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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 19:28

Les maltraitances psychologiques (1) que j'ai subies de la part de mes parents toxiques m'ont fait sombrer à l'âge adulte dans un état pré-psychotique déficitaire (2).

 

 

J'ai dès lors présenté les symptômes de stress post-traumatiques suivants :

 

- repli sur soi ; 

- manque d'estime de soi (3) ;

- état dépressif (4) ;

- manque d'intérêt pour la vie quotidienne ;

- perte du goût pour les activités favorites (5) ;

- sentiment de culpabilité (6) ;

- marche à petits pas (7) ;

- anorexie mentale ;

- incapacité à choisir avec discernement son partenaire et ses personnes de confiance (8).

 

Par la suite, les maltraitances physiques, sexuelles et psychologiques infligées par mon mari pervers narcissique aggravèrent mon état de santé psychique déjà déficient. Quatre symptômes s'intensifièrent (9) et six nouveaux apparurent :

- blocages sexuels importants ;

- cauchemars (10) ;

- troubles du sommeil ;

- extrême sensibilité aux dangers extérieurs (11) ;

- images et sons relatifs à des événements du passé ;

- envie de suicide (12) .

 

Ces diverses formes de maltraitance eurent de nombreuses conséquences :

 

- perte précoce de l'insouciance et de la spontanéité ;

- renforcement de ma tendance perfectionniste ;

- stress quasi-permanent (13)

- hyper-contrôle permanent de mes gestes ;

- perte de la confiance en soi  (14) ;

- grande sensibilité aux critiques (15) ;

- besoin de surprotéger mes enfants même devenus adultes.

 

Depuis quelques années, les comportements maltraitants de mes fils ont entraîné l'apparition de deux nouveaux symptômes et une amplification de trois anciens :

- tremblements à l'écriture ;

- diurèse prolongée ;

- angoisse d'anticipation beaucoup plus fréquente même pour des situations banales ;

- renforcement de mes tendances obsessionnelles ;

- fréquence plus élevée des troubles du sommeil.

 

Afin de me protéger des souffrances vécues avec mes parents et mon défunt mari, j'ai mis en place inconsciemment des mécanismes de défense (16) pour survivre (17) tels que l'inhibition psychomotrice par hyper-contrôle (ralentissement des mouvements, retenue des gestes), les obsessions compulsives (répétition des mêmes gestes notamment pour les actes de toilette auxquels je consacre beaucoup de temps), en vue de réduire mon anxiété.

Or mes conditions de vie ayant changé, ces défenses sont devenues obsolètes. Désormais, elles m'emprisonnent, m'empêchent de vivre, me séparent des autres et me font du mal.

 

 

 

 Entreprise CRISTINA

 

"Reconstruction psychologique"

 

 Thérapeutes et tuteur de résilience (18)

 

 

 

Chaque fois que je m'en sens capable, je tente de diminuer l'intensité de ces défenses en imaginant que j'abats les murs de ma prison psychique (19) en me relâchant, en essayant d'agrandir mes pas.

Je fais de la cohérence cardiaque et pratique la course à pied ou la marche rapide quotidiennement.

 

Lorsque des images mentales négatives surgissent, je tente, chaque fois que cela m'est possible, de les repousser en songeant à des situations positives vécues. En effet, il est important de visualiser des situations positives (situations de réussite, de bienveillance, de bien-être...), car de telles images aident toujours à progresser, donc à avancer. Les images positives sont constructives et leurs effets des plus bénéfiques sur la santé psychique tandis que les négatives sont destructrices.

Ce travail sur les représentations permet de réaliser des progrès significatifs, de les apprécier pleinement, de faciliter le lâcher prise, afin de faire plus confiance en la vie et en l'avenir. 

 

 

 

 

Contrairement à certaines méthodes qui s'inscrivent dans la durée, il est possible de ressentir rapidement les bienfaits de cette pratique.

