (223), Aube (538), Aveyron (272), Bouches-du-Rhône (474), Calvados (228), Charente (211), Cher (300), Corrèze (248), Côtes-d'Armor (204), Dordogne (315), Doubs (408), Eure (462), Eure-et-Loir (369), Finistère (88), Gard (404), Gironde (241), Hérault (326), Ille-et-Vilaine (270), Indre-et-Loire (312), Isère (348), Jura (325), Loir-et-Cher (300), Loire (392), Haute-Loire (281), Loire-Atlantique (236), Loiret (288), Lot-et-Garonne (194), Marne (324), Meuse (342), Morbihan (185), Nièvre (414), Nord (497), Oise (559), Orne (334), Pas-de-Calais (556), Bas-Rhin (273), Rhône (495), Sarthe (333), Savoie (344), Haute-Savoie (319), Seine-Maritime (401), Seine-et-Marne (712), Yvelines (550), Somme (487), Var (448), Vaucluse (429), Vendée (257), Haute-Vienne (215), Essonne (607), Hauts-de-Seine (533), Val-de-Marne (693), Val-d'Oise (805).

(a) forte hausse

 

Point épidémiologique en France du 30/03/2021 (1) :

30702 nouveaux cas confirmés en 24h.

5072 personnes sont en réanimation.

569 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

13046 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

2579 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

28510 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 362 à 370 (à J-3) et à 377 (à J-2).

 

Point épidémiologique en France du 31/03/2021 (1) :

59038 nouveaux cas confirmés en 24h.

1364 passages aux urgences en 24h.

5053 personnes sont en réanimation.

13101 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

2209 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

28463 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 377 à 379 (à J-3) et à 393 (à J-2).

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 29/03 (J-2) dans les départements suivants : Ain (352), Aisne (459), Alpes-de-Haute-Provence (451), Hautes-Alpes (468) (a), Ariège (223), Aube (566), Aveyron (286), Bouches-du-Rhône (510), Calvados (243), Charente (212), Cher (302), Corrèze (251), Corse-du-Sud (178), Côtes-d'Armor (208), Dordogne (330), Doubs (427), Eure-et-Loir (381), Finistère (93), Gard (421), Gironde (259), Hérault (345), Ille-et-Vilaine (277), Indre-et-Loire (339), Isère (372), Jura (345), Loir-et-Cher (328), Loire (417), Haute-Loire (309), Loire-Atlantique (249), Loiret (299), Lot (146), Lot-et-Garonne (194), Maine-et-Loire (311), Marne (326), Meuse (345), Morbihan (185), Nièvre (426), Nord (500), Oise (568), Orne (340), Pas-de-Calais (562), Bas-Rhin (275), Rhône (499), Sarthe (333), Savoie (349), Haute-Savoie (320), Paris (610), Seine-Maritime (403), Seine-et-Marne (731), Yvelines (570), Somme (494), Var (451), Vaucluse (433), Vendée (257), Vienne (224), Haute-Vienne (215), Essonne (622), Hauts-de-Seine (556), Val-de-Marne (719), Val-d'Oise (823).

(a) forte hausse

 

Le 31 mars 2021, dans une allocution télévisée, le président de la république, Emmanuel Macron, a affirmé : « Grâce à la vaccination, la sortie de crise se dessine (...) et le vaccin est efficace (...) ».

 

Point épidémiologique en France du 01/04/2021 (1) :

50659 nouveaux cas confirmés en 24h.

1376 passages aux urgences en 24h.

5109 personnes sont en réanimation.