 

 

Lorsque des souvenirs douloureux m'envahissent l'esprit, je me recentre sur le présent pour protéger mon psychisme. Mais vivre l'instant présent n'est réellement possible que quand les souvenirs difficiles ne contiennent plus leur charge émotionnelle négative qui, en parasitant le cerveau, empêche d'être en paix, vraiment présent, centré et durablement serein. Cette charge émotive maintient, bien des années après, dans un état de contracture, perturbant l'esprit, la capacité d'affronter les diverses situations de la vie, et souvent affectant aussi la santé physiologique.

Les souvenirs négatifs agissent sur l'inconscient comme un frein et sont à l'origine de blocages. C'est pourquoi j'ai décidé de consulter une psychologue clinicienne pratiquant l'EMDR, méthode visant à désensibiliser les traumatismes. Le mal-être stocké dans les souvenirs est autorisé à partir alors qu'il était gardé et contenu en soi.

 

J'ai entrepris ce travail psychothérapeutique (20) afin de délester les souvenirs douloureux de leur charge émotionnelle négative en vue de désencombrer le ciel de ma vie des nombreux nuages des émotions !

 

 

 

 

 

 

(1) "(..) la quantité et la diversité des violences psychiques subies ont des effets plus pervers à moyen et long termes que la gravité des atteintes physiques enregistrées (..) Ce qu'ils [les chercheurs] appellent difficultés intrapsychiques concerne les angoisses, l'anxiété, la dépression, un défaut d'estime de soi, une vision négative du monde et des idées suicidaires." (Cf. Petites violences ordinaires. La violence psychologique en famille, Yvane Wiart, p. 156, Éd. Le Courrier du Livre, Paris, 2011)

 

"La violence morale érode la confiance en soi. Elle attaque les ressources d'amour propre. De cette façon, elle fragilise encore ces victimes à subir de nouvelles violences. Car quand on a été amené à croire qu'on ne vaut pas mieux, on accepte la violence comme normale.  Quand on est convaincu qu'on ne mérite pas plus, on arrive à croire qu'on a provoqué l'autre à nous maltraiter. Quand on est démoli et fragilisé, on donne une image de soi négative qui amplifie les violences de nouveau : plus le sujet est fragile, plus facile il devient de le sadiser..." (Cf. La violence morale au quotidien, préface de Karen Sadlier, Éditions J. Lyon)

 

(2)  "(...) les analyses cliniques (...) ont indiqué que le risque de décompensation psychotique à l'âge adulte était une conséquence extrêmement fréquente de la confrontation de l'enfant à la folie de ses parents..." (Cf. Psychologie de la fonction parentale, Gérard Poussin, p. 239, Éditions Privat, Toulouse, 1993)

 

(3)  Les relations toxiques "abaissent l'estime de soi à tel point que certains individus s'enlisent dans une névrose d'échec, programmés pour rater tout ce qu'ils entreprennent." (Cf. Savoir gérer les relations toxiques, Christophe Médici, p. 11, Éditions Dangles, 2015)

 

"Il nous est arrivé de consacrer des soins infinis à panser chez nos patient(e)s leur narcissisme très tôt meurtri par les manœuvres délétères et disqualifiantes de parents pathologiquement narcissiques ; rien n'est plus important alors que d'aider les patients à reconstituer (...) la peau déchirée de leur moi. Encore heureux s'ils n'ont pas été à tout jamais délités !" (Cf. Les perversions narcissiques, Paul-Claude Racamier, p.41Payot, Paris, 2012)

 

"L'estime de soi nous est indispensable pour continuer à vivre et à nous investir dans notre action." (Cf. Psychologie de la fonction parentale, Gérard Poussin, p. 161, Éditions Privat, Toulouse, 1993)

 

(4)  "Dans la dépression induite par la perversion narcissique, l'état de dévastation psychique (...) rend compte d'un Moi narcissiquement vide, porteur d'une estime de soi quasi nulle (...)" (Cf. Chantal Wagner, Relation d'objet dans la perversion narcissique. Se soutenir : déconstruire l'autre, dans L'information psychiatrique 2012/1, p. 21-28, John Libbey Eurotext)

 

(5)  en raison de la perte du goût de vivre. Par exemple, j'ai perdu tout plaisir de lire dès la fin de mes études supérieures.

 

(6)  Comme la plupart des victimes de pervers narcissiques, mon sentiment de culpabilité est apparu en même temps que mes crises d'angoisse lorsque j'ai transgressé pour la première fois à l'âge de 22 ans l'un des interdits parentaux : celui de ne pas fréquenter un jeune homme. Cette culpabilité s'est développée et intensifiée en raison des maltraitances que mon mari m'a fait subir au cours de notre vie commune qui s'avéra un véritable enfer conjugal.

"Ce sentiment de culpabilité, qui est ce qui habite profondément les victimes de violences psychologiques (..)" (Ibid. p. 60)

 

(7)  Ce symptôme  est apparu à la suite d'un gros choc émotionnel dû à l'enfermement et l'accompagnement de mes "parents geôliers" lors de sorties autorisées de 23 à 24 ans, qui précipita mon déclin psychique et favorisa l'émergence de symptômes physiologiques : chute de cheveux, perte de poids, incontinence par urgenturie. 

 

(8)  ce qui m'a rendue vulnérable aux pervers narcissiques et aux escrocs.

 

(9)  repli sur soi, manque d'estime de soi, état dépressif, sentiment de culpabilité.

 

(10)  qui génèrent respectivement émotions de peur et de tristesse.

 

(11)  qui génère des comportements d'évitement et de la procrastination.

 

(12)  dû à un profond désespoir.

 

(13)  "Lorsque le stress atteint un niveau extrême, l'organisme se protège par un phénomène de dissociation, un découpage des affects par rapport à la rationalité."(a)  (Cf. Petites violences ordinaires. La violence psychologique en famille, Yvane Wiart, p. 64, Éd. Le Courrier du Livre, Paris, 2011)

(a) voir seconde citation ci-dessous

 

(14)   À l'âge adulte, les enfants élevés par des parents toxiques manifestent presque tous un comportement autodestructeur. "D'une façon ou d'une autre, ils ont l'impression de n'avoir aucune valeur, aucune capacité et ils se sentent indignes d'être aimés (...) ils continuent à ployer sous le fardeau de la culpabilité et de l'incompétence, ce qui leur cause de graves difficultés pour élaborer une image positive d'eux-mêmes. Le manque de confiance et la piètre estime de soi qui en résultent peuvent alors contaminer tous les aspects de leur vie." (Cf. Susan Forward avec Craig Buck, Parents toxiques, Comment échapper à leur emprise, p. 17, Nouvelles Éditions Marabout, 2013, traducido del americano :  Toxic parents : overcoming their hurtful legacy and reclaiming your life, Batam Books, New York, 1989)

 

"Les relations toxiques : elles sont destructrices, énergétivores, sapent l'estime de soi et la confiance en soi" (Cf. Savoir gérer les relations toxiques, Christophe Médici, p. 61, Éditions Dangles, 2015)

 

(15)  Mais la honte et la culpabilité que n'éprouve pas l'adulte maltraitant seront portées par l'enfant à travers les années, le rendront maladivement sensible aux critiques et l'emmèneront parfois jusqu'au suicide." (Cf. Enfants de manipulateurs. Comment les protéger ?Christel Petitcollin, p. 183, Éditions Guy Trédaniel, Paris, 2017)

 

(16)  "Les mécanismes de défense sont des processus psychiques inconscients visant à réduire ou annuler les effets désagréables des dangers réels ou imaginaires, en remaniant les réalités internes et/ou externes et dont les manifestations – comportements, idées ou affects – peuvent être inconscients ou conscients." (Cf. Les mécanismes de défense, théorie et clinique, Serban Ionescu et al., 1997)

 

(17) "Boule de stress, d'angoisse, de honte et de déprime, les ex-victimes de maltraitance traversent souvent leur existence empêtrées dans leurs mécanismes de survie, très seules, conscientes d'être différentes, mais sans trouver d'issue à leur enfermement." (Cf. Enfants de manipulateurs. Comment les protéger ?Christel Petitcollin, p. 184, Éditions Guy Trédaniel, Paris, 2017)

 