13279 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

2035 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

28581 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 30/03 (J-2) dans les départements suivants : Ain (369), Aisne (478), Alpes-de-Haute-Provence (473) (a), Hautes-Alpes (476), Ariège (231), Aube (569), Aude (227), Aveyron (295), Bouches-du-Rhône (535) (a), Calvados (252), Charente (220), Cher (316), Corrèze (281) (a), Corse-du-Sud (184), Côtes-d'Armor (209), Dordogne (331), Doubs (448) (a), Eure-et-Loir (385), Gard (429), Haute-Garonne (272), Gironde (261), Hérault (359), Ille-et-Vilaine (284), Indre-et-Loire (354), Isère (395) (a), Jura (349), Loir-et-Cher (343), Loire (430), Haute-Loire (324), Loire-Atlantique (262), Loiret (309), Lot (153), Maine-et-Loire (326), Marne (358) (a), Meuse (376) (a), Morbihan (202), Moselle (331), Nièvre (436), Nord (505), Oise (594) (a), Orne (351), Puy-de-Dôme (256), Pyrénées-Orientales (303), Bas-Rhin (286), Rhône (532), Sarthe (346), Savoie (363), Haute-Savoie (341) (a), Seine-Maritime (408), Seine-et-Marne (739), Yvelines (574), Tarn (324), Tarn-et-Garonne (264), Var (461), Vaucluse (476) (a), Vendée (293) (a), Vienne (248) (a), Haute-Vienne (243) (a), Vosges (334), Essonne (628), Seine-Saint-Denis (809), Val-de-Marne (731), Val-d'Oise (829).

(a) forte hausse

 

Point épidémiologique en France du 02/04/2021 (1) :

46677 nouveaux cas confirmés en 24h.

1586 passages aux urgences en 24h.

505 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

5254 personnes sont en réanimation.

13319 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

2092 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

28729 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe à 402 (taux du 30/03 à J-3).

Point épidémiologique en France du 03/04/2021 (1) :

1625 passages aux urgences en 24h.

5273 personnes sont en réanimation.

13489 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

28886 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 402  à 405 (taux du 31/03 à J-3).

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 31/03 (J-3) dans les départements suivants : Ain (379), Aisne (483), Ariège (248), Aube (576), Aude (242), Aveyron (309), Bouches-du-Rhône (547), Calvados (260), Charente (223), Charente-Maritime (164), Corse-du-Sud (187), Dordogne (337), Doubs (472) (a), Eure-et-Loir (386), Gard (433), Haute-Garonne (277), Gironde (266), Hérault (365), Ille-et-Vilaine (289), Indre-et-Loire (363), Isère (403), Jura (356), Loire (438), Haute-Loire (338), Loire-Atlantique (267), Lot (167), Maine-et-Loire (327), Marne (367), Haute-Marne (372) (a), Meuse (383) (a), Morbihan (207), Moselle (334), Oise (606), Orne (358), Puy-de-Dôme (267), Pyrénées-Orientales (321), Bas-Rhin (294), Rhône (535), Sarthe (354), Savoie (365), Haute-Savoie (342), Seine-Maritime (414), Yvelines (576), Tarn (334), Tarn-et-Garonne (269), Var (464), Vaucluse (480), Vendée (301), Vienne (257), Haute-Vienne (256), Vosges (341), Val-de-Marne (734), Val-d'Oise (834).

(a) forte hausse

 

Point épidémiologique en France du 04/04/2021 (1) :

66794 nouveaux cas confirmés en 24h.

1431 passages aux urgences en 24h.

5341 personnes sont en réanimation.

13717 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

29356 personnes hospitalisées actuellement.

Le taux d'incidence national pour 100 000 habitants passe de 405  à 408 (taux du 31/03 à J-3).

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 01/04 (J-3) dans les départements suivants : Ain (396), Aisne (489), Ardennes (357), Aube (578), Aude (256), Aveyron (313), Bouches-du-Rhône (558), Calvados (269), Charente (228), Cher (322), Corse-du-Sud (184), Côte-d'Or (268), Doubs (480), Drôme (317), Haute-Garonne (280), Gironde (272), Hérault (369), Ille-et-Vilaine (294), Indre-et-Loire (363), Isère (408), Jura (379) (a), Loire (452), Haute-Loire (345), Loire-Atlantique (271), Loiret (326), Lot (170), Lot-et-Garonne (195), Lozère (398), Maine-et-Loire (335), Marne (378), Morbihan (209), Oise (618), Puy-de-Dôme (278), Pyrénées-Orientales (330), Bas-Rhin (304), Rhône (543), Saône-et-Loire (272), Sarthe (361), Paris (614), Seine-Maritime (414), Yvelines (580), Tarn (347), Tarn-et-Garonne (272), Vendée (312), Vienne (266), Haute-Vienne (272), Vosges (344), Yonne (313), Val-de-Marne (738), Val-d'Oise (847).

(a) forte hausse

 

Point épidémiologique en France du 05/04/2021 (1) :

1349 passages aux urgences en 24h.

5433 personnes sont en réanimation.

29907 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 02/04 (J-3) dans les départements suivants : Ain (400), Ardennes (359), Aude (260), Aveyron (314), Bouches-du-Rhône (573), Calvados (271),  Charente-Maritime (178), Doubs (487), Drôme (319), Haute-Garonne (286), Gironde (274),Hérault (378), Ille-et-Vilaine (298), Indre-et-Loire (365), Loire (457), Loire-Atlantique (275), Marne (379), Mayenne (226), Morbihan (220), Puy-de-Dôme (294), Rhône (544), Saône-et-Loire (278), Sarthe (377), Paris (615), Seine-Maritime (418), Tarn (355), Tarn-et-Garonne (273), Vienne (270), Haute-Vienne (297) (a), Yonne (323).

(a) forte hausse

 

Point épidémiologique en France du 06/04/2021 (1) :

1540 passages aux urgences en 24h.

632 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

5626 personnes sont en réanimation.

2459 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

30639 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 03/04 (J-3) dans les départements suivants : Ain (402), Aude (268), Bouches-du-Rhône (573), Calvados (271), Charente (238), Charente-Maritime (179), Doubs (493), Drôme (324), Haute-Garonne (289), Gers (187),  Ille-et-Vilaine (306), Indre-et-Loire (373), Haute-Loire (350), Loire-Atlantique (276), Loiret (327), Marne (381), Puy-de-Dôme (301), Rhône (546), Saône-et-Loire (281), Sarthe (385), Paris (615), Tarn (359), Tarn-et-Garonne (275), Yonne (326).

 

Point épidémiologique en France du 07/04/2021 (1) :

1672 passages aux urgences en 24h.

673 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

5729 personnes sont en réanimation.

3131 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

30904 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 04/04 (J-3) dans les départements suivants : Ain (403), Aude (269), Aveyron (317), Bouches-du-Rhône (579), Charente (242), Charente-Maritime (183), Cher (323), Doubs (496), Haute-Garonne (290), Gers (189),  Ille-et-Vilaine (308), Indre-et-Loire (373), Loire (460), Haute-Loire (350), Loire-Atlantique (278), Loiret (329), Marne (383), Puy-de-Dôme (306), Rhône (549), Sarthe (390), Tarn (364), Tarn-et-Garonne (280), Yonne (332).

 

 

Point épidémiologique en France du 08/04/2021 (1) :

84999 nouveaux cas confirmés en 24h.

1341 passages aux urgences en 24h.

498 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

5705 personnes sont en réanimation.

2156 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

13708 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

30555 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 05/04 (J-3) dans les départements suivants : Ain (403), Aude (269), Aveyron (317), Bouches-du-Rhône (579), Charente (242), Charente-Maritime (183), Cher (323), Doubs (496), Haute-Garonne (290), Gers (189),  Ille-et-Vilaine (308), Indre-et-Loire (373), Loire (460), Haute-Loire (350), Loire-Atlantique (278), Loiret (329), Marne (383), Puy-de-Dôme (306), Rhône (549), Sarthe (390), Tarn (364), Tarn-et-Garonne (280), Yonne (332).

 

Point épidémiologique en France du 09/04/2021 (1) :

41243 nouveaux cas confirmés en 24h.

1518 passages aux urgences en 24h.

498 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

5757 personnes sont en réanimation.

2120 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

13729 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

30326 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 10/04/2021 (1) :

43284 nouveaux cas confirmés en 24h.

1407 passages aux urgences en 24h.

5769 personnes sont en réanimation.

13651 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

30238 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 07/04 (J-3) dans le département suivant : Puy-de-Dôme (314).

 

Point épidémiologique en France du 11/04/2021 (1) :

34895 nouveaux cas confirmés en 24h.