(18) Tuteur ou facilitateur de résilience : personne bienveillante dotée d'une grande sensibilité, attentionnée, dévouée, patiente, persévérante, compréhensive, à l'écoute, protectrice, qui peut parvenir à obtenir chez un patient traumatisé des résultats thérapeutiques similaires à ceux des professionnels psychothérapeutes.

https://www.psychologie-positive.net/IMG/pdf/2005_COPIE_FRANCE_Les_caracteristiques_des_tuteurs_de_resilience.pdf

https://www.cairn.info/revue-recherche-en-soins-infirmiers-2005-3-page-12.htm

 

(19)  "Votre prison est faite de doute, de peur et de culpabilité (..) Au stade de confusion mentale ou votre manipulateur vous a amené, vous avez besoin d'un contre-lavage de cerveau énergique." (Ibid. p. 205)

 

(20)  Tout enfant éduqué par des parents toxiques n'est en aucun cas responsable des maltraitances qu'il a subies alors qu'il était un être fragile et vulnérable. Mais, devenu adulte, il est responsable des initiatives qu'il prendra et des actes qu'il mettra en œuvre pour tenter de surmonter les difficultés liées à son passé douloureux.

 

"Rien ne prouve qu'il soit nécessaire de remuer le passé douloureux pour aller mieux. Dans un article recensant divers travaux, Miltenburg et Singer remettent sérieusement en cause cette pratique. Ils citent diverses études qui mettent en évidence que la mise à jour et le revécu des traumatismes passés génèrent une importante souffrance chez les patients. Les thérapeutes qui utilisent ces pratiques auprès des adultes ayant subi des maltraitances dans leur enfance estiment qu'il s'agit là d'une étape nécessaire de la thérapie. Or, constatent Miltenburg et Singer, cette conviction ne repose aucunement sur des études évaluatives bien contrôlées. Ils citent seulement une exception datant de 1988, où une étude a montré que la technique de restructuration cognitive (caractéristique de la thérapie cognitive) avait montré clairement des effets positifs. (Cf. Guérir de son enfance, Jacques Lecomte, p. 317, Éditions Odile Jacob, Paris, 2004)

 

 

Citations :

 

"Cette capacité d'autodéfense est notre bagage commun. Nous possédons tous le même kit de survie en cas de problème existentiel (..) Mais, si notre bagage est commun, chacun a sa façon de mettre en œuvre  le programme. (..) De façon non consciente, chacun a opté pour telles ou telles habitudes comportementales, de fuite, de lutte ou de repli sur soi. (..) telle ou telle stratégie de défense particulière nous a permis de mieux nous adapter à notre environnement et, donc, de survivre." (Cf. Émotions : quand c'est plus fort que moi. Peur, colère, tristesse : comment faire face, Catherine Aimelet-Périssol et Aurore Aimelet, p. 44-45, Éditions de Noyelles, Paris, 2018)

 

"La dissociation peut être telle qu'une partie de la réalité disparaît, des pans entiers du vécu sont occultés, dans le souvenir de faits anciens comme de faits très récents. Les éléments qui disparaissent de l'accès à la conscience sont ceux qui ne correspondent pas à la version officielle que la victime a dû se fabriquer pour survivre. Il s'agit de situations comportant une importante charge affective dont la prise en compte viendrait menacer l'exercice et l'efficacité des stratégies mises en place pour supporter l'adversité. Sont alors bloqués à la fois la perception de la nocivité du comportement de l'agresseur et l'attrait pour des situations positives, gages de plaisir et de bien-être dans d'autres cadres, avec d'autres personnes. Ces situations positives passent immédiatement en second plan, voire sont totalement occultées dès qu'elles sont susceptibles d'interférer avec le sens du devoir, ce qu'il faut faire pour être bien vu et ne risquer aucune mesure de rétorsion, surtout de la part de l'agresseur qui ne manquera pas de réagir à tout manquement à ses exigences. Quant à la non-perception de la nocivité réelle de l'agresseur, elle est nécessaire pour continuer à supporter la situation, et comme elle a fait l'objet d'un conditionnement de survie dès l'enfance, comme on l'a vu, elle s'active automatiquement, plaçant hors champ le fond même des problèmes." (Cf. Petites violences ordinaires. La violence psychologique en famille, Yvane Wiart, p. 64-65, Éd. Le Courrier du Livre, Paris, 2011)