1246 passages aux urgences en 24h.

5838 personnes sont en réanimation.

14684 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

30671 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 08/04 (J-3) dans les départements suivants : Charente-Maritime (190), Haute-Loire (354), Puy-de-Dôme (316).

 

Point épidémiologique en France du 12/04/2021 (1) :

1405 passages aux urgences en 24h.

492 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

5916 personnes sont en réanimation.

2172 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

13754 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

31262 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 09/04 (J-3) dans les départements suivants : Haute-Loire (356), Bas-Rhin (317).

 

Point épidémiologique en France du 13/04/2021 (1) :

39113 nouveaux cas confirmés en 24h.

1469 passages aux urgences en 24h.

555 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

5952 personnes sont en réanimation.

2501 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

14715 nouvelles hospitalisations sur les 7 derniers jours.

31226 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 10/04 (J-3) dans les départements suivants : Charente-Maritime (192), Sarthe (396).

 

Point épidémiologique en France du 14/04/2021 (1) :

43505 nouveaux cas confirmés en 24h.

1303 passages aux urgences en 24h.

5902 personnes sont en réanimation.

2072 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

30868 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 11/04 (J-3) dans les départements suivants : Charente-Maritime (194), Sarthe (400), Haute-Vienne (298).

 

 

Point épidémiologique en France du 15/04/2021 (1) :

38045 nouveaux cas confirmés en 24h.

1284 passages aux urgences en 24h.

501 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

5924 personnes sont en réanimation.

2062 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

30668 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 12/04 (J-3) dans les départements suivants : Allier (289), Ardèche (298), Aude (270), Aveyron (329), Cantal (226), Charente-Maritime (220), Côte-d'Or (288), Côtes-d'Armor (215), Drôme (335), Eure-et-Loir (389), Finistère (96), Gard (451), Ille-et-Vilaine (317), Indre-et-Loire (397), Loire (513), Haute-Loire (401), Loiret (345), Lot (205), Lot-et-Garonne (209), Lozère (414), Manche (294), Haute-Marne (409), Mayenne (248), Meurthe-et-Moselle (378), Moselle (337), Meuse (401), Nièvre (470), Orne (429), Puy-de-Dôme (363), Bas-Rhin (377), Haut-Rhin (275), Saône-et-Loire (286), Sarthe (461), Savoie (388), Haute-Savoie (368), Seine-Maritime (444), Deux-Sèvres (332), Tarn-et-Garonne (288), Vienne (280), Haute-Vienne (369), Vosges (370), Yonne (368), Territoire-de-Belfort (411).

 

 

Point épidémiologique en France du 16/04/2021 (1) :

36442 nouveaux cas confirmés en 24h.

1354 passages aux urgences en 24h.

5914 personnes sont en réanimation.

2044 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

30472 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 13/04 (J-3) dans les départements suivants : Côtes-d'Armor (215), Sarthe (461).

 

Point épidémiologique en France du 17/04/2021 (1) :

35861 nouveaux cas confirmés en 24h.

1392 passages aux urgences en 24h.

5877 personnes sont en réanimation.

30329 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 14/04 (J-3) dans le département suivant : Mayenne (254).

 

Point épidémiologique en France du 18/04/2021 (1) :

29344 nouveaux cas confirmés en 24h.

1268 passages aux urgences en 24h.

5893 personnes sont en réanimation.

2066 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

30789 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 15/04 (J-3) dans le département suivant : Mayenne (257).

 

Point épidémiologique en France du 19/04/2021 (1) :

1150 passages aux urgences en 24h.

502 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h.

5970 personnes sont en réanimation.

31214 personnes hospitalisées actuellement.

Confirmation de l'augmentation du nombre de cas confirmés au 16/04 (J-3) dans le département suivant : Mayenne (259).

 

Point épidémiologique en France du 20/04/2021 (1) :

43098 nouveaux cas confirmés en 24h.

1474 passages aux urgences en 24h.

601 nouvelles personnes admises en réanimation en 24h (record d'admissions en une journée).

5984 personnes sont en réanimation.

2404 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

31086 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 21/04/2021 (1) :

34968 nouveaux cas confirmés en 24h.