 

"Plus grave encore que cette culpabilité envahissante, associée à une honte de ce que les autres vont penser de son incompétence chronique, est la profonde terreur qui finit par s'emparer de la victime, plongée dans des situations d'agressivité à son encontre depuis l'enfance. Cette terreur de mal faire et de se l'entendre sans cesse reprocher atteint un tel degré de permanence qu'elle en devient partie intégrante de son mode de fonctionnement et qu'elle ne la perçoit plus comme telle. (..) Elle se surveille constamment, se sent sur le qui-vive, guettant l'expression de l'autre pour essayer de déterminer à quel moment les accusations et les reproches vont tomber, et elle essaie d'y parer autant que faire se peut. Cependant, elle n'a pas nécessairement conscience que tout cela est l'expression d'une peur intense, et si elle se rend compte qu'elle a peur de quelque chose, elle en minimise l'intensité et l'attribue souvent à d'autres causes que la relation d'agression qu'elle subit et qu'elle ne repère pas comme telle dans toute son ampleur. Cette terreur qui ne dit plus son nom, tant elle est devenue habituelle, se manifeste par une hyper-vigilance à l'environnement, un sentiment de menace diffus qui se traduit par une sensation d'angoisse repérable à ses expressions physiques, boule dans la gorge, nœuds à l'estomac (..) Cette angoisse terrifiante par elle-même par son caractère incompréhensible et incontrôlable, s'accompagne de fatigue, de problèmes de concentration (..) La victime peut avoir des problèmes de sommeil, ressassant dans l'insomnie ses difficultés auxquelles elle ne trouve aucune solution (..) faire des cauchemars (..)"  (Cf. Petites violences ordinaires. La violence psychologique en famille, Yvane Wiart, p. 62-63, Éd. Le Courrier du Livre, Paris, 2011)

 

 

Commentaire :

"Certains maux dont on a souffert ne peuvent pas s'effacer comme c'est le cas pour la plupart des rêves." (Pascal Bourdaloue)

 

 

 

Complément à l'article "Survivre à l'enfer familial" rédigé par Cristina Casado Belmonté

 

 

Survivre à l'enfer familial :

https://la-veritable-lumiere.over-blog.com/2016/09/survivre-a-l-enfer-familial.html

 

La perversité de mon père (annexe 1 à l'article "Survivre à l'enfer familial")

https://la-veritable-lumiere.over-blog.com/2017/03/la-perversite-de-mon-pere.html

 

La démence de ma mère (annexe 2 à l'article "Survivre à l'enfer familial")

https://la-veritable-lumiere.over-blog.com/2017/05/la-demence-de-ma-mere-annexe-2-a-l-article-survivre-a-l-enfer-familial.html

 

Vivre avec un mari pervers narcissique (annexe 3 à l'article "Survivre à l'enfer familial")

https://la-veritable-lumiere.over-blog.com/2017/05/la-perversite-de-mon-mari.html

 

Mon fils aîné : successeur de manipulateurs (annexe 4 à l'article "Survivre à l'enfer familial")

https://la-veritable-lumiere.over-blog.com/2017/09/la-personnalite-de-mon-fils-aine-successeur-de-manipulateurs.html

 

Mon plus jeune fils : successeur de tyran (annexe 5 à l'article "Survivre à l'enfer familial")

 https://la-veritable-lumiere.over-blog.com/2018/02/mon-fils-le-plus-jeune-successeur-de-tyran.html

 

Comment sortir de l'emprise des manipulateurs (annexe 7 à l'article "Survivre à l'enfer familial")

https://la-veritable-lumiere.over-blog.com/2017/06/sortir-de-l-emprise-des-manipulateurs.html

 

Apprendre à reconnaître une personne manipulatrice, un pervers narcissique (annexe 8 à l'article "Survivre à l'enfer familial")

https://la-veritable-lumiere.over-blog.com/2018/02/apprendre-a-reconnaitre-une-personne-manipulatrice.html

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