1289 passages aux urgences en 24h.

5981 personnes sont en réanimation.

30634 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 22/04/2021 (1) :

34318 nouveaux cas confirmés en 24h.

1220 passages aux urgences en 24h.

5959 personnes sont en réanimation.

2095 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

30954 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 23/04/2021 (1) :

32340 nouveaux cas confirmés en 24h.

Le taux de positivité des tests au 20/04 (J-3) se situe à 10%.

1235 passages aux urgences en 24h.

5962 personnes sont en réanimation.

30438 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 24/04/2021 (1) :

32633 nouveaux cas confirmés en 24h.

Le taux de positivité des tests au 21/04 (J-3) se situe à 10%.

1224 passages aux urgences en 24h.

5958 personnes sont en réanimation.

30100 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 25/04/2021 (1) :

24465 nouveaux cas confirmés en 24h.

Le taux de positivité des tests au 22/04 (J-3) se situe à 10%.

1053 passages aux urgences en 24h.

5978 personnes sont en réanimation.

30287 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 26/04/2021 (1) :

Le taux de positivité des tests au 23/04 (J-3) se situe à 10%.

1005 passages aux urgences en 24h.

6001 personnes sont en réanimation.

30596 personnes hospitalisées actuellement.

 

Les chiffres actuels sont  supérieurs à ceux affichés lors de l’annonce des nouvelles mesures de restrictions ! En effet, le 31 mars, 28 463 personnes étaient hospitalisées dont 5 053 en réanimation.

 

Point épidémiologique en France du 27/04/2021 (1) :

30317 nouveaux cas confirmés en 24h.

Le taux de positivité des tests au 24/04 (J-3) se situe à 10%.

1182 passages aux urgences en 24h.

5943 personnes sont en réanimation.

2109 nouvelles personnes hospitalisées en 24h.

30281 personnes hospitalisées actuellement.

 

 

Point épidémiologique en France du 28/04/2021 (1) :

31539 nouveaux cas confirmés en 24h.

1058 passages aux urgences en 24h.

5879 personnes sont en réanimation.

29911 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 29/04/2021 (1) :

26538 nouveaux cas confirmés en 24h.

1089 passages aux urgences en 24h.

5804 personnes sont en réanimation.

29487 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 30/04/2021 (1) :

24299 nouveaux cas confirmés en 24h.

1028 passages aux urgences en 24h.

5675 personnes sont en réanimation.

28930 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 01/05/2021 (1)

25670 nouveaux cas confirmés en 24h.

1051 passages aux urgences en 24h.

5581 personnes sont en réanimation.

28603 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 02/05/2021 (1)

5585 personnes sont en réanimation.

28818 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 04/05/2021 (1)

23371 nouveaux cas confirmés en 24h.

5504 personnes sont en réanimation.

28427 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 05/05/2021 (1)

26000 nouveaux cas confirmés en 24h.

5402 personnes sont en réanimation.

27686 personnes hospitalisées actuellement.

 

Point épidémiologique en France du 06/05/2021 (1)

21712 nouveaux cas confirmés en 24h.

5231 personnes sont en réanimation.

26985 personnes hospitalisées actuellement.

Annexe 2 :

 

Liste des députés ayant signé le recours au Conseil Constitutionnel afin de faire censurer l'article 9 relatif à l'isolement des positifs

Mme Valérie RABAULT, MM. Jean-Luc MÉLENCHON, André CHASSAIGNE, Joël AVIRAGNET, Mmes Marie-Noëlle BATTISTEL, Gisèle BIÉMOURET, MM. Alain DAVID, Mme Laurence DUMONT, MM. Olivier FAURE, Guillaume GAROT, Christian HUTIN, Mme Chantal JOURDAN, M. Régis JUANICO, Mme Marietta KARAMANLI, M. Jérôme LAMBERT, Mme Josette MANIN, M. Philippe NAILLET, Mmes Lamia EL AARAJE, Christine PIRES BEAUNE, Claudia ROUAUX, M. Hervé SAULIGNAC, Mmes Sylvie TOLMONT, Hélène VAINQUEUR-CHRISTOPHE, M. Boris VALLAUD, Mme Michèle VICTORY, M. Gérard LESEUL, Mmes Isabelle SANTIAGO, Clémentine AUTAIN, MM. Ugo BERNALICIS, Éric COQUEREL, Alexis CORBIÈRE, Mme Caroline FIAT, MM. Bastien LACHAUD, Michel LARIVE, Mmes Danièle OBONO, Mathilde PANOT, MM. Loïc PRUD'HOMME, Adrien QUATENNENS, Jean-Hugues RATENON, Mmes Muriel RESSIGUIER, Sabine RUBIN, M. François RUFFIN, Mme Bénédicte TAURINE, M. Alain BRUNEEL, Mme Marie-George BUFFET, MM. Pierre DHARRÉVILLE, Jean-Paul DUFRÈGNE, Mme Elsa FAUCILLON, MM. Sébastien JUMEL, Jean-Paul LECOQ, Stéphane PEU, Fabien ROUSSEL, Hubert WULFRANC, Mme Manuéla KÉCLARD-MONDÉSIR, MM. Moetaï BROTHERSON, Jean-Philippe NILOR, Gabriel SERVILLE, Mme Karine LEBON, MM. Jean-Félix ACQUAVIVA, Michel CASTELLANI, Jean-Michel CLÉMENT, Paul-André COLOMBANI, Charles de COURSON, Mme Frédérique DUMAS, MM. François-Michel LAMBERT, Jean LASSALLE, Paul MOLAC, Bertrand PANCHER, Mme Jennifer de TEMMERMAN, MM. Sébastien NADOT, Aurélien TACHÉ, Guillaume CHICHE, Mmes Emilie CARIOU et Delphine BAGARRY.

Annexe 3 :

 

Estimation de l’efficacité vaccinale contre les formes graves de Covid-19 par la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES)

Exploitation des appariements SI-VIC-SI-DEP-VAC-SI de février à novembre 2021 (Dossier n°90 du 22/12/2021)

 

L’analyse de la troisième vague de l’épidémie de Covid-19 en France, chez les personnes âgées de 50 ans ou plus, fait apparaître une efficacité vaccinale élevée contre les formes symptomatiques et les formes sévères, qui croît au fur et à mesure de l’avancée dans le parcours vaccinal, jusqu’à l’obtention du statut vaccinal complet. À son pic, l’efficacité vaccinale d’un cycle vaccinal complet (sans rappel) atteint 85 % contre les formes symptomatiques et 90 % contre les sévères. Au cours de la période d’estimation du 1er février au 31 mai 2021, aucune baisse de l’efficacité vaccinale contre les formes sévères dans les quatre premiers mois suivant l’injection de la deuxième dose de vaccin n’est mise en évidence. Les efficacités vaccinales estimées se distinguent très modérément entre classes d’âge et ne sont pas inférieures pour les personnes présentant des comorbidités. L’efficacité vaccinale contre les variants bêta et gamma apparaît comme inférieure à celles estimées pour le variant alpha et la version souche, mais elle reste tout de même supérieure à 70 %.

L’analyse étendue aux données plus récentes (1er février au 14 novembre) révèle une très nette diminution de l’efficacité vaccinale (parcours complet) contre les formes symptomatiques dans le temps, qui descend à 57 % chez les 50 ans ou plus six mois après la complétude du parcours vaccinal et à 39 % chez 85 ans ou plus. Cette baisse peut s’interpréter, sous les hypothèses mobilisées dans l’analyse, comme l’effet combiné de l’émergence du variant delta susceptible de générer un échappement immunitaire et d’une baisse de la protection vaccinale dans le temps. L’efficacité vaccinale reste cependant importante contre les formes sévères (84 % six mois après la complétude du parcours vaccinal), avec une baisse beaucoup moins nette de la protection, bien que tout de même marquée chez les plus âgés (70 %). L’efficacité vaccinale sept jours après une dose de rappel retrouve des niveaux très élevés que ce soit contre les formes symptomatiques ou les formes sévères, sans distinction selon la classe d’âge parmi les 65 ans ou plus.

